Quelques illustrations de la lignée des

DEHAU

Blason-Dehau

D'azur au chevron d'argent surmonte d'one étoile à 5 rais d'or, accompagne de 3 mains de carnation tenant chacune une poignée d'épis de blé d'or, posées deux en chef affrontées et une en pointe.

 Dehau-Bart

Marie Dehau Lenglart, Livre de famille, publié par M-R et J-L Pelon (éd. L'Epi d'or, 2001)

Histoire des 2 frères Dehau tués par le même boulet de canon anglais, l'un étant le capitaine du vaisseau (L'Elisabeth) et la direction du navire fut confiée au neveu de Jean Bart qui était le second du capitaine. Les deux frères (Pierre et Charles) faisaient partie d'une escorte accompagnant Charles Edouard Stuart sur la route de l'Ecosse. Une attaque anglaise ayant surgi contre le convoi, trois n Navires dont l'Elisabeth firent diversion et entraînèrent l'escadre anglaise dans une direction, alors que le navire abritant Charles Edouard Stuart s'éloignait vers sa destination sans heurt. C'est au cours de cette manœuvre de diversion que les deux frères trouvèrent la mort. ». La descendance Dehau a été reçue membre de « l'Association des descendants de Capitaines Corsaires » ADCC par Madame Marguerite Onraët, commissaire aux Preuves. [1]

Gilles de Raismes commente : « Un peu comme les Gontaut-Biron:
Le premier, Maréchal de France, Armand a le 26 juillet 1592 la tête emportée par un boulet de canon lors d’une opération de reconnaissance à Epernay,
Le second maréchal
 de France (1er duc) Charles est décapité dans la cour de la Bastille, le 31 juillet 1602 ,

Le troisième, Maréchal de France, Charles Armand, marquis puis duc : un boulet lui emporte le bras gauche au siège de Landeau en 1713,
Le duc de Lauzun sera guillotiné comme duc et général de Biron.
Conclusion chez les Gontaut : On y perd la tête ou le bras. »



[1] : Compte tenu du côté assez prestigieux de ce fait d'armes, et compte tenu du fait que Pierre Dehau n'avait  pas eu le temps de créer une descendance avant d'être fauché par ce boulet de canon, la notion de "descendants" a été élargie à la descendance du père de ce capitaine corsaire.

Félix Etienne Dehau (1846-1934)

blason dehau

felix.0.dehau.

Portrait par Laure de Vareilles

Dehau-Lenglart.Dehau-Felix.   

Commandeur de Saint Grégoire le Grand

Croix de l’ordre National de la Légion d’honneur

Docteur en droit

Conseiller général du Nord,

Maire de Bouvines,

Le plus jeune des maires de France,

Doyen des maires de France

Fit construire l’église de Bouvines,

A l’origine des verrières remarquables par Champigneulle de l’église de Bouvines

Fit construire les orphelinats d’Esquermes, de Blandin, de Bouvines et de Croix dont sa fille Claire était la Supérieure,

Fonde l’école libre pratique d’agriculture de Genesch (plus de 1000 élèves)

Organisateur des superbes fêtes des 700 ans de Bouvines,

Zélé défenseur des intérêts religieux et régionaux

Construit un monument à la gloire des héros de 1214 par son petit fils l’architecte Joseph Philippe

Habite le château de Bouvines

Bouvines

Hôtel particulier sur le parvis Saint Maurice à Lille

Fit construire la chapelle Saint Hubert dans son parc

Achète pour les bénédictins l’abbaye de Chévetogne

Mélomane, brillant orateur, grand chasseur, amateur d'art

Donne les revenus de son château d’Esquermes aux œuvres.

Esquermes-Dehau

Esquermes-Beaumont-Dehau

Châteaux de Vaumain (aux Jeanson), de la Houssoye (aux Prouvost), de La Bosse (aux Jeanson), l’abbaye de Lessay

Epoux de

Ecu-Lenglart

Marie Claire Adelaïde LENGLART,

née à Fives, le 9 août 1849, décédée à Bouvines, le 12 avril 1940,

Arrière petite fille de  Charles Lenglart,  Seigneur de Lannoy et de Plancques

(1740-1816), mécène et collectionneur du siècle des lumières,  Chevalier du Lys par le roi Louis XVIII le 26 juillet 1814, Trésorier de la ville de Lille, Echevin, négociant, futur conseiller municipal, président du canton de 1813 à 1816, député de la ville de Lille au sacre de Napoléon, conservateur du musée de Lille.

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Portrait par Heinsius

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Leurs enfants furent :

Al - Pierre Marie Félix DEHAU, né à Bouvines, le 5 aout 1870, décédé le 21 octobre 1956. Dominicain.

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Dehau-Pierre-Ordination

Marie Dehau Lenglart, Livre de famille, publié par M-R et J-L Pelon (éd. L'Epi d'or, 2001)

A2 - Félicie Valerie Joséphine DEHAU, née à Bouvines, le 7 juillet 1871, épouse Georges Louis Joseph PROUVOST, industriel.

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Dehau-Prouvost-Felicie-mariage

Marie Dehau Lenglart, Livre de famille, publié par M-R et J-L Pelon (éd. L'Epi d'or, 2001)

A3 - Claire Caroline Marie Thérèse DEHAU, religieuse de la Congrégation de St-Vincent de Paul, née à Bouvines le 28 juillet 1872, décédée.

A4 - Madeleine Marie DEHAU, née à Bouvines le 2 avril 1874, épouse André Etienne Ernest Joseph BONDUELLE, industriel

A5 – Marthe DEHAU, née à Bouvines, le 8 juin 1875, décédée le même jour.

A6 - Marthe Marie Caroline DEHAU, née à Bouvines, le 10 octobre 1876, épouse Charles Edme Marie Joseph JEANSON, industriel.

A7 - Elisabeth Marie Joseph DEHAU, née à Bouvines, le 29 mars 1878, épouse Henri Ignace Louis Joseph PHILIPPE, notaire à Cysoing

A8 - Louise Claire Marie Julie DEHAU, née à Bouvines le 10 avril 1881, décédée célibataire à  Bouvines, le 31 décembre 1948.

A9 - Henriette Madeleine Marie Félix DEHAU, née à Bouvines, le 6 avril 1884, épouse Louis Eugene Joseph ROLLINDE de BEAUMONT, Croix de Guerre, chevalier de Saint Grégoire le Grand, avocat.

AlO - Jean Charles Pierre Marie Félix DEHAU, ne Ii Bouvines, le 5 février 1888, épouse Thérèse Marie DAVAINE.

 

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Les vitraux de l'église de Bouvines

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   Esquermes-Beaumont-Dehau


Le château d’Esquermes 

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Abbaye de Chévetogne

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Château de la Houssoye

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L'abbaye de Lessay

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l'école agricole de Genech


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Georges I Prouvost 1866-1926

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époux de Félicie Valerie Joséphine DEHAU, née à Bouvines, le 7 juillet 1871 ;

Ils habitaient 6, place du Maréchal Leclerc à Lille en 1954.

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Dehau-Prouvost-Felicie-mariage

Marie Dehau-Lenglart: Livre de famille, éditions l'épi d'or, 2001

Prouvost-Dehau.

Georges est le fils de Charles- Jérome Prouvost  et de  Marie Sophie  Scrépel; Félicie Valerie Joséphine DEHAU est la fille de:

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Les vitraux de l'église de Bouvines

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Prouvost-Jacques-Vareilles-Gabrielle

Jacques Prouvost, né en 1902, fils de Georges Prouvost et Félicie Dehau, épousa le 17 juillet 1928 Gabrielle de Vareilles-Sommieres; il décéda au retour de son voyage de noces.

 Jacques était un grand ami de Marcel Virnot et de son cousin Charles Prouvost, troisième du nom. Les Prouvost-Dehau habitaient une propriété entre l'Eglise Saint Maurice des Champs et le Pont du Lion d'Or. Marcel Virnot avait passé sa jeunesse près de chez eux, à Mons ou rue de Gand. (un très joli coin de propriétés juste après la porte de Roubaix. A la fin de la vie, Félicie  habita chez ses enfants Wallaert, place de Tourcoing, un hôtel particulier dont la concierge et domestique était celle qui avait élevé Marcel Virnot qui était la coqueluche des domestiques. Chaque nouvel an, Marcel Virnot et sa famille allaient fêter le Nouvel an chez la tante Félicie.

Jacques-Prouvost-Vareilles

Prouvost-Vareilles

Prouvost-Vareilles
Documents Jean Yves Hamar

Georges II Prouvost né en 1894
Croix de guerre 14-18, époux de Marthe Virnot ; dont Dominique, Cécile, Georgette, François, Thérèse, Hubert, Martine

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Georges et Joseph Prouvost

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Georges Prouvost, né en 1894, industriel à Paris  marié   le 26 septembre 1919, Lille , avec Marthe Virnot, née le 11 mars 1896, Lille, décédée en 1985 ; ils habitèrent longtemps 8, boulevard julien Potin à Neuilly et, à la fin de leur vie, un appartement dans un charmant hôtel particulier XVII° dans le Marais à Paris où habiatait les Amédée Prouvost.

Cousins germains de Georges Prouvost
Base Roglo

    Du côté de Georges Louis Prouvost:
        Enfants de Marie Sophie Prouvost:
            Charles Romain Flipo 1884-1916 & Marie Germaine Tiberghien 1885-1960
            Georges Jean Marie Flipo 1885-1943 & Jeanne Tiberghien 1888-1964
            Marie Marguerite Flipo 1886-1953 & Henri Edouard Leurent 1886-1952
            René Flipo 1888-1890
            René Paul Flipo 1890-1943 & Madeleine Vandenberghe 1893-1978
            Marguerite Antoinette Flipo 1892-1974
        Enfants de Pauline Sophie Prouvost:
            André Jean Lepoutre 1889-1972 & Agnès Flipo 1893-1924
            Jean Lepoutre 1893-1916
            Antoine Lepoutre 1895-1980 & Agnès Toulemonde 1902-1985
            Paul Lepoutre
        Enfants d'Antoinette Prouvost:
            Antoinette Vernier 1892-1966 & Robert Faure 1883-1967
            Marguerite Marie Joseph Vernier 1893 & Paul Achille Marie Joseph Leman
            Mathilde Vernier 1895 & André Dubus 1892-1969
            Édouard Vernier 1896-1970 & Marie-Louise Dupont
            Agnès Vernier 1897 & Eugène Meillassoux 1899
            Raymond Vernier 1904
        Enfants de Gabrielle Prouvost:
            François Duthoit 1896 & Hélène Lorthiois
            Charles Duthoit 1897-1982 & Marie-Thérèse Leplat
            Gabrielle Duthoit 1899 & Robert Courouble 1897-1961
            Jean Duthoit
            Marie Duthoit 1900 & Jean Dubois
            Marthe Duthoit 1902 & Joseph Vandewynckele
            Etienne Duthoit 1905-1969 & Françoise Dazin
            Michel Duthoit 1911 & Christiane Pecqueur
        Enfants de Charles Prouvost:
            Charles Prouvost 1900 & Hélène Dalle 1905
            Lucie Prouvost 1903-1957 & Roger Ponroy 1891
            Geneviève Prouvost
            Gérard Prouvost
        Enfants de Germaine Prouvost:
            Maurice Pollet 1896 & Yvonne Sion
            Marcel Pollet 1898-1968 & Marie Agnès Dubar
            Germaine Pollet 1899-1985 & Edouard Guilbert 1892-1978
            Pierre Pollet 1902 & Jeanne Thiriez
            Raymond Pollet 1904 & Christiane Renée Louise Dubar
            Antoine Pollet 1907-1958 & Agnès Leclercq 1911
            Jacques Pollet 1907
            Emmanuel Pollet 1910 & Simone Poissonnier
            Anne Marie Pollet 1914-1916
            Francette Pollet 1918 & André Réquillart
            Françoise Pollet 1918
        Enfants de Jean Jérôme Prouvost:
            Jean Prouvost 1904-1965 & Marguerite Marie Pattyn 1904-1944
            Jean Prouvost 1904-1965 & Mathilde Froidure 1914
            Xavier Louis Prouvost 1906-1965 & Antoinette Bernard 1910-1977
            Marthe Prouvost 1909-1989 & Paul Mignot 1908-1982
            Francis Prouvost 1912-1992 & Gabrielle Bernard 1914-2000
            Marcel Prouvost 1914-1968 & Aline Ponroy
    Du côté de Félicie Valérie Dehau:
        Enfants de Marie Madeleine Dehau:
            Marie Madeleine Bonduelle 1894-1952 & Charles Wambergue 1890-1960
            Louise Bonduelle 1895-1895
            Marie-Antoinette Bonduelle 1898-1987 & Jean Pattyn 1896-1972
            Jeanne Bonduelle 1899-1993 & Antoine Bernard 1894
            André Bonduelle 1901-1980
            Pierre Bonduelle 1902-1988 & Jeanne Marie Dalle 1903-1994
            Benoit Bonduelle 1904-1986 & Germaine Dalle 1906-1996
            Félix Bonduelle 1906
            Germaine Bonduelle 1907-1920
            Claire Bonduelle 1909-1937
            Michel Bonduelle 1910 & Marie Rose Crombez 1912
            Marie-Joseph Bonduelle 1912-2006 & André Crespel 1907
            Ignace Bonduelle 1914-1953 & Marie Rose Crombez 1912
            Bernadette Bonduelle 1914-2011
        Enfants de Marthe Dehau:
            Charles Jeanson 1898-1990 & Antoinette Augier de Moussac 1898-1942
            Charles Jeanson 1898-1990 & Chantal Camus La Guérinière 1912-2003
            Paul Jeanson 1899-1931 & Marguerite Join-Lambert 1906-1932
            Pierre Jeanson 1899-1980 & Anne Marie Agathe Augier de Moussac 1902-1926
            Pierre Jeanson 1899-1980 & Renée Lefebvre-Mettol-Dibon 1902-1993
            Félix Jeanson 1909-1990 & Monique Jeanson 1913-
        Enfants d'Elisabeth Dehau:
            Joseph Philippe 1902-2000 & Gabrielle de La Broüe de Vareilles-Sommières 1908-1964
            Marie Philippe 1903-1999
            Jean Philippe 1905-1993
            Cécile Philippe 1906-1986
            Elisabeth Philippe 1908
            Anne-Marie Philippe 1910-2008 & Gérard Pattyn 1902-1940
            Evrard Philippe 1911-1940
            Henri Philippe 1912-2006
            Pierre Philippe 1913 & Chantal Farnoux 1939-
            Henriette Philippe 1915
            Jeanne Philippe 1920-1999 & Pierre Charles Frédéric Bour 1917
            François Philippe 1922-1944
        Enfants de Henriette Dehau:
            Marguerite Rollinde de Beaumont 1904-1906
            Henri Rollinde de Beaumont & Monique Denis du Péage 1911
            Jacqueline Rollinde de Beaumont 1907 & Michel Paul Dubois 1906
            Louise Rollinde de Beaumont 1908-2011 & Roger Denis du Péage 1905
            Joseph Rollinde de Beaumont +1980 & Odette Jeanson 1924-
            Louis Rollinde de Beaumont 1918-2011 & Micheline Prouvost +1968
            Louis Rollinde de Beaumont 1918-2011 & Paule Donati 1925-2007
            Charlotte Rollinde de Beaumont 1922-1991 & Guy de Craecker 1915-1983
            Anne Marie Rollinde de Beaumont 1923
        Enfants de Jean Dehau:
            Colette Dehau 1913-1931
            Félix Dehau 1914 & Thérèse Maes 1922
            Louise Dehau 1917 & Georges Bez
Total: 85 personnes.
Cousins issus de germains de Georges Prouvost

    Du côté de Charles Jérôme Prouvost:
        Enfants de Henri Prouvost:
            Louise Marie Prouvost 1884 & Maurice Derville 1880
            Henri François Prouvost 1885-1962 & Marguerite Léonie Motte 1887-1966
            Simone Prouvost 1889-1972 & Auguste Lepoutre 1888-1959
        Enfants d'Edmond Charles Prouvost:
            Edmond Prouvost 1888 & Marguerite Pauline Pollet 1891-1958
            Robert Prouvost & Geneviève Flouret
            Antoinette Prouvost 1899 & André Crouan
        Enfants de Louise Prouvost:
            Madeleine Ernoult 1890-1913 & Gaston Outters 1887-1916
            Agnès Ernoult 1892-1982 & Marcel Lepoutre 1890-1977
            Jean Ernoult 1897-1982 & Clotilde Flipo 1901-1998
            Thérèse Ernoult & Etienne Parent 1895
            Etienne Ernoult
        Enfants de Pierre Prouvost:
            Germaine Prouvost 1895-1934 & Georges Delattre 1893-1945
            Pierre Prouvost 1897-1980 & Marie Outters 1897-1994
            André Prouvost 1899 & Suzanne Dubois
            Marcel Prouvost 1902 & Marie Paule Lefebvre
        Enfants de César Henri Piat:
            César Piat 1890-1967 & Marcelle Vernier 1896-1985
            Germaine Piat 1893 & François Watine
            Henri Piat 1895-1915
            Joseph Piat 1897-1982 & Jeanne Vernier 1897-1981
            Jacques Piat 1899 & Cécile Vandenberghe 1901-1995
        Enfants d'André Piat:
            André Piat & Madeleine Museux
            Georges Piat & Anne-Marie Bonnel
            Jean Marie Piat
            Paul Piat & Marie Louise Brunin
        Enfants de Paul Laurent Joseph Prouvost:
            Paul Antoine Louis Prouvost 1891-1953 & Georgette Crépy 1896-1982
            Germaine Prouvost 1893-1987 & Jean Barrois 1884-1967
            Eugène Prouvost 1895-/1995 & Marie-Louise Crépy +
        Enfants de Maurice Laurent Prouvost:
            Maurice Prouvost 1896-1975 & Marie Antoinette Pollet 1900
            Claude Prouvost & Denise Rasson
            Raymond Prouvost 1907 & Jacqueline Six 1910-2008
            Michel Prouvost & Marie Desbonnets
        Enfants de Laurence Marie Prouvost:
            Madeleine Six +1967 & Henry Pollet 1891-1967
            Antoinette Six & Léon Lemaire
            Marie Six 1901 & Michel Vernier 1900
            Paul Six & Anne Berthélemy
            Pierre Six 1908-1978 & Geneviève Cavrois 1912-2000
        Enfants de René Louis Prouvost:
            Françoise Marie Gérard Prouvost 1904-1994 & Michel Jules Joseph Leroux 1898-1992
            Marilys Prouvost 1910-2006 & Gabriel Lessens 1907-1976
            Thérèse Prouvost 1913-1999 & Jean Fontaine 1911-1997
        Enfants d'Edouard Watine:
            Elisabeth Watine 1894-1943 & Victor Delerue 1886-1964
            Edouard Watine 1896-1958 & Anne-Marie Delerue 1891-1964
        Enfants d'Ursule Caroline Watine:
            François Barrois 1894-1894
            Antoinette Barrois 1896-1994 & Michel Théry 1891-1968
            Gérard Barrois 1908-1949 & Claude Foucart 1914
        Enfants d'Ernest Watine:
            Marguerite Watine & Charles Rouard
            Marie-Josèphe Watine & Jean Malotaux 1898-1984
            Ernest Watine & Renée Courdent
            Cécile Watine 1912-1973 & Jacques van Cauwenberghe 1907
            Antoinette Watine + & Nn Hennart
        Enfants d'Albert Edouard Watine:
            Albert Watine & Germaine Toulemonde
            Thérèse Watine 1917-2011 & Jacques Dessaint 1915-2009
            Solange Watine 1919-1989 & Auguste Desnoulez 1920-1980
            Francis Watine & Catherine Guermonprez
            Antoine Watine & Clémentine Dourlens
            Michel Watine & Martine Leurent 1935-
    Du côté de Marie Sophie Scrépel:
        Enfants de Thérèse Scrépel:
            Thérèse Lotthé & Auguste Watine
            Léon Lotthé & Suzanne Villette 1890
            Ernest Lotthé
            Joseph Lotthé & Marthe Prouvost 1892-1967
            Jean Lotthé & Marguerite Behaghel 1896-1984
            Louis Lotthé 1892-1914
        Enfants de Mathilde Marie Scrépel:
            Georges Louis Droulers 1883-1962 & Madeleine Scalbert 1886
            Gaston Droulers 1884-1956 & Marguerite Leurent 1888-1961
            René Louis Droulers 1886-1975 & Paule Leurent 1888-1974
            Albert Droulers 1887-1950
            Marguerite Droulers 1889-1964 & Maurice Reau de Varenne
            Marcel Droulers 1891-1974
            Madeleine Droulers 1893-1966 & Paul Blondel
            Raymond Droulers 1895-1915
        Enfants de Marguerite Scrépel:
            Suzanne Boisse & Eugène Broudehoux +1964
        Enfants de Paul Scrépel:
            Paul Scrépel 1891
            Louis Scrépel 1898-1981 & Gisèle Le Roux de Bretagne 1899-1986
        Enfants de Hélène Scrépel:
            Edmont Leroux 1896-1943 & Marcelle Marie Emilie Lequeux 1887
            Maurice Leroux 1898-1963 & Suzanne Pollet 1902
            Antoinette Leroux 1899-1981 & Georges Emile Wibaux 1897
            Edouard Leroux 1902-1992 & Sabine Tiberghien 1905-1978
        Enfants de Georges Masurel:
            Elise Masurel 1880 & André Pollet 1876-1962
            Georges Masurel 1882-1961 & Germaine Rosine Masurel 1885
            André Masurel 1883-1915 & Aline Roussel 1888-1953
            René Louis Masurel 1884-1970 & Marie Marguerite Cavrois 1889-1954
            Jacques Masurel 1886-1914 & Marie-Thérèse Dansette
            Agnès Masurel 1888 & Charles Huet 1886-1951
            Raymond Masurel 1890 & Jeanne Roussel
            Pierre Masurel 1891-1916
            Maurice Masurel 1899-1979 & Lucie Pollet 1902-1969
            Maurice Masurel 1899-1979 & Denise Pollet 1904
        Enfants de Carlos Masurel:
            Geneviève Masurel 1888-1971 & Henri Repesse
            Thérèse Masurel 1889-1977
            Madeleine Masurel 1890-1969
            Carlos Masurel 1892-1970 & Gabrielle Nollet 1900
        Enfants de Victorine Adèle Scrépel:
            Charles Pollet 1885-1960 & Germaine Motte 1888-1960
            Victorine Pollet 1886-1960 & Edouard Pollet 1882-1914
            Germaine Berthe Pollet 1887 & Etienne Motte 1884
            Marthe Yvonne Pollet 1889-1918 & Maurice Jonglez 1887-1954
            Henry Pollet 1891-1967 & Madeleine Six +1967
            Joseph Pollet 1895-1980 & Suzanne Derville 1898-1992
            Simone Pollet 1896 & Pierre Dazin 1890
            Madeleine Pollet 1898 & René Paul Félix Wattinne 1893-1970
            Marie Antoinette Pollet 1900 & Maurice Prouvost 1896-1975
            Marcelle Pollet 1900 & Jean Montpellier 1896-1982
            Suzanne Pollet 1902 & Maurice Leroux 1898-1963
        Enfants de Léon Scrépel:
            Suzanne Scrépel 1906-1969 & Jean Montpellier 1896-1982
            Henri Scrépel & Aline Masurel
            Jacques Scrépel 1908-1990
            Colette Scrépel 1913 & René Demeestère 1898
            Jacqueline Scrépel & Pierre Réquillart ca 1905
        Enfants de Berthe Scrépel:
            Berthe Motte 1891-1913 & Jules d'Halluin 1887-1940
            Maurice Motte 1892 & Anne-Marie Bernard 1893
        Enfants de Yvonne Scrépel:
            Yvonne Motte 1898-1989 & Pierre Le Verdier 1892-1985
            Suzanne Motte 1899-1925 & Bernard d'Halluin 1895-1974
            Denise Motte 1901 & Gérard Leys 1900-1988
            Léon Louis Henri Joseph Motte
            Daniel Motte
            Emmanuel Motte & Maria Gertler
Total: 113 personnes.

Dont

* Dominique Prouvost. marié   avec Anna Maria Solari Bozzi,  marié  avec Traot Lamby.

* Cécile Prouvost, décédée, Maroc, en religion.

* Georgette Prouvost, née le 7 janvier 1923, Lille , mariée le 4 mars 1947, Lille , avec Yves Descamps, né le 18 décembre 1921,

Descamps

Georgette-Prouvost-Descamps

Lille ; photo dans l’hôtel Virnot, place Saint Martin à Lille.

François Prouvost, né le 19 février 192  marié   le 15 janvier 1947 avec Brigitte Crépy, née le 22 janvier 1924  marié avec Marie-Louise Jaspard.

Thérèse Prouvost, décédée  mariée  avec Jean Vercasson.

Hubert Prouvost, né en 1930, décédé en 1996   marié   avec Brigitte Machet de La Martinière, née le 31 décembre 1935, Reims de Jean Machet de La Martinière,  Saint-Cyr 1928-30, colonel de l'Armée de l'Air, Commandeur de la légion d’honneur, Croix de guerre 39-45, DFC et Marie Morisson de La Bassetière, arrière petite fille de Henry Cochin, 1854-1926, Membre de l'Institut de France (Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, membre libre, 19 février 1926,  Député du Nord (1893-1914), maire de Saint-Pierre-Brouck  de 1888 à 1910, Député du Nord.

Prouvost-La-Martiniere.

Martine Prouvost, mariée avec Denis Frapier.

Frapier-Prouvost

La propriété du Moustiers, depuis 100 ans dans la famille Frapier, fut construite par l’architecte du palais de la Légion d’Honneur à Paris ;

on remarque les même sphinges.

Frapier-Prouvost


  

Sœur Cécile Prouvost, 1921-1983

Franciscaine missionnaire de Marie

Fille de Georges Prouvost (cousin germain de Charles, petit fils de Félix Dehau) et Marthe Virnot

«  L’homme propose et Dieu dispose ! Je m’étais tellement réjouie de t’avoir comme correcteur et  dessus m’a lancé le grand appel. Au cours d’une opération d’urgence, le chirurgien a découvert en moi un cancer bien avancé. J’en ai pour quelques mois. Je suis émerveillé de cette délicatesse du seigneur qui m’a ccordé un délai pour que je puisse partager ma confiance et ma joie avec tous ceux que que j’aime. Je sais que, dans quelques mois, ma connaissance sera totalle ; alors je préfère m’abandonner à la prière plutôt qu’à l’étude. Je suis revenue à la tente, ma famille et mes sœurs acceptent que je finisse mes jours au milieu de ceux que j’aime(…) Je suis dans la plus grande action de grâce, la plénitude de joie.

Prouvost-Cecile
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Une femme qui a voulu se faire nomade avec les nomades 

Sœur Cécile Prouvost, 1921-1983. Née le 15 juillet 1921 à St Maurice des Champs, près de Lille, dans une famille d’industriels, elle connut une enfance sans privations dans un milieu aisé. De sa jeunesse, de la première année de guerre, de sa vocation, on ne sait rien. Entrée dans l’Institut des franciscaines missionnaires de Marie en 1940 à dix-neuf ans, elle laissa le souvenir d’une novice « casse-cou » toujours à l’affût de quelque chose à entreprendre, à inventer, sans avoir peur de l’effort, de la difficulté, du risque ou du danger. Après son noviciat, elle fit des études d’infirmière puis fut envoyée au Maroc. Elle écrit, fin 1969, dans un bref résumé de sa vie : J’étais prête à aller dans n’importe quel pays de monde, sauf en Afrique du Nord et chez les musulmans. C’est là que l’obéissance m’envoya. J’étais jeune et pleine d’enthousiasme. Je me suis livrée avec ardeur à toutes les tâches que le Seigneur m’offrit : vie d’infirmière, étude de la langue du pays, de la religion, de la civilisation. Je passais successivement dans les maisons (communautés) de Fès, Casablanca, Taroudant, Rabat. En 1961, j’eus mon obédience pour Midelt. Je fus partout, malgré des croix réelles, profondément heureuse dans ma vocation, trouvant dans l’Institut mon plein épanouissement humain et spirituel.

Midelt fut donc la dernière étape de sa vie conventuelle, avant le grand saut, chez les nomades. Là, elle avait un poste d’infirmière dans le dispensaire, dépendant de la Santé publique, et elle s’occupait plus spécialement de prévention maternelle et infantile. À la fin de 1969, Cécile écrit : Depuis deux ans, le Seigneur m’attire vers une intimité constante avec lui et un profond désir de vie contemplative. Lors de ma dernière retraite en septembre 1969, il me fit voir clairement que ma vie serait nomade-contemplative. C’est en juin 1969, au cours de l’ascension de l’Ayachi (le deuxième sommet du Haut-Atlas, 3735 mètres) qu’elle ressentit vivement et douloureusement combien les nomades étaient abandonnés au point de vue sanitaire. À la fin de 1969, elle présente, par écrit, son projet à la Provinciale et à son conseil, ainsi qu’à la Supérieure Générale et à l’archevêque de Rabat. Elle explique :

Je voudrais donc, dès le printemps 1970, avoir l’autorisation de passer, de temps en temps, une nuit sous la tente, soit près d’un malade, soit chez des amis sûrs – et j’en ai de très sûrs. Il faudrait que rapidement, le rythme atteigne deux nuits par semaine ; tout en continuant mes activités normales au dispensaire et en communauté. Puis mon désir serait, dans deux ans, c’est-à-dire au printemps 1972, pouvoir vivre cinq jours sous la tente, dans la montagne et rentrer dans ma communauté le samedi et le dimanche. Plus une partie de l’hiver. Il me semble que là, je vivrais mieux l’imitation de Jésus Christ, la Voie, la Vérité, la Vie de nos âmes, qui a voulu vivre cette vie de proximité et de communauté avec les plus pauvres de son pays qui étaient si semblables au nomades de nos régions ; nomade avec les nomades. Non sans appréhension, ses supérieures et l’archevêque laissèrent ouverte cette possibilité de proximité avec les plus pauvres de la montagne. Un projet qui devint réalité en 1970, au rythme prévu. Comme « compagne », dans ces débuts, elle eut, non pas l’une de ses sœurs, mais une femme berbère et elle dira : Il s’est créé entre nous une amitié profonde et actuellement, nous vivons en fraternité comme deux sœurs, heureuses l’une et l’autre de montrer à notre entourage qu’une musulmane et une chrétienne peuvent vivre ensemble en réalisant chacune à fond sa religion. Pour nous, ajoute-t-elle, c’est le dialogue islamo-chrétien vécu, avec simplicité, mais dans la réalité. Très vite, elle pourra dire : J’ai enregistré et arrive à suivre d’une manière régulière près de trois cents familles (de nomades). Il doit en rester à peu près cent cinquante que je n’ai pas encore touchées. Le travail est surtout de prévention, vaccinations, visites prénatales, surveillance des nourrissons, dépistages de tuberculose...Nous faisons aussi les soins… Ce qui est important pour elle dans ce vivre avec, ce sont les contacts avec les gens qui l’entourent. Entre 1972 et 1974, elle circule dans un rayon de trente kilomètres autour de Midelt, ce qui lui permet de contacter un grand nombre de personnes. En 1972, elle compte 584 familles, soit 3475 personnes. En 1974, elle compte 659 familles, soit 3833 personnes et, en infirmière méthodique, elle établit une fiche par famille. Elle essaie de sensibiliser les parents à la nécessité des vaccinations. Mais comment faire admettre qu’on pique un enfant en bonne santé ? Elle ne vaccine aucun enfant sans l’accord de l’un des deux parents. Un autre point à obtenir, c’est l’hospitalisation quand le médecin la demande car les gens ont peur. Elle suit avec grand soin les enfants : les rachitiques, les anémiés, les mangeurs de terre. Mais elle porte surtout ses soins sur l’éducation : hygiène, alimentation : « Cela m’est facilité par le fait que je vis avec eux, et, en partie comme eux. Je suis à la disposition de ceux qui viennent chaque jour entre 7 h 30 et 17 h 30 ; mais pour les urgences, il n’y a pas d’heure, je suis à leur disposition jour et nuit. Pour se faire nomade avec les nomades, Cécile est vêtue d’un grand burnous d’homme, coiffée d’une manière qui n’était ni féminine ni masculine, et chaussée de grosses sandales berbères, même en plein hiver. Lorsqu’elle devait prendre le car, pour ne pas déranger, elle était prête à partir de bonne heure. Enveloppée dans mon burnous, je me couche sur un banc public, on me prend pour un homme et on me laisse tranquille. Sa vie à la tente était partagée entre son travail d’infirmière, la prière à laquelle elle consacrait beaucoup de temps et l’étude, car Cécile lisait, écrivait et étudiait beaucoup. Elle avait même composé un lexique français-berbère et berbère-français. Elle avait entrepris la traduction en berbère de l’évangile selon saint Marc et commencé celle de l’évangile selon saint Jean. Elle avait traduit le « Notre Père », le « Je vous salue Marie » et le « Magnificat » et composé quelques chants. Elle suit des cours par correspondance, cours de Bible, d’islamologie, de théologie. On lui doit aussi un livret sur le traitement par les plantes qu’elle complétera au cours des années, ainsi que des notes sur l’acupuncture. Sa vie fut laborieuse et austère. Pour bien le comprendre, il faut se l’imaginer dans son contexte habituel : non au calme dans sa chambre ou son bureau, elle n’en a pas ; mais assise au pied d’un arbre, ou l’hiver, près du feu sous la tente ouverte à tous. En 1978 Cécile reçoit une sœur comme compagne sous la tente ; mais pour que la Fraternité soit reconnue par les instances suprêmes de l’Institut, il faudrait une troisième sœur, qui se fera attendre encore cinq ans. En février 1983, Cécile est opérée à l’hôpital d’une occlusion intestinale. Et cette opération révèle un cancer très avancé. Trop avancé même pour qu’on puisse intervenir. Elle est mise au courant par le médecin et elle accepte dans la foi, dans la joie et dans l’espérance. Puis, malgré l’insistance des siens, elle exprime le désir de finir ses jours à la tente, puisque médicalement il n’y a rien à faire. Elle quitte l’hôpital quand la plaie est cicatrisée et continue de soigner les nomades par l’intermédiaire de la sœur qui est avec elle sous la tente. Les derniers mois, les souffrances physiques furent intenses ; et pareillement sa vie d’union à Dieu. Deux mois environ avant sa mort, Cécile commença un jeûne, ne buvant que du liquide. Je ne vois pas pourquoi je devrais nourrir mes cellules cancéreuses quand il y a tant de gens qui meurent de faim…Ce fut la veille de sa mort, le 10 octobre 1983, qu’arriva – dernière délicatesse du Seigneur – la reconnaissance par Rome de cette fraternité sous la tente. C’était dans la montagne les fêtes de mariages et toute la nuit avaient résonné les sons des derbouka (tambours), plus proches ou plus lointains. C’était pour Cécile, l’annonce d’un autre festin, d’autres noces. À l’aube du mardi 11 octobre 1983, après une nuit de grandes souffrances, entourée de ses trois sœurs, elle dit : « Je vais vers mon Père », prononça le nom de Jésus, entra dans la lumière qui n’a pas de déclin et dans la joie de Dieu. À ses obsèques, dans le cimetière de la Kasbah Myriem, c’est une foule qui l’accompagnait, composée de chrétiens et de musulmans, de prêtres et de religieuses ; mais surtout de ses frères et sœurs de la montagne, les nomades. Témoignages : Un prêtre qui l’a bien connue : Le but premier de Cécile a été de vivre avec les plus pauvres, de partager le dénuement de ce peuple berbère, nomade, qu’elle aimait. Le partage de leur vie avec tout ce qu’il y a de difficile, de dur et parfois même de rebutant, c’était son choix et non pas une conséquence à supporter tant bien que mal. Elle aimait les pauvres, non pas en phrases et en théorie, mais dans la réalité des actes quotidiens. Son programme de vie : - Imitation de Marie : surtout dans son mystère de la Visitation, puisque, comme elle, je porte le Corps de son Fils.- Adoratrice de cette Eucharistie avec laquelle je vis en intimité totale.- Victime, car les sacrifices ne manquent pas quand il faut affronter les intempéries, la privation de tout ...- Missionnaire, selon l’esprit de Mère Fondatrice, Marie de la Passion.Son faire-part de décès composé par elle-mêmeAu nom de Dieu le Clément, le Miséricordieux, Jésus a dit : Je suis la Résurrection. Qui croit en moi, fut-il mort, vivra ; et quiconque vit et croit en moi ne mourra jamais. Crois-tu cela ? (Jn 11, 25) Réjouis-toi avec moi ! Le Seigneur est venu me chercher pour la vie qui ne finit pas. Je prie pour toi et je t’attends dans la joie de la Résurrection. Amen. Alleluia ! Cécile Prouvost Monseigneur Chabert, l’archevêque de Rabat : Je l’admirais et j’étais fier d’avoir dans mon diocèse une telle ambassadrice de Jésus parmi les plus pauvres. Elle représentait bien cette option préférentielle que l’Église demande. Et sa Provinciale : Telle que je la connais, l’estime et l’admire, profondément dans son don total, dans ce cheminement qu’elle a fait depuis des années et qui […] me semble une authentique recherche du Seigneur, à l’exemple de saint François et de Marie de la Passion.

 

 

Sophie de Sivry et Laurent Beccaria

Sophie de Sivry, ancienne élève de l’École normale supérieure, est éditrice et dirige les éditions de l’Iconoclaste avec son mari Laurent Beccaria. Sophie est la fille de Renaud Poinsinet de Sivry  et  Gisèle Prouvost, elle-même fille de Joseph Prouvost-Ovigneur ( ils habitèrent longtemps 3, rue Bixio à Paris 7°, face aux Invalides).

. Laurent est le fils d'Yves Beccaria et Marie-Josèphe Denoix de Saint Marc; il est le neveu d'Hélie Denoix de Saint Marc avec qui il a écrit "des Champs de braises", prix Fémina essai et, avec Sophie de Sivry, de "L’Art et la folie" et de "L’Art et l’écriture".


Iconoclaste

Denis Prouvost
ingénieur, consacre son temps libre à l’étude du Vieux Paris ; Il s’intéresse notamment au cycle de l’eau et à la topographie historique. Il est également contributeur de l’Atlas du Paris souterrain. Il est le fils d'Hubert Prouvost et Brigitte de la Martinière.

Renaud Gagneux, Denis Prouvost, Emmanuel Gaffard (photographies)
Sur les traces des enceintes de Paris : promenades au long des murs disparus

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De la muraille du Bas-Empire à l'enceinte de 1840, Paris s'est protégée derrière de solides ouvrages, d'un rayon toujours plus vaste alors que la ville ne cessait de repousser ses limites. Il demeure des vestiges importants de certains de ces murs quand d'autres ont pratiquement disparu. L'empreinte en est cependant encore fréquemment gravée dans le tissu urbain: c'est durablement que les enceintes - ou leur fantôme - ont en effet marqué la limite entre des propriétés, que l'orientation du mur a guidé la découpe des parcelles. Ainsi, c'est en portant attention à des éléments d'apparence bien anodine, comme l'orientation des souches de cheminées, la continuité des mitoyens ou les moindres dénivelés de la chaussée, que le promeneur se fera archéologue pour retrouver le chemin des remparts de Paris.

Dehau de Staplande

Jusqu'à la 11e génération.

Jacques Dehau.
Marié avec Marie Houvenaeghel, dont

·        Eugénie de Hau de Staplande, née le 10 mars 1821, décédée en 1822 (à l'âge de un an).

·        Ernest de Hau de Staplande, né le 10 mars 1823, Bergues (59), décédé le 6 avril 1881, Paris (à l'âge de 58 ans).
Marié le 21 août 1848, Saint Martin de Paillencourt (59), avec Adélaïde Bouchelet de La Fosse, née le 27 mai 1825, Cambrai (Nord), décédée le 2 mars 1890, Paris (à l'âge de 64 ans), dont

o   Jeanne de Hau de Staplande, née le 30 mai 1849, Bergues (59, Nord), décédée le 29 octobre 1910, Hornoy-le-Bourg (80, Somme) - Tronchoy (à l'âge de 61 ans).
Mariée le 27 septembre 1871, Bergues (59, Nord), avec Gaston du Passage, né le 30 octobre 1844, Abbeville (80, Somme), décédé le 21 février 1888, Paris (75) - 7ème arrondissement (à l'âge de 43 ans).

o   Marie Victoire Eugénie de Hau de Staplande.

o   Louise de Hau de Staplande, née le 19 septembre 1850, Paillencourt (Nord), décédée le 30 juillet 1932, Domfront (Oise) (à l'âge de 81 ans).
Mariée le 31 mars 1875, Bergues (59) (Saint Martin), avec Louis du Passage, né le 12 juillet 1850, Abbeville, décédé le 16 février 1922, Abbeville (à l'âge de 71 ans), maire de Woirel (80).

·        Charles de Hau de Staplande, né en mai 1824, décédé le 18 janvier 1846 (à l'âge de 21 ans).

·        Ludovic de Hau de Staplande, né en juillet 1825, décédé en juillet 1849 (à l'âge de 24 ans).

·        Gaston de Hau de Staplande, né le 28 décembre 1828.

·        Eugénie de Hau de Staplande, née le 11 septembre 1832, décédée.
Mariée en 1855 avec Louis Bouchelet de La Fosse, ...

·        Rosa de Hau de Staplande, née le 8 janvier 1837, Berghes-Saint-Winox (Nord), décédée le 23 juin 1860, Arras (à l'âge de 23 ans).
Mariée le 20 juillet 1858, Amiens, avec Edouard de Brandt de Galametz, né en 1829, décédé le 9 octobre 1894, château d'Ecoivres (à l'âge de 65 ans), ...

·        Marie Pauline de Hau de Staplande.
Mariée le 18 février 1854 avec Françoise Adolphe Siriez de Longeville, ...

Marié le 27 mai 1759 avec Charlotte Angèle Geneviève Deschodt, née en 1732, Bailleul.

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