Quelques illustrations de la lignée 
d’Ambricourt-Dambricourt

 « La famille de mon grand-père paternel, originaire d'Ambricourt sur le plateau de Fruges dans l’Artois, se suit jusqu'au 14ème siècle avec Andrieu Dambricourt. Son histoire est jalonnée de notables depuis son petit fils, Messire Jehan d’Ambricourt, échevin de Saint Omer vers 1521.

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Ambricourt (Albums de Croÿ)

Andrieu Dambricourt serait un descendant de Robert d'Ambricourt, un seigneur local qui contribua en 1052 à la réhabilitation de l'abbaye royale de Blangy-sur-Ternoise fondée par Sainte Berthe en 682.

Anne Dambricourt-Malassé : « il n'existe pas de traces écrites entre Robert d'Ambricourt et Andrieu Dambricourt, c'est une question d'histoire locale. Cette région a été  sinistrée depuis des siècles par les guerres, les abbayes qui conservaient les archives ont été détruites, ce sont des bribes récupérées depuis 30 ans.
"Aucune mention du village n’est encore connue avant le XIIème siècle, Ambricourt est déjà un hameau avoisinant un château dont il ne restait plus en 1900, qu’une cheminée monumentale incorporée dans une chaumière, au lieu-dit de Crépieul. En 1150, le lieu-dit Crépieul a conservé le nom d’un seigneur du haut Moyen-Age (i.e. entre les V et VIIIème siècle), à  l'origine d'Amalrici curtis" (Derisbourg 1932).
"Lorsque le domaine romain prit fin, la villa carolingienne qui lui succéda se présente soit comme fragment d'une grande fortune foncière, soit comme possession unique d'un propriétaire. Le domaine (ou réserve), est la partie directement exploitée par le maître ou seigneur (ecclésiastique ou laïc). Géré depuis la curtis (maison du régisseur entourée de bâtiments d'exploitation), il comprend des étendues importantes de terres arables, des prés, des vignes, des bois et des friches". 
Donc à l'origine Ambricourt n'est pas un village, c'est la demeure d'un seigneur qui vit de l'exploitation de ses terres et de ses bois.
Robert d'Ambricourt apparait un siècle avant le nom du village, en 1053 comme l'un des seigneurs bienfaiteurs de l'abbaye de Blangy sur la Ternoise sinistrée en 800 par les Normands et reconstruite donc au XIème siècle, les dons pouvaient être des terres ou des bois.  Les deux domaines étaient quasiment limitrophes.  C'est au VIIème siècle que Berthe fit édifier le monastère pour femmes (en 682), les terres avaient été élevées au rang de Comté par Clovis II à sa naissance. Elle était de sa lignée. Il existait nécessairement des liens entre le Comté de Blangy et le domaine d'Amelric. Et c'est sans doute en relation avec ces liens que Robert, 4 siècles plus tard, contribua à la restauration du monastère.  Le seigneur Robert d'Ambricourt est donc très probablement un descendant d' Amelric qui avait son logis à Crépieul et exploitait ses terres et ses bois. 
Le logis d'Almeric à l'origine du nom est une chose, le village en est une autre, au XIVème siècle douze fiefs indépendants se le partagent et les seigneurs du village Ambricourt pour partie n'ont jamais porté le patronyme.
Au cours de ce siècle Andrieu Dambricourt vit à Canlers, le village limitrophe d'Ambricourt, côté plateau.  Il est né vers 1370 et exploite des terres.
C'est sa descendance qui permet de reconstituer son statut. Son petit fils, Jehan, était maneglier de l'église de Canlers (gèrant des biens de l'église), le fils aîné de ce dernier est Maître Baudouin Dambricourt, vice-curé qui reçoit des droits de terrage de Nicolas de Héricourt, écuyer et seigneur.  Jehan possédait un manoir amazé dans Canlers (logis avec jardin), et surtout fut échevin de St Omer, où il acquit une propriété intra-muros de Jean de Croÿ, comte de Roeulx , (maison de maître, jardin, dépendances). Jehan possédait des terres bien au-delà de Canlers,  j'en ai déduit qu'il devait  être maître es loi (?)  et disposer d'une fortune foncière acquise par l'exploitation des terres (des céréales, l'Artois était le grenier à blé des Flandres). J'en ai déduit que son grand père Andrieu devait être un notable du plateau de Fruges, avec des terres  proches du village Ambricourt acquises depuis des générations, et que pour cette raison, son patronyme vient très probablement de Robert. Après, c'est une question de spécialiste, eut-il  été possible qu'une autre famille sans aucun lien de parenté avec Robert d'Ambricourt, mais bien enracinée sur les mêmes terres et possédant assez de terres pour en vivre aisément, puisse user du même patronyme sans jamais porter le titre de seigneur du village Ambricourt ?
C'est pourquoi il me semble nécessaire de faire le distinguo entre le village et le patronyme. Il est hautement probable que le patronyme Dambricourt ne vientpas du village encore inexistant au XIème siècle puis morcelé en seigneuries ensuite, mais du logis, bien antérieur au village, portant le nom d'Amelric, les terres agricoles étant transmises depuis des siècles aux descendants.  Descendants du seigneur Robert d'Ambricourt, dont le logis était à Crépieul, et non pas de seigneurs du village Ambricourt, un hameau plus tardif qui s'est construit en bordure de Crépieul et dont aucun d'Ambricourt ne fut seigneur. »

" A partir de 1630, entre Ambricourt et la Ternoise, se dessine une dynastie de minotiers qui, après avoir migré sur St Omer, deviennent papetiers dans la vallée de l'Aa.  Certains s'engagent en politique avec Louis-Albert Bellart Dambricourt (1796-1864), député du Nord, membre de l’Assemblée Constituante de 1848, cousin germain Alexandre Dambricourt, mon arrière-arrière-arrière-arrière-grand-père. Partisan de la Révolution de juillet 1830, mon aïeul fut 1er maire adjoint de Lille et membre de la chambre de Commerce de la capitale des Flandres.

Sa fille, Anna Dambricourt est inhumée dans la crypte de l’abbaye Notre Dame de Wisquess, aux côtés de la première mère abbesse Thérèse Bernard Dambricourt, sa nièce adoptive, et dont elle fut mécène (1889).

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Mère Thérèse Bernard Dambricourt

Elle épousa son cousin Géry Dambricourt 

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fils d’Antoine  

et eut un fils unique, mon arrière grand père Géry Dambricourt, PDG des Papeteries de l'Aa et Chevalier de Saint-Grégoire-le-Grand, Censeur de la Banque de France. Son épouse, Thérèse Masse, cousine de Monseigneur Roland-Gosselin, évêque de Versailles (1931-1952), était une petite nièce de Charlotte Lefebvre mariée au député Nicolas Martin du Nord,  vice-président de la Chambre des députés puis Ministre de la Justice et des Culte très proche du roi Louis-Philippe. On le voit dans ce tableau d’Eugène Lamy. Adèle, sœur de Delphine Lefebvre épouse d'Auguste Masse, était la grand tante de Thérèse Masse épouse Dambricourt; « Concernant la statue de Lille, c'est l'épouse de Nicolas Martin du Nord, comme le signale la discussion à ce propos ci après, et cette personne était bien Adèle Lefebvre, la sœur de la grand-mère de Thérèse Masse épouse de Géry Dambricourt, une arrière-grand tante de mon père Xavier Dambricourt (1928-1988). »  Anne Dambricourt-Malassé

 

Martin-Nord-Lami

Réception en l'honneur de la Reine Victoria, dans le salon de famille au château d’Eu
Eugène LAMI
© Photo RMN-Grand Palais - G. Blot

« La scène a lieu dans l’une des pièces de réception du château d’Eu, destinée aux réunions de famille, le « Salon des Rois », ainsi appelé en raison des onze portraits en pied de rois et reines de France qui le décoraient. On y reconnaît Louis-Philippe conversant avec le prince Albert sur un canapé. Lord Aberdeen et Guizot se tiennent debout devant eux. A la table sont réunis autour de la jeune reine Victoria le prince de Joinville, la princesse Clémentine, Madame Adélaïde, sœur du roi, et la duchesse d’Orléans. Debout se tiennent le duc d’Aumale, Martin du Nord, ministre de la Justice, et le duc de Montpensier ; à côté de la reine Victoria se trouvent la reine Marie-Amélie, épouse de Louis-Philippe, puis la reine des Belges. La princesse de Joinville, debout devant la table, converse avec le colonel de Chabannes. On aperçoit au fond de la pièce, à droite, le prince Auguste de Saxe-Cobourg. Ce 3 septembre étant un « Sunday close », on réduisit les activités : les princes passèrent la soirée dans ce salon, situé au premier étage de l’aile sud du château d’Eu, à converser et à feuilleter des albums. C’est cette ambiance familiale et chaleureuse que réussit à dépeindre Eugène Lami. » Robert FOHR et Pascal TORRÈS http://www.histoire-image.org

Charlotte fut le modèle de James Pradier pour représenter la ville de Lille, place de la Concorde (voir rectification historique ci après). 

Georges Dambricourt, mon arrière-grand père,  PDG des Papeteries de l’Aa et Conseiller de la Banque de France, fut Croix de Guerre (Chemin des Dames de mai à juillet 1917), Chevalier de la Légion d’honneur et Chevalier de Saint-Grégoire-le-Grand,  épousa Marie Leurent, une petite nièce de Jules Leurent (1813-1883), député du Nord. »  Aline d'AMBRICOURT, claveciniste.

Parmi d'autres personnalités :

 Monseigneur  André Parenty Dambricourt (1895-1983), évêque auxiliaire d'Arras, fils de Maurice Parenty (1864-1951) avocat à Saint-Omer et de Joséphine Marie Victorine Dambricourt (1868-1902), qui grandit au château de la Prévôté d'Hallines. Joséphine était une nièce d'Anna, mécène de l'abbaye ND de Wisques.

Georges Dambricourt (1923-1982), Docteur en Théologie, prêtre, petit-fils de Géry et Thérèse Dambricourt, oncle d'Anne et Aline Dambricourt, auteur de plusieurs ouvrages, « Les traditions du Pentateuque et les Évangiles Synoptiques, Paris, Spes, 1965 », « L'initiation chrétienne selon Saint Marc, 1970 », « Matthieu. Structures, sacrements, expérience des personnes divines, Editore. Toulouse : Privat, 1977 »

Le village Ambricourt est à l'origine du patronyme d'Ambricourt équivalant de Dambricourt

Ambricourt est le petite village artésien du roman de Georges Bernanos "Journal d'un curé de campagne" (1936).

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Géry et son fils Georges

 

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 « D'Ambricourt est un nom de famille notamment porté par :

Messire Johan d'Ambricourt, également écrit Dambricourt, né à Canlers vers 1500, village mitoyen d'Ambricourt sur le plateau Fruges dans les collines de l'Artois, est échevin de Saint Omer (Pas de Calais). Petit fils d'Andrieu Dambricourt né vers 1370 à Canlers et fils de Mollinet Dambricourt vivant à Canlers en 1450.

Au XVIème et XVIIème siècle, de nombreuses familles du plateau de Fruges portent le patronyme d'Ambricourt écrit aussi bien Dambricourt dans des actes passés devant Me Jacques Cornuel, notaire à Fressin:

Bail qu'a fait Jeanne Françoise Dambricourt a Pierre Louis d'Ambricourt fol 94 : "Jeanne Francoise d'Ambricourt fille a marier de feu Mathieu Francois et d'encore vivante Caterine Duboguet, demeurante en la ville d'Arras en ce lieu elle a baillie et accordé a tiltre de bail et louage a Pierre Louis d'Ambricourt acceptant aud. tiltre sept mesures et demie de terres labourables en trois pieces scituez a Beaulieu Ruisseauville et Planques bien cognu aud.Pierre Louis Dambricourt etc..."

Ces familles étaient celles de "laboureurs" établis dans les villages d'Ambricourt, Canlers, Azincourt, Ruisseauville, où se déroula en 1415, la bataille d'Azincourt (pour les anglais, Ruisseauville pour les français) au cours de laquelle la noblesse française fut décimée et de nombreux chevaliers inhumés dans l’enceinte de l’abbaye de Ruisseauville.

On les rencontre à Avondance, Fruges, Fressin, Maisoncelles, Beallancourt, Rollancourt sur la Ternoise;

1523 N d’Ambricourt est homme d’armes d’Oudard du Biez, seigneur de Créquy.

Denise d'Ambricourt, décédée vers 1616,  on dresse l’inventaire de ses biens devant le bailli et les hommes de fief de la terre et seigneurie de Canlers : une maison avec trois étables et une grange située sur un manoir et héritage contenant 2 mesures de terre à Canlers.

Mathieu Franchois d’Ambricourt demeurant à Avondance épouse Catherine Duboguet, baille en 1649

Antoine d'Ambricourt, natif du village Ambricourt, décède "au service du Roy administré de tous les saints sacrements de l’église", le 15 mars 1679

Pierre Louis Dambricourt possède des « biens immobiliers de nature féodale », ses enfants s’établissent à Crépy et Ambricourt, son fils François D’Ambricourt est laboureur à Avondance.

Le sieur Louis François d’Ambricourt, est parrain en 1784 d’une nouvelle cloche de l’église Saint Nicolas d’Avondance, nommée Françoise.

Au XIXème siècle, l'orthographe d'Ambricourt tend à disparaitre tandis que les familles qui ont quitté le plateau de Fruges ou les moulins sur la Ternoise pour ceux de l'Aa à Wizernes, Hallines et faire commerce du blé à Saint Omer et Lille, conservent l'orthographe Dambricourt

Louis Bellart d'Ambricourt (1796-1864) fils de Nicolas Bellart et Marie Dambricourt, marié à Sidonie Dambricourt, maire de Wizernes et élu député du Nord, siège à l'Assemblée Constituante de 1848. »

Dambricourt-Hallines

Le château d’Hallines fut occupé, sous la deuxième guerre mondiale,  par le QG de l'organisation Todt en charge de la construction de la Coupole de Wizernes, base de lancement de V2

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Dambricourt-Gery-Hallines

 

Dambricourt-Gery-Hallines

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Géry, prénom de famille :
    Géry Dambricourt 1797-1845 (Géry Louis), & Fidéline Houzet
    Géry Dambricourt 1839-1861 (Géry Julien), & Anna Dambricourt
    Géry Dambricourt 1862-1925 (Géry Auguste Marie Joseph Cornil), & Thérèse Masse
  L’abbé Géry Dambricourt 1886-1964 (Géry Auguste Marie Joseph Cornil)
    Géry Dambricourt 1921-2012, & Bernadette Verhaeghe
    Géry Dambricourt-Salmon-Legagneur

Quelques portraits

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Arthémise Dambricourt, fille d’Antoine ;  Fidéline Houzé


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Auguste-François Dambricourt, fils de Géry Julien et Fidéline Dambricourt
 
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 Pierre Dambricourt

Quelques personnalités

 
Louis-Albert Bellart-Dambricourt

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« (13 mars 1796, Saint-Omer - 13 novembre 1864,  Hallines), est un homme politique français.

Fils de Nicolas Bellart et de Marie Chrétienne Dambricourt, il était négociant à Wizernes. Les électeurs du Pas-de-Calais l'envoyèrent à l'Assemblée constituante. Il fit partie de la majorité, et vota : pour la loi sur les attroupements, pour le décret sur les clubs, pour les poursuites contre Louis Blanc et Caussidière, pour l'impôt proportionnel, pour les félicitations à Cavaignac, pour la proposition Rateau, pour l'expédition de Rome, contre l'abolition de la peine de mort, contre l'amendement Grévy, contre l'abolition du remplacement militaire et contre le droit au travail.

Il ne se rallia pas à Louis-Napoléon Bonaparte, et se retira, après la session, dans son département, où il mourut. »Wikipedia Contenu soumis à la licence CC-BY-SA 3.0 (http://creativecommons.org/licenses/by-sa/3.0/deed.fr) Source : Article Louis-Albert Bellart-Dambricourt de Wikipédia en français (http://fr.wikipedia.org/wiki/Louis-Albert_Bellart-Dambricourt).


Aline d’Ambricourt 

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Aline d'Ambricourt, née le 22 novembre 1967 à Neuilly-sur-Seine, est une claveciniste française.

Très tôt, elle est initiée à la musique par Jacqueline Josse-Gaudet, professeur à l’Ecole Normale de Musique de Paris ayant travaillé aux côtés d’Yvonne Loriot les ondes Martenot avec Maurice Martenot.

Formée aux conservatoires de Versailles, Saint-Cloud et Rueil-Malmaison ainsi qu’au Conservatoire d'Amsterdam, Aline d'Ambricourt se produit en soliste et musique de chambre depuis 1991 dans de nombreux festivals, en France et en Europe.

On a pu l'entendre notamment au château de Chambord, à Copenhague, à Graz, à Londres, à Monaco, à Paris, à Rome, à Venise...

En 2007, elle réalise un film documentaire musical sur Domenico Scarlatti (1685-1757) puis, en 2012 enregistre les sonates de ce compositeur sur le clavecin Migliai (1763) dont l'interprétation est saluée par la critique.

Passionnée par les instruments anciens, elle joue à l'Hôtel Le Bristol Paris, en septembre 2012, sur deux clavecins de Giovanni Polizzino (1634) et Guillaume Hemsch (1765).

Aline d'Ambricourt fait revivre le répertoire ancien composé pour un instrument dont l'origine remonte au XVème siècle, sous sa forme primitive.

Pour ce faire, elle créé en 2012 à Genève, la Fondation du clavecin, qui a pour objet de promouvoir et de valoriser le patrimoine historique que constitue le clavecin.

Le but de la Fondation et la raison même de sa création est avant tout de faire connaitre le clavecin, son évolution et sa musique, mais à travers celui-ci, c'est à un art de vivre que la Fondation fait référence et qu'il parait essentiel de préserver et de transmettre.  Non pas une reconstitution d'ordre folklorique, ou une fête mondaine, mais un art de l'élégance et du raffinement, de la culture et de la sensibilité, de la rigueur et du plaisir.

Discographie :

    Louis Marchand et François Couperin, pièces pour clavecin (Intégral Classic 2002) Clavecin.com Production

    Domenico Scarlatti DVD, film documentaire musical en H.D (52'), sous-titré en français et anglais intitulé "Domenico Scarlatti l'Intemporel", (Integral Classic 2007), Clavecin.com Production

    François Couperin, Jean-Philippe Rameau, Louis Marchand, Jean-Sébastien Bach, Domenico Scarlatti, album intitulé Les Baricades Mistérieuses, 2009 Clavecin.com Production

    Domenico Scarlatti, 16 sonates sur le clavecin G.P Migliai 1763, (Integral Classic 2012) Clavecin.com Production 

http://www.clavecin.com/

http://www.fondationduclavecin.org/

 

 

Anne Dambricourt-Malassé

Paléoanthropologue

 

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Olivier Dambricourt

Un polytechnicien de choc chez DCNS

Dambricourt

YANN VERDO - Les Echos | Le 01/03/2010

« Certains polytechniciens ont une vie plus mouvementée que d'autres. Olivier Dambricourt est de ceux-là, et pas seulement parce qu'il vient, à quarante et un ans, d'accepter la difficile mission de conduire le programme de transformation du groupe DCNS lancé par le nouveau PDG, Patrick Boissier.

A l'X, qu'il intègre 68eà l'issue de ses deux années de classe préparatoire à Louis-le-Grand, il fera travailler au moins autant, sinon plus, ses muscles que ses neurones. Tous les sports ou presque y passeront, de l'aviron à l'escrime en passant par l'aïkido, la natation et la course à pied, mais son classement de sortie (230e) s'en ressentira... Aucune importance d'ailleurs puisqu'il ne visait pas les grands corps mais voulait devenir ingénieur d'essais en vol, à défaut d'une carrière d'astronaute ou de pilote de chasse que des problèmes de vue lui interdisaient. La Délégation générale de l'armement, qu'il rejoint en 1993 au centre d'essais de Cazeaux à sa sortie de l'Ecole supérieure de l'aéronautique et de l'espace, lui donnera largement l'occasion d'étancher cette soif de virées en plein ciel. Dans la foulée, il passera son brevet de pilote IFR. Mais ce n'est pas tout. Ce père de trois enfants est également un alpiniste chevronné et un grand adepte de raids nature dans des conditions « ushuaïesques ». En la matière, il a touché à peu près à tous les modes de locomotion, et sous tous les climats. A un homérique Compiègne-Maroc en « AMI 8 » Citroën succéderont notamment le Translaponie en moto-neige, un raid Gauloises dans les sables d'Oman, une traversée de l'Islande à ski et en traîneau en totale autonomie... Bref, une suite d'aventures qui ne dépareraient pas dans ces techno-thrillers de Tom Clancy et Clive Cussler, ou ces séries de bande dessinée qu'il dévore avec avidité à ses (rares) moments perdus.

Immersion au sein de l'Etat

Sa vie professionnelle est, sinon plus calme, du moins plus classique. Ingénieur de l'armement devenu haut fonctionnaire au Secrétariat général aux affaires européennes, Olivier Dambricourt met ensuite le cap sur les cabinets ministériels. De 2002 à 2004, il cumule la fonction de conseiller technique dans l'équipe de Francis Mer au Minefi et celle de Nicole Fontaine au ministère délégué à l'Industrie, avec comme portefeuille les secteurs de la défense, de l'aéronautique, de l'espace, de la construction navale, de la chimie et de la pharmacie. « Les plus belles années de ma vie professionnelle. Le sentiment que j'ai éprouvé durant cette période est proche de celui que doivent connaître les équipages d'un sous-marin », glisse-t-il. A l'ampleur des sujets traités -difficultés de Rhodia ou des Chantiers de l'Atlantique, changement de statut et ouverture du capital de DCN... -s'ajoute une vraie affinité avec Francis Mer, dont il dit pleinement partager « l'éthique de responsabilité » et la sensibilité démocrate-chrétienne.

Mais suivre les dossiers industriels depuis les bureaux feutrés de Bercy ne pouvait pas satisfaire éternellement cet homme d'action dans l'âme qu'est Olivier Dambricourt. Aussi choisit-il en 2004 de troquer sa vie de conseiller pour celle de directeur d'usine chez Rhodia. Le site de La Rochelle dont il prend les commandes est en plein plan social. Mais, en se servant des questions de sécurité et d'environnement comme leviers, le jeune polytechnicien réussira à remotiver ses troupes et à faire repartir l'usine de l'avant. Un baptême du feu managérial qui vaut tous les raids. » Gauloises du monde.

@verdoyann  http://www.lesechos.fr/01/03/2010/LesEchos/20625-058-ECH_olivier-dambricourt-un-polytechnicien-de-choc-chez-dcns.htm#3ihpbOWPcRCui1oL.99

 

Quelques cousinages

 

 

 

Auguste Romain Joseph Lefebvre 1781-1861
&1808
Jeanne Bernardine Sophie Lefèvre 1783-1831

 

 

 

 

 

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Delphine Lefebvre 1807-1872
&1827
Alexandre Masse 1790-1873

 

 

Adèle Sophie Charlotte Lefebvre 1806-1879

 

 

Nicolas, comte Martin du Nord 1790-1847

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Alfred Masse 1833-1890
&1859
Angélique Meurisse 1840-1903

 

 

 

 

 

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Thérèse Masse 1864-1944

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Nicolas Martin du Nord

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« Ministre de la Justice et des Cultes

29 octobre 1840 – 12 mars 1847

Nicolas-Ferdinand-Marie-Louis-Joseph Martin, comte Martin du Nord1, est un magistrat et homme politique français né à Douai (Nord) le 29 juillet 1790 et mort au château de Lormoy (Essonne) le 12 mars 1847.

Lormoy

 

Après des études de droit à Paris, Nicolas Martin du Nord fut reçu docteur en droit, et devint rapidement un brillant avocat au barreau de Douai. Il fut plusieurs fois bâtonnier. Conseiller municipal, juge suppléant, vice-président des hospices de Douai, il se prononça pour la Restauration avec un empressement qui fut ensuite l'objet des railleries de ses adversaires politiques, car il se rallia à la monarchie de Juillet dès le lendemain de la révolution de 1830.

Élu député le 28 octobre 1830 par le grand collège du Nord (571 voix sur 1.258 votants et 2.895 inscrits), il siégea dans la majorité conservatrice dont il ne tarda pas à devenir l'un des membres les plus en vue grâce à ses talents oratoires. Il se fit remarquer notamment dans la discussion générale du projet de loi sur la composition des cours d'assises et sur les déclarations du jury (6 janvier 1831). Le 12 mars, il fut le rapporteur de la commission chargée d'examiner le projet de loi concernant la procédure pour les délits de presse. Peu après (14 mars), il fit rejeter un amendement de Georges Humann qui proposait d'appliquer à tous les travaux d'utilité publique entrepris par le gouvernement les dispositions exceptionnelles du projet sur l'expropriation temporaire des propriétés privées.

Réélu le 5 juillet 1831 par le 5e collège du département du Nord (Douai) (91 voix sur 128 votants et 152 inscrits contre 35 à M. Honoré, avocat), il fut chargé d'un rapport important sur la loi sur l'avancement dans l'armée (8 octobre). En février 1832, il présenta le rapport de la commission chargée d'examiner le projet de loi autorisant la ville de Paris à émettre un emprunt de 40 millions. Rapporteur de la commission d'enquête chargée d'examiner les agissements du Sieur Kessner, caissier général du Trésor public qui avait disparu en laissant un déficit de plusieurs millions, il fut accusé d'avoir atténué, voire couvert, certaines responsabilités, et violemment pris à partie par l'opposition.

Nommé avocat général à la Cour de cassation le 6 août 1833, il vit son mandat de député confirmé par ses électeurs (93 voix sur 109 votants et 151 inscrits) et fut désigné comme l'un des secrétaires de la Chambre des députés. Il présenta le rapport du projet de loi sur les associations adopté le 26 mars 1834. Le 5 avril 1834, il fut nommé procureur général près la cour d'appel de Paris, en remplacement de Jean-Charles Persil, nommé garde des sceaux. Le 15 avril, le roi le désigna pour remplir les fonctions de procureur général près la Cour des pairs, convoquée pour juger le procès des insurgés de Lyon (avril 1834). Sa promotion dans la magistrature l'amena à se représenter devant ses électeurs qui lui renouvelèrent leur confiance le 10 mai 1834 (105 voix sur 170 votants). Il fut également réélu lors du renouvellement général du 21 juin (109 voix sur 113 votants et 172 inscrits) et élu vice-président de la Chambre des députés le 8 août 1834.

En 1835, il fut occupé par le procès des insurgés d'avril 1834 et, en 1836, par ceux de l'attentat de Fieschi, de l'attentat d'Alibaud, du complot de Neuilly-sur-Seine. Succédant au rapport de Girod de l'Ain, son réquisitoire dans le procès des insurgés d'avril occupa quatre séances.

Martin du Nord voyageait en Suisse en septembre 1836 lorsqu'il fut rappelé à Paris pour être nommé, le 19 septembre 1836, ministre des Travaux publics, de l'Agriculture et du Commerce dans le premier ministère Molé, fonctions que, malade, il ne put remplir effectivement qu'à compter du 16 octobre. À ce titre il s'occupa des premières concessions du chemin de fer. Il présenta des projets de loi pour l'achèvement de routes royales, de ports maritimes, de canaux et pour l'amélioration de diverses rivières navigables. Il déposa également le projet de loi sur l'application exclusive du système métrique et le projet de loi sur les vices rédhibitoires des animaux domestiques. Il fit lever la prohibition des fils de laine à l'étranger et abaisser les droits sur les houilles étrangères. Il augmenta les encouragements à l'agriculture, tenta une réorganisation du Conservatoire des arts et métiers et créa plusieurs bourses à l'École centrale des arts et manufactures.

Il conserva le même portefeuille dans le deuxième ministère Molé jusqu'au 30 mars 1839. Ses électeurs du Nord lui avaient renouvelé leur confiance les 29 octobre 1836, 4 novembre 1837 (116 voix sur 119 votants et 179 inscrits) et 2 mars 1839 (108 voix sur 129 votants). Réélu à la vice-présidence de la Chambre, il fut nommé ministre de la Justice et des Cultes le 29 octobre 1840 dans le troisième ministère Soult, poste qu'il conserva jusqu'en 1847. Durant cette période, il ne cessa d'être réélu par ses électeurs de Douai, les 5 décembre 1840 (137 voix sur 140 votants), 9 juillet 1842 (173 voix sur 177 votants et 235 inscrits) et 1er août 1846 (172 voix sur 173 votants et 231 inscrits).

Comme Garde des Sceaux, il se signala par deux circulaires aux procureurs généraux du 22 septembre 1841, l'une concernant la ferme et rigoureuse exécution de la loi sur les associations illicites, l'autre concernant les délits de presse, qui furent vivement attaquées par l'opposition républicaine. Il présenta aux chambres la loi sur les ventes judiciaires des immeubles, sur la responsabilité des propriétaires de navires, sur les ventes aux enchères de marchandises neuves, sur la police de la chasse, sur le Conseil d'État, sur la restauration de la cathédrale Notre-Dame de Paris. Il s'occupa également de la réforme du régime hypothécaire, présenta à la Chambre des pairs un projet de loi sur le noviciat judiciaire et prépara une réforme du Code d'instruction criminelle. Comme ministre des Cultes, il mena avec succès de délicates négociations avec les Jésuites et avec le Saint-Siège.

Le 15 janvier 1847, une ordonnance lui retira le ministère de la Justice pour « raison de santé ». La rumeur publique y vit une destitution déguisée, qui aurait eu pour fondement, selon le Dictionnaire des parlementaires, « certains faits scandaleux auxquels M. Martin (du Nord) aurait participé dans une maison interlope ». Quoi qu'il en soit, il mourut peu après, le 12 mars 1847, officiellement d'une attaque d'apoplexie, mais certains ont parlé de suicide (V. Scandales sous la monarchie de Juillet).

Vie familiale

Il épousa Adèle Sophie Charlotte Lefebvre, fille d'un négociant lillois, dont il eut :

    Ernest, comte Martin du Nord, lieutenant-colonel du 2e régiment de Paris, auditeur au Conseil d'État et conseiller général du Nord ;

    Delphine Martin du Nord, épouse de Gustave Roland-Gosselin, juge au Tribunal de Versailles ;

    Clémence Martin du Nord, épouse de Léon Roland-Gosselin ;

    Charles Martin du Nord.

Sources

    « Nicolas Martin du Nord », dans Robert et Cougny, Dictionnaire des parlementaires français, 1889 » Wikipedia Contenu soumis à la licence CC-BY-SA 3.0 (http://creativecommons.org/licenses/by-sa/3.0/deed.fr) Source : Article Nicolas Martin du Nord de Wikipédia en français (http://fr.wikipedia.org/wiki/Nicolas_Martin_du_Nord). 

MARTIN_DU_NORDDambricourt-Houze.jpg

 

 

La « ville de Lille » sculptée par Pradier 

sur la place de la Concorde, membre de la famille ?

 

Dambricourt-Lille-Concorde

« La personne de la famille que nous pensions avoir posé pour cette statue était Arthémise Dambricourt. Voici les premiers éléments que ma cousine m’avait adressés: Arthémise Dambricourt, a perdu son jeune mari Alexandre Dambricourt en 1837, après que celui-ci ait porté secours à la population lilloise exposée à des inondations. Il était premier adjoint au maire de Lille, membre brillant de la Société Royale des Sciences, des Arts et de l'Agriculture de Lille. Les journaux ont publié à l'époque les éloges funèbres. Il était politiquement proche d'Adolphe Thiers qu'il connaissait personnellement et qui était invité parfois par la famille, à l'époque où il était encore avocat.

Le député Martin du Nord était un ami d'Alexandre Dambricourt et de la famille, le nom de la famille Martin du Nord se lit sur le faire-part de décès de notre arrière-grand-père Géry et de notre arrière-grand-mère Thérèse.

La fille du député Martin du Nord était une amie d'Artémise et d'Alexandre, il se peut alors que le député Martin du Nord ait proposé à Artémise de poser pour la statue.» Jérome Dambricourt d'Anzel d'Aumont. 

Comme nous l'avons vu, la femme qui a posé pour la statue de Lille était l'arrière grand tante de  Xavier Dambricourt (1928-1988).

« A propos de l’identité du modèle de La Ville de Lille, je ne peux mieux faire que de citer la note consacrée à cette question dans mon édition de la Correspondance de Pradier, t. II (1834-1842), p. 108: « Quant à La Ville de Lille, son modèle vivant aurait été Mme Martin, épouse du député et fille du docteur Vignardonne. Le Journal des Débats du 15 juillet 1916 publia une lettre de sa petite-fille qui précise : « A son grand regret, elle se résigna à laisser faire cette statue d’elle, car elle détestait tout ce qui la mettait trop en avant et elle refusa de poser. Pradier fit d’elle un assez grand nombre de croquis, et pour cela, il était obligé d’aller dans les réceptions officielles, car c’est tout ce qu’elle admit: elle ne voulait pas s’en apercevoir, disait-elle! Cependant, à la fin on finit par la décider à poser une fois, peut-être deux, mais je n’en suis pas sûre… »

L’auteur d’une « Notice sur la statue de Lille » (Journal de Lille, 4 septembre 1937) avance le nom d’un autre modèle: Mlle Marie-Antoinette d’Assignies, née à Lille en 1813, morte au Château de Montmirey en 1858.      

 A noter qu'en 1837 (époque où il exécutait La Ville de Lille et son autre statue de la place de la Concorde, La Ville de Strasbourg) Pradier a exposé au Salon un joli portrait à l’huile intitulé Portrait de Mlle A.V… dont le modèle était peut-être Marie Athalie Vignardonne, fille du docteur Vignardonne et future épouse du député Martin du Nord. Ce portrait a refait surface dans une vente à Paris en 1993. A titre de comparaison, le voici côte à côte avec la statue:

Vignardonne_Mlle_detail_small.jpg

Si l'on peut constater une certaine ressemblance entre les deux figures, il faut toutefois tenir compte du fait que La Ville de Lille a été détruite en 1871 pendant la Commune et entièrement refaite en 1872 par un ancien élève de Pradier, Eugène Lequesne, qui en possédait le modèle en plâtre. Ce modèle, offert par Lequesne en 1876 à la Ville de Paris pour le musée Carnavalet, ne se trouve pas dans les collections du Carnavalet et nous ignorons ce qu'il est devenu. On ne sait donc pas dans quelle mesure la tête de la statue actuelle est une reproduction fidèle de la tête de la statue originale. » Douglas Siler

 (18/2/2008) http://www.jamespradier.com/Texts/Forum_Ville_de_Lille.php

 

Jules-Joseph-André Leurent

 

Félix Leurent 1774-1857 &1811 Sophie Joseph Suin 1788-1866

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Henri Désiré Leurent 1819-1874 &1850
Pauline Charlotte Huret 1821-1876

 

Jules Leurent 1813-1883

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Paul Henri Leurent 1854-1934 &1881
Marie Célestine Béghin 1860-1933

 

 

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Marie Leurent 1894-1983

 

 

 

Jules-Joseph-André Leurent (17 octobre 1813, Roncq - 30 juin 1883, Halluin), « est un industriel et homme politique français.

Il étudia la médecine, se fit recevoir docteur et exerça cette profession, avant de rentrer dans l'industrie. Devenu filateur de lin et de coton à Tourcoing, il fut membre du conseil municipal de cette ville en 1848, vice-président de la chambre consultative des Arts et Manufactures, plusieurs fois conseiller général du Nord pour le canton de Tourcoing-Sud, et afficha des opinions nettement protectionnistes. Pendant cinq ans, il appartint au comité central de la sucrerie indigène et il joua un rôle important dans toutes les enquêtes qui eurent lieu durant cette période devant le Conseil d'État, le conseil supérieur du commerce, et devant les commissions des douanes au Corps législatif.

Décoré de la Légion d'honneur en 1867, il fut porté, le 8 février 1871, sur la liste conservatrice du Nord, et élu représentant à l'Assemblée nationale. Leurent siégea à droite et vota : pour la paix, pour les prières publiques, pour l'abrogation des lois d'exil, pour le pouvoir constituant de l'Assemblée, pour la chute de Thiers au 24 mai, pour le septennat, pour la loi des maires, pour l'état de siège, pour le ministère de Broglie, contre les amendements Wallon et Pascal Duprat, contre des lois constitutionnelles. Il prit part à plusieurs discussions économiques, fit partie de la commission du budget en 1871 et en 1872, parla sur l'impôt des matières premières en 1872, et se fit fréquemment le champion des idées protectionnistes. Le 2 juillet 1873, lors d'une proposition d'ajournement de l'examen des lois constitutionnelles, il déclara qu'on pouvait attendre, et que « le pays avait plus de confiance dans l'avenir en voyant sa situation améliorée depuis le 24 mai ».

En février 1875, Leurent proposa un amendement aux lois constitutionnelles en discussion, portant que « les fonctionnaires de l'ordre administratif ne pourraient pas être nommés sénateurs dans les départements où ils exerçaient leurs fonctions ».

Candidat « conservateur constitutionnel » aux élections du 20 février 1876, Leurent fut élu député de la 6e circonscription de Lille. Il reprit sa place à droite et se prononça, avec la minorité monarchiste, pour le gouvernement du 16 mai, contre les 363.

Il rentra dans la vie privée aux élections du 14 octobre 1877.

Sources

Frédéric Barbier, Le Patronat du Nord sous le Second Empire: Une approche prosopographique, 1989 »

 

Benjamin-Octave Roland-Gosselin

Benjamin-Octave Roland-Gosselin

(17 décembre 1870 à Paris - 22 mai 1952) « est un ecclésiastique français, évêque de Versailles de 1931 à 1952.

Biographie

Issu d'une famille de financiers et d'agents de change Parisiens, Benjamin-Octave Roland-Gosselin naît le 17 décembre 1870, en pleine guerre franco-allemande. Il fait ses études au collège des jésuites où il se lie avec Pierre Rivière, futur évêque de Monaco.

Son père Louis Roland-Gosselin était un des plus fameux et plus connus agents de change de Paris. Fervent catholique, Louis Roland-Gosselin aida financièrement à l'édification de 17 églises à Paris, dont la basilique du Sacré-Cœur, et donna trois enfants à l'Église (dont une religieuse, un prêtre et Mgr Roland-Gosselin). Il se verra même remettre le titre, par le Pape Léon XIII, de comte Palatin du Latran, à la suite d'un don important au denier de Saint Pierre, titre qu'il déclina.

À 18 ans, Benjamin-Octave exprime le désir de rentrer dans les ordres ; au début son père demande à ce qu'il puisse étudier chez lui au lieu d'aller au séminaire pour des raisons de santé, mais il entre finalement (le 1er octobre 1890) au séminaire d'Issy, où il étudiera aux côtés du futur cardinal Jules Saliège.

Il est ordonné prêtre le 21 décembre 1895 (par Mgr Farges, évêque de Thénarie), et débute sa vie pastorale dans la paroisse Saint-Pierre de Chaillot dont le curé (le Père Chesnelong, futur archevêque de Sens) était un ami de sa famille. Il est par la suite nommé aux œuvres et vocations de l'archevêché de Paris, dont il devient sous-directeur en 1902, fonction qui lui vaut de devenir chanoine. Il acquiert le château de Montsoult, qui servira à l'accueil des écoles libres du diocèse de Paris et à l'organisation de retraites pour le clergé parisien. Le château fut alors acquis, pour 240 000 francs, par Mgr Benjamin Roland-Gosselin, alors évêque auxiliaire de Paris. Le liquidateur des congrégations ne l’avait estimé qu’à 120 000 francs. Il rebaptisa la bâtisse « villa Béthanie ». Son beau-frère et sa sœur, monsieur et madame Masquelier, possédaient l’autre château de Montsoult, la villa des Peupliers.

Pendant la Première Guerre mondiale, il sert en aumônier militaire dans la Marine. Les services qu'il y rend lui valent d'être cité et fait chevalier de la Légion d'honneur.

Dès la fin de la guerre et sur demande au pape Benoît XV du cardinal Amette (archevêque de Paris), il est nommé (lors du consistoire du 3 juillet 1919) évêque in partibus de Mosynople et évêque-auxiliaire de Paris. La consécration épiscopale (la cérémonie correspondante) a lieu le 12 août à Notre-Dame de Paris, sous la présidence du cardinal Amette et avec l'assistance de Mgr Chesnelong (archevêque de Sens) et Mgr Gibier (évêque de Versailles), devant le clergé de la capitale, un grand nombre d'évêques et une foule de plus de 4 000 personnes.

Après la mort du cardinal Amette (29 août 1920), Mgr Dubois (alors archevêque de Rouen) lui succède à l’archevêché de Paris, en gardant Mgr Roland-Gosselin comme auxiliaire. Mais les deux hommes s’entendent rapidement assez mal, et après quelques difficiles années de collaboration, il devient coadjuteur de Mgr Gibier à l’évêché de Versailles, sur demande de ce dernier. L’entente est cette fois excellente, et en 1931 Mgr Roland-Gosselin succède à son ami et devient lui-même évêque de Versailles.

C'est Monseigneur Roland-Gosselin qui, à cette époque, approuva la Pieuse Union des Adoratrices du Cœur Sacré de Jésus et reconnut officiellement les apparitions de Jésus Roi de France et Marie Reine de France.

En 1947, s’estimant trop faible pour gérer son diocèse, il demande au pape Pie XII à en être déchargé, ce qui ne sera accepté qu’au printemps 1952, lorsqu’il est pris d’une maladie l’affaiblissant considérablement. Il est alors nommé archevêque in partibus de Laodicée de Syrie1 .

Il meurt peu après, le 22 mai 1952, et est inhumé dans le caveau des évêques de Versailles, dans la cathédrale de Versailles. Il sera succédé à l'évêché de Versailles par Mgr Renard.

Il était le cousin germain du botaniste français Robert Roland-Gosselin.

Bibliographie

Sébastien Boussier, Le diocèse de Versailles de 1931 à 1952. L'épiscopat de Mgr Roland Gosselin, dir. J.Y. Mollier, mémoire de maîtrise à Université de Versailles-Saint-Quentin-en-Yvelines, 1999. » Wikipedia Contenu soumis à la licence CC-BY-SA 3.0 (http://creativecommons.org/licenses/by-sa/3.0/deed.fr) Source : Article Benjamin-Octave Roland-Gosselin de Wikipédia en français (http://fr.wikipedia.org/wiki/Benjamin-Octave_Roland-Gosselin).

Alexandre Masse 1790-1873

Masse-Alexandre

&1827 Delphine Lefebvre 1807-1872

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Adeline Masse 1828-1889

Masse-Adeline

&1849
Louis Roland-Gosselin 1826-1907

Roland-Gosselin

 

Alfred Masse 1833-1890 &1859
Angélique Meurisse 1840-1903

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Octave Benjamin Roland-Gosselin 1870-1952

Roland-Gosselin-Monseigneur.

 

Thérèse Masse 1864-1944

Masse-Therese

 

Les usines

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Dambricourt-papeterie.jpgDambricourt-prix.jpg 
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L’usine de Wizernes
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  Usine de Gondardenne
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L’usine Pidoux
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Usines du Chocquet
 
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Usine de Confosse
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Usine d’Assinghem
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Flacons des années 30

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Descendants de Philippe DAMBRICOURT

Jusqu'à la 7e génération.  http://gw.geneanet.org/favrejhas

Philippe DAMBRICOURT, né en 1650, Rollancourt, 62770, Pas-de-Calais, France, décédé.

Sources : famille: aejz (sept 09) site patber33

Marié en 1680, Rollancourt, 62770, Pas-de-Calais, France, avec Marie Françoise CARLET, née le 15 février 1656, Rollancourt, 62770, Pas-de-Calais, France, décédée

Sources : famille: aejz (sept 09) site patber33

dont:

Sources : famille: aejz (sept 09) site philetmaud, site patber33

Marié le 30 janvier 1714, Billancourt, 80190, Somme, France, avec Marie Jeanne PAPE, née vers 1680, décédée

Sources : famille: aejz (sept 09) site philetmaud, site patber33

dont:

Note :   a transformé son moulin à farine de Wizermes sur l'Aa en fabrique industrielle de papier  

Sources : personne: mv(dec01), famille 1: aejz (sept 09) site patber33, famille 2: aejz (sept 09) site patber33, site philetmaud, site roglo

Marié le 11 janvier 1758, Saint-Omer, 62500, Pas-de-Calais, France, avec Marie Jacqueline DELATTRE, née en 1733, décédée le 24 août 1759, Saint-Omer, 62500, Pas-de-Calais, France (à l’âge de 26 ans)

Sources : famille: aejz (sept 09) site patber33

dont:

Marié le 12 mai 1767, Saint-Omer, 62500, Pas-de-Calais, France, avec Marie Antoinette Josèphe HENNEBELLE, née en 1746, décédée en 1796 (à l’âge de 50 ans)

Sources : personne: mv(dec01), famille: aejz (sept 09) site patber33, site philetmaud, site roglo

dont:

Sources : famille 1: aejz (sept 09) site patber33, peds (roglo/A.Brabant/Livre des Familles du Nord 1937, sept. 2004), aejz (déc 07) site philetmaud, famille 2: aejz (sept 09) site patber33

Marié le 14 septembre 1790, Wizernes, 62570, Pas-de-Calais, France, avec Albertine Marie Françoise GOEMAERE, née le 28 mars 1767, Saint-Omer, 62500, Pas-de-Calais, France, décédée le 23 septembre 1808, Aire-sur-la-Lys, 62120, Pas-de-Calais, France (à l’âge de 41 ans)

Sources : famille: aejz (sept 09) site patber33, peds (roglo/A.Brabant/Livre des Familles du Nord 1937, sept. 2004), aejz (déc 07) site philetmaud

dont:

Sources : famille: aejz (sept 09) site patber33, peds (roglo/A.Brabant/Livre des Familles du Nord 1937, sept. 2004), aejz (déc 07) site philetmaud

Marié le 26 mai 1828, Blendecques, 62575, Pas-de-Calais, France, avec Fidéline HOUZET, née le 18 février 1805, Lille, 59000, Nord, France, décédée le 23 février 1869, Blendecques, 62575, Pas-de-Calais, France (à l’âge de 64 ans)

Sources : famille: aejz (sept 09) site patber33, peds (roglo/A.Brabant/Livre des Familles du Nord 1937, sept. 2004), aejz (déc 07) site philetmaud

dont:

Sources : famille: aejz (sept 09) site patber33

Mariée le 15 juin 1848, Saint-Omer, 62500, Pas-de-Calais, France, avec Félix Baptiste François Alexis DANTU, né en 1825, décédé

Sources : famille: aejz (sept 09) site patber33

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Sources : famille: aejz (sept 09) site patber33

Marié le 31 mai 1856, Saint-Omer, 62500, Pas-de-Calais, France, avec Adèle Clémence Eudoxie LEGRAND, née le 27 décembre 1831, Saint-Omer, 62500, Pas-de-Calais, France, décédée le 14 février 1910, Saint-Omer, 62500, Pas-de-Calais, France (à l’âge de 78 ans)

Sources : famille: aejz (sept 09) site patber33

dont:

Sources : famille: hfe sept2009 cf SGA

Mariée le 11 mai 1881, Tilques, 62500, Pas-de-Calais, France, avec Paul Norbert Emile FROISSART, né le 12 décembre 1854, Campagne-lès-Hesdin, 62870, Pas-de-Calais, France, décédé le 3 septembre 1920, Mouriez, 62140, Pas-de-Calais, France (à l’âge de 65 ans)

Sources : famille: hfe sept2009 cf SGA

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Sources : famille: aejz (sept 09) site patber33

Mariée le 1er septembre 1856, Saint-Omer, 62500, Pas-de-Calais, France, avec Alexandre Louis Cornil DAMBRICOURT, né le 13 avril 1834, Lille, 59000, Nord, France, décédé le 2 décembre 1894, Hallines, 62570, Pas-de-Calais, France (à l’âge de 60 ans)

Sources : famille: aejz (sept 09) site patber33

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Sources : personne: peds (roglo/A.Brabant/Livre des Familles du Nord 1937, sept. 2004), famille: aejz (sept 09) site patber33, site philetmaud

Marié le 14 mai 1861, Lille, 59000, Nord, France, avec Anna Sidonie Cornélie DAMBRICOURT, née le 21 octobre 1837, Lille, 59000, Nord, France, décédée le 18 octobre 1900, Wisques, 62219, Pas-de-Calais, France (à l’âge de 62 ans)

Sources : personne: peds (roglo/A.Brabant/Livre des Familles du Nord 1937, sept. 2004), famille: aejz (sept 09) site patber33, site philetmaud

dont:

Sources : famille: fc (13/02/2001), aejz (sept 09) site patber33

Marié le 22 janvier 1885, Lille, 59000, Nord, France, avec Thérèse Marie Joséphine MASSE, née le 4 février 1864, Lille, 59000, Nord, France, décédée le 26 avril 1944, Hallines, 62570, Pas-de-Calais, France (à l’âge de 80 ans)

Sources : personne: fc (13/02/2001), famille: fc (13/02/2001), aejz (sept 09) site patber33

dont:

Sources : famille: arnaud deries (dec 2002), peds (sept. 2004), aejz (sept 09) site patber33

Mariée le 5 septembre 1907, Hallines, 62570, Pas-de-Calais, France, avec Léonce GUILBERT, né en 1880, décédé en 1961 (à l’âge de 81 ans)

Note :   Chevalier de la Légion d'honneur. Croix de Guerre 1914/1918.  

Sources : famille: arnaud deries (dec 2002), peds (sept. 2004), aejz (sept 09) site patber33

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Note :   ??ou mort en 1918 (FC)  

Sources : famille: aejz (sept 09) site patber33

Mariée le 4 novembre 1909, Hallines, 62570, Pas-de-Calais, France, avec Maximilien Joseph Paul Auguste FROISSART, né le 5 mars 1883, Saint-Omer, 62500, Pas-de-Calais, France, décédé le 25 mai 1956, Wizernes, 62570, Pas-de-Calais, France (à l’âge de 73 ans)

Sources : famille: aejz (sept 09) site patber33

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Sources : personne: fc (13/02/2001), famille: ldf 1995

Mariée avec Jean DEVAUX, né en 1883, décédé en 1971 (à l’âge de 88 ans)

Sources : famille: ldf 1995

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Note :   ou morte en 1965 (FC)  

Sources : famille: aejz (sept 09) site patber33

Mariée le 2 avril 1913, Hallines, 62570, Pas-de-Calais, France, avec Jean FROISSART, né le 16 juillet 1884, Amiens, 80000, Somme, France, décédé le 20 juillet 1918, Combat de La Montagne de Paris - Nesles-la-Montagne, 02400, Aisne, France (à l’âge de 34 ans)

Note :   Adjudant au 365°RI Mort pour la France  

Sources : personne: hfe sept2009 cf SGA, famille: aejz (sept 09) site patber33

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Sources : famille: vtrd (jhf avril 2005) - Baillescourt et la famille Proyart par Fernand Decroix et Pierre Daudruy - 1957

Marié le 5 mai 1920, Tourcoing, 59200, Nord, France, avec Marie Augustine Françoise Philomène Sophie LEURENT, née le 17 septembre 1894, Tourcoing, 59200, Nord, France, décédée le 17 mars 1983, Hallines, 62570, Pas-de-Calais, France (à l’âge de 88 ans)

Sources : famille: vtrd (jhf avril 2005) - Baillescourt et la famille Proyart par Fernand Decroix et Pierre Daudruy - 1957

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Sources : famille: aejz (déc 07) ldf 05

Marié avec Simone DERVAUX, née en 1899, décédée en 1985 (à l’âge de 86 ans)

Sources : famille: aejz (déc 07) ldf 05

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Sources : famille: aejz (sept 09) ldf 05, site patber33

Marié le 23 avril 1924, Amiens, 80000, Somme, France, avec Elisabeth CHOQUET, née en 1900, décédée en 1992 (à l’âge de 92 ans)

Sources : famille: aejz (sept 09) ldf 05, site patber33

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Sources : famille: aejz (sept 09) site patber33, site philetmaud

Marié le 26 octobre 1866, Saint-Omer, 62500, Pas-de-Calais, France, avec Louise Léontine MASQUELIER, née le 25 novembre 1847, Lille, 59000, Nord, France, décédée le 30 juillet 1932, Tournai, 7500, Tournai, Province de Hainaut, Belgique (à l’âge de 84 ans)

Sources : famille: aejz (sept 09) site patber33, site philetmaud

dont:

Sources : famille: aejz (sept 09) site patber33, peds (roglo/A.Brabant/Livre des Familles du Nord 1937, sept. 2004)

Mariée le 14 mai 1832, Lompret, 59840, Nord, France, avec Alexandre Benoît Joseph DAMBRICOURT, né le 19 février 1798, Lille, 59000, Nord, France, décédé le 18 décembre 1837, Lille, 59000, Nord, France (à l’âge de 39 ans)

Sources : famille: aejz (sept 09) site patber33, peds (roglo/A.Brabant/Livre des Familles du Nord 1937, sept. 2004)

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Marié avec Elisabeth Victoire LAVOCAT, née en 1775, décédée

Sources : famille: aejz (sept 09) site patber33

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Sources : famille: aejz (sept 09) site patber33, site philetmaud, site roglo

Marié le 18 juillet 1796, Lille, 59000, Nord, France, avec Angélique LAGACHE, née en 1772, décédée en 1842 (à l’âge de 70 ans)

Sources : famille: aejz (sept 09) site patber33, site philetmaud, site roglo

dont:

Sources : famille: aejz (sept 09) site patber33, peds (roglo/A.Brabant/Livre des Familles du Nord 1937, sept. 2004)

Marié le 14 mai 1832, Lompret, 59840, Nord, France, avec Arthémise DAMBRICOURT, née le 11 juin 1805, Saint-Omer, 62500, Pas-de-Calais, France, décédée le 3 septembre 1895, Hallines, 62570, Pas-de-Calais, France (à l’âge de 90 ans)

Sources : famille: aejz (sept 09) site patber33, peds (roglo/A.Brabant/Livre des Familles du Nord 1937, sept. 2004)

dont:

Sources : famille: aejz (sept 09) site patber33

Marié le 1er septembre 1856, Saint-Omer, 62500, Pas-de-Calais, France, avec Marie Virginie DAMBRICOURT, née le 3 août 1834, Blendecques, 62575, Pas-de-Calais, France, décédée le 10 mars 1912, Saint-Omer, 62500, Pas-de-Calais, France (à l’âge de 77 ans)

Sources : famille: aejz (sept 09) site patber33

dont:

Sources : famille: aejz (sept 09) ldf 05, site patber33

Mariée le 10 mai 1880, Hallines, 62570, Pas-de-Calais, France, avec Paul DROULERS, né en 1856, décédé en 1931 (à l’âge de 75 ans)

Sources : famille: aejz (sept 09) ldf 05, site patber33

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Sources : personne, famille: ldf 1995

Mariée avec Maurice BEIRNAERT, né en 1880, décédé, Notaire

Sources : personne, famille: ldf 1995

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Sources : personne, famille: fc (22/02/2001)

Marié avec Madeleine MORAEL

Sources : famille: fc (22/02/2001)

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Sources : famille: aejz (sept 09) ldf 05, site patber33

Mariée en 1891, Hallines, 62570, Pas-de-Calais, France, avec Maurice Ambroise PARENTY, né le 14 décembre 1864, Guînes, 62340, Pas-de-Calais, France, décédé en 1951 (à l’âge de 87 ans)

Sources : famille: aejz (sept 09) ldf 05, site patber33

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Sources : famille: aejz (sept 09) ldf 05, site patber33

Marié avec Fanny Augustine Blanche Marie van den PEEREBOOM, née en 1883, décédée en 1958 (à l’âge de 75 ans)

Sources : famille: aejz (sept 09) ldf 05, site patber33

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Note :   Il existe une autre Céline Dambricourt-Dambricourt similaire (épouse Droulers)  

Sources : famille: aejz (sept 09) site lefebvre4, site patber33

Mariée le 28 décembre 1854, La Madeleine, 59110, Nord, France, avec Benjamin Alexandre Auguste BERNARD, né le 30 mars 1824, Lille, 59000, Nord, France, décédé le 31 mai 1862, Vichy, 03200, Allier, France (à l’âge de 38 ans)

Sources : famille 1, famille 3: aejz (juil 08) site lefebvre4, famille 2: aejz (sept 09) site lefebvre4, site patber33

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Sources : personne: peds (roglo/A.Brabant/Livre des Familles du Nord 1937, sept. 2004), famille: aejz (sept 09) site patber33, site philetmaud

Mariée le 14 mai 1861, Lille, 59000, Nord, France, avec Géry Julien DAMBRICOURT, né le 18 janvier 1839, Saint-Omer, 62500, Pas-de-Calais, France, décédé le 9 novembre 1861, Saint-Omer, 62500, Pas-de-Calais, France (à l’âge de 22 ans)

Sources : personne: peds (roglo/A.Brabant/Livre des Familles du Nord 1937, sept. 2004), famille: aejz (sept 09) site patber33, site philetmaud

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Sources : famille: aejz (sept 09) site patber33

Mariée avec Louis Albert BELLART, né en 1796, décédé en 1864, Hallines, 62570, Pas-de-Calais, France (à l’âge de 68 ans)

Sources : famille: aejz (sept 09) site patber33

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Sources : personne: mv(dec01), famille: aejz (sept 09) site patber33,

Marié le 18 novembre 1807, Saint-Omer, 62500, Pas-de-Calais, France, avec Catherine Constantine Joséphine MAES, née le 19 décembre 1788, Saint-Omer, 62500, Pas-de-Calais, France, décédée le 3 mars 1879, Paris, 75000, Paris, France (à l’âge de 90 ans)

Sources : personne: mv(dec01), famille: aejz (sept 09) site patber33,

dont:

Sources : personne: mv(dec01), famille: aejz (sept 09) site patber33

Marié le 23 juin 1840, Paris, 75000, Paris, France, avec Rosalie DELECLUSE, née le 18 décembre 1822, décédée le 25 juillet 1885, Villers-sur-Mer, 14640, Calvados, France (à l’âge de 62 ans)

Sources : personne: mv(dec01), famille: aejz (sept 09) site patber33

dont:

Note :   Lieu de naissance (mv oct 2001): Vaux (S et O) ??? Seine et Oise, probablement Vaux sur Seine (78) à confirmer  

Sources : personne, famille: mv (oct 2001)

Mariée le 6 juillet 1864, Paris, 75000, Paris, France, avec Victor Louis Amédée VERLEY, né en 1839, décédé en 1911 (à l’âge de 72 ans)

Sources : personne, famille: mv (oct 2001)

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Sources : famille: aejz (sept 09) site patber33

Marié le 14 novembre 1716, Rollancourt, 62770, Pas-de-Calais, France, avec Marie Antoinette WARIN, née en 1683, Rollancourt, 62770, Pas-de-Calais, France, décédée le 12 avril 1738 (à l’âge de 55 ans)

Sources : famille: aejz (sept 09) site patber33

dont:

Sources : famille: aejz (sept 09) site patber33

Mariée le 20 mai 1742, Auchy-les-Hesdin, 62770, Pas-de-Calais, France, avec Sylvain DESPLANQUES, né en 1714, décédé le 21 décembre 1790, Auchy-les-Hesdin, 62770, Pas-de-Calais, France (à l’âge de 76 ans)

Sources : famille: aejz (sept 09) site patber33

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Total: 62 personnes (conjoints non compris).

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