Quelques illustrations de la lignée des
Famille
bourgeoise originaire de Franche Comté connue dès Claude Mignot, né en 1675, Durnes (Franche Comté),
marié en 1700 avec Bonaventure Gagnepain.
Ceux du
Nord descendent d’Henri Rammaert, né le 10 avril 1847, Roubaix,décédé
le 29 avril 1906, Roubaix (59
ans), négociant en tissus (Rammaert et Jeu, maison fondée à Roubaix en 1844).
marié le 27 octobre 1877, Roubaix,
avec Célina Rosalie Jeu,
Claude Mignot 1675 &1700
Bonaventure Gagnepain 1675
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Claude Joseph Mignot 1704-1772 &1730
Jeanne Baptiste Morel 1697-1767
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Alexis Mignot 1741-1801 &1769
Etiennette Gaunard 1745-1806
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Jean Pierre Mignot 1773-1843 &1807
Marie Françoise Béliard 1786-1838
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Jean Baptiste Irénée Mignot 1811-1881 &1853
Louise Honorine Augustine Cahannier 1830-1918
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Marie Claude Irénée Mignot 1859-1930 &1891 Geneviève Faguer 1866-1959 dont descendent les Mignot
actuels par : Madeleine 1892-1897, Pierre Marie 1894-1960,
Yvonne Marie 1895-1919, Jacques 1898-1948, André 1900-1993, Jean 1904-1988,
Paul 1908-1982.
Quelques
personnalités de cette branche (sans liens généalogiques) et alliances:
Alliance
de Paul Mignot, né le 9 mai 1908, Antwerpen,
Belgique, décédé le 10 février 1982, Tourcoing,
59, Nord (73 ans), agent de change à Lille, charge Mignot, marié le 14 juin 1939,
Tourcoing, 59, Nord, avec Marthe Prouvost, petite fille de Charles
Prouvost-Scrépel.
Geneviève
Mignot, née le 14 avril 1922, Lille, décédée le 24 mars 2008, Paris 16ème (85
ans), mariée le 18 janvier 1948, Saint Martin du Bec, avec Henry Brémard, né le
16 octobre 1919, décédé le 8 décembre 1986 (67 ans), général de brigade
aérienne.
Marie-Noëlle Mignot, née le 31 octobre 1925, Laventie (62). mariée en 1948,
Saint-Martin-du-Bec (76), avec Joseph de Sonis, arrière petit fils de Henry de Sonis, Officier
supérieur d'infanterie, ESM Saint-Cyr, promotion de La Grande
Promotion, fils de Gaston de Sonis
comte romain et de Sonis (1er, 1880), Grand officier de la
Légion d'honneur, Général de division, Zouave pontifical,
ESM Saint-Cyr, promotion de Djemmah, Brution (Prytanée
Militaire). Titré par le Pape Léon XIII, Général de division, Commandant des
Volontaires de l'Ouest pendant la guerre de 1870
Gaston de Sonis, fils de Charles-Gaston de Sonis et de
Marie-Elisabeth de Bébian, naquit le 25 août 1825, à la Guadeloupe, où son père
était officier. L'enfant vint en métropole faire ses études, fut admis à
Saint-Cyr et à Saumur et en sortit sous-lieutenant au 5° Hussards. En garnison
à Castres, il épousa Mlle Anaïs Roger, fille d'un honorable notaire de cette ville.
Officier studieux, ferme sur le devoir et la discipline, mais plein de grâce,
d'esprit, de vivacité, Sonis fut toujours estimé de ses soldats et de ses
chefs. Au soir de sa vie, ses égaux disaient de lui: <<le Général de
Sonis, c'est l'honneur.>> Père de douze enfants, il les aima avec
tendresse et s'imposa les plus grands sacrifices pour leur donner la meilleure
éducation. Chrétien fervent, il édifia les villes où il séjourna par sa charité
envers les pauvres, son assistance quotidienne à la messe, ses communions
fréquentes, sa dévotion au Sacré-Coeur de Jésus. Les Arabes, au milieu desquels
il passa de longues années, l'appelaient: "Maître en piété".
Commandant du 17° Corps d'Armée pendant la guerre de 1870, il
fit à Loigny, le 2 décembre, à la tête des Zouaves pontificaux que précédait
l'étendard du Sacré-Coeur, cette charge célèbre qui sauva d'une déroute
complète ses troupes et celles de Chanzy. Gravement blessé, il resta la nuit,
par un froid de 20 degrés, sur le champ de bataille ; il y fut préservé de la
mort, fortifié et consolé par Notre-Dame de Lourdes qu'il contemplait en
esprit. Quoique amputé de la jambe gauche, bien au dessus du genou, il reprit,
aussitôt remis, son commandement et continua de monter à cheval.
En 1880, à Chateauroux, en pleine persécution, il se fit mettre
en disponibilité pour protester contre l'expulsion des religieux. Ses
infirmités, suites de ses blessures, l'ayant, en 1883, forcé à quitter son
commandement pour devenir membre d'une commission au ministère de la guerre, il
offrit ses souffrances à Dieu pour expier les crimes de l'impiété régnante. Il
y ajoutait des mortifications, des jeûnes et portait des instruments de
pénitence qui imprimés sur sa chair meurtrie les stigmates de Celui qui fut
torturé par nos iniquités. Il mourut à Paris en réputation de sainteté, le 15
août 1887. Son corps, transporté à Loigny, fut inhumé dans la crypte de
l'église, près des Zouaves pontificaux et des soldats tombés dans la bataille
du 2 décembre 1870. Sur la pierre qui le recouvre, on lit ses paroles de saint
Paul qu'il avait choisies lui-même: << Miles Christi >>, soldat du
Christ.
Le
26 septembre 1929, au cours du procès canonique qu'il
instruisit sur sa réputation de sainteté, Mgr
Harscouët, évêque de Chartres,
procéda à l'exhumation des restes du pieux
Général. Après 42 ans, sans le
moindre embaumement, le corps fut trouvé dans son cercueil de
plomb, entier,
les membres souples, en parfait état de conservation. Ne peut-on
voir là une
rare et délicate attention de la Providence à
l'égard d'un de ses enfants les
plus dévoués, une récompense, dès ce monde,
de son admirable pureté. De
nombreux pèlerins sont venus depuis prier à son tombeau,
pour implorer de lui
force, lumière ou santé, et beaucoup ont
été exaucés. Son procés de
béatification
est en cours. source : http://lysetcroix.ovh.org/Sonis.htm
Geneviève Mignot, née le 14 avril 1922, Lille, décédée le 24 mars 2008, Paris 16ème
(85 ans), mariée le 18 janvier 1948, Saint
Martin du Bec, avec Henry Brémard, né le 16 octobre 1919, décédé le 8 décembre 1986 (67 ans),
général de brigade aérienne.
Béatrix Mignot, née le 22 février 1943, Marines, Val-d'Oise, mariée le 29 août 1975, Tourcoing, Nord, avec Philippe Rammaert, né le 20 avril 1947, Roubaix, Nord, premier clerc de notaire, Fondateur et ancien Président du Groupement Généalogique de la Région du Nord, Flandres – Hainaut – Artois (GGRN) et de l’Union Régionale des Associations Généalogiques du Nord – Pas-de-Calais (URAG 59/62) Fondateur, ancien Président, vice-Présdent du Groupement Généalogique de la Région du Nord, Flandres - Hainaut - Artois (G.G.R.N.) Fondateur et ancien Président de l'Union Régionale des Associations Généalogiques Nord - Pas-de-Calais (URAG5962) Secrétaire de la Fédération des Sociétés Savantes du Nord de la France Administrateur de la Société d'Emulation de Roubaix (S.E.R.) Administrateur de la Société Historique de Villeneuve d'Ascq et du Mélantois (SHVAM) Vice-Président de l'Association des Amis du Centre d'Histoire de la Région du Nord et de l'Europe du Nord-Ouest (CHRNENO) Vice-Président de l'Association AGACHE-DUTHOIT (siège 15 allée de la Comédie - 59650 Villeneuve d'Ascq).
La
famille Mignot
est parisienne mais avec des origines dans la moitié nord de la
France ;
l’ascendance MIGNOT m’a donné beaucoup de fil
à retordre car un Mignot est né par hasard sur les bords
du Rhin pendant l’occupation
française à Nierstein alors dans le département du
Mont-Tonnerre, et, alors que
la tradition familiale situait l’origine à Ornans dans le
Doubs; j’ai pu en 1994
la retrouver à Lavans près d’Ornans grâce
à des déclarations de successions
conservées aux AD de Besançon ; il y a quelques
années j’ai retrouvé une
parenté avec Mme Charles MASUREL. Des origines maternelles se
situent en
Champagne, dans l’Auxerrois, en Franche-Comté, dans le
Beaujolais, dans le
Bourbonnais, en Touraine, en Bretagne, dans le Perche, en Picardie et
même à
Saint-Domingue (Haïti), etc…
J’ai souvent parlé avec ma belle-mère de nos origines familiales ; mes parents et elle avaient de nombreuses ascendances communes dans la région et de très nombreux cousins proches communs, tout comme presque tous mes beaux-frères et belles sœurs (nous sommes presque tous descendants notamment de la famille DROULERS). Par son arrière-grand-mère Louise DROULERS-LE TELLIER elle descend de très nombreuses familles d’ancienne bourgeoisie et des familles nobles ou souveraines des provinces du Nord et de toute l’Europe (dont 11 fois de St-Louis par, entre autres, les de CROESER et de RODOAN). Philippe de RODOAN, bourgmestre de Bruxelles, avait épousé Maximilienne de BOURGOGNE-HERLAER ; sa famille était venue de Lorraine par alliance avec une famille des lignages de Bruxelles, alors que l’alliance de RODOAN citée dans la généalogie MACQUART est une pure invention dont l’auteur est certainement un MASSIET, fils et époux de 2 MACQUART, qui a été condamné par le Parlement de Flandre pour avoir falsifié la généalogie de sa famille paternelle qui se prétendait issue de la famille noble de MASSIET." Philippe A Rammaert à Thierry Prouvost
Jusqu'à la 6e génération.
Claude Mignot, né en 1675, Durnes (Franche Comté).
Marié en 1700 avec Bonaventure Gagnepain, née le 12 novembre 1675, Durnes
(Franche Comté), dont