Quelques illustrations de la lignée des
DEHAU
D'azur au chevron d'argent surmonte d'one étoile à 5 rais d'or, accompagne de 3 mains de carnation tenant chacune une poignée d'épis de blé d'or, posées deux en chef affrontées et une en pointe.
Marie Dehau Lenglart, Livre de famille, publié par M-R et J-L Pelon (éd. L'Epi d'or, 2001)
Histoire
des 2 frères Dehau tués par le même boulet de canon anglais, l'un étant le
capitaine du vaisseau (L'Elisabeth) et la direction du navire fut confiée au
neveu de Jean Bart qui était le second du capitaine. Les deux frères (Pierre et
Charles) faisaient partie d'une escorte accompagnant Charles Edouard Stuart sur
la route de l'Ecosse. Une attaque anglaise ayant surgi contre le convoi, trois
n Navires dont l'Elisabeth firent diversion et entraînèrent l'escadre anglaise
dans une direction, alors que le navire abritant
Charles Edouard Stuart s'éloignait vers sa destination sans heurt. C'est au
cours de cette manœuvre de diversion que les deux frères trouvèrent la
mort. ». La descendance Dehau a été reçue membre de « l'Association
des descendants de Capitaines Corsaires » ADCC par Madame Marguerite
Onraët, commissaire aux Preuves. [1]
Gilles
de Raismes commente : « Un peu comme les Gontaut-Biron:
Le premier, Maréchal de France, Armand a le 26
juillet 1592 la tête emportée par un boulet de canon lors d’une opération de
reconnaissance à Epernay,
Le second maréchal de France (1er duc) Charles est décapité dans
la cour de la Bastille, le 31 juillet 1602 ,
Le troisième, Maréchal de France, Charles Armand,
marquis puis duc : un boulet lui emporte le bras gauche au siège de Landeau en
1713,
Le duc de Lauzun sera guillotiné comme duc et
général de Biron.
Conclusion chez les Gontaut : On y perd la tête ou
le bras. »
[1] :
Compte tenu du côté assez prestigieux de ce fait d'armes, et compte tenu du
fait que Pierre Dehau n'avait pas eu le
temps de créer une descendance avant d'être fauché par ce boulet de canon, la
notion de "descendants" a été élargie à la descendance du père de ce
capitaine corsaire.
Marie Dehau Lenglart, Livre de famille, publié par M-R et J-L Pelon (éd. L'Epi d'or, 2001)
Ancienne famille; filiation depuis:
Descendants de Jacques Dehau
Jacques Dehau, né vers 1650.
Marié avec Marie Madeleine
Tasche, née le 7 mars 1659,
Bergues (59), décédée le 13 février 1705,
Quaëdypre (59) (à l'âge de 45 ans), dont
Félix Etienne Dehau (1846-1934)
Portrait par Laure de Vareilles
Commandeur de Saint Grégoire le Grand
Croix de l’ordre National de la Légion
d’honneur
Docteur en droit
Conseiller général du Nord,
Maire de Bouvines,
Le plus jeune des maires de France,
Doyen des maires de France
Fit construire l’église de Bouvines,
A l’origine des verrières remarquables par Champigneulle de l’église de Bouvines
Fit construire les orphelinats
d’Esquermes, de Blandin, de Bouvines et de Croix dont sa fille Claire
était la Supérieure,
Fonde l’école libre pratique
d’agriculture de Genesch (plus de 1000 élèves)
Organisateur des superbes fêtes des 700
ans de Bouvines,
Zélé défenseur des intérêts religieux et
régionaux
Construit un monument à la gloire des
héros de 1214 par son petit fils l’architecte Joseph Philippe
Habite le château de Bouvines
Hôtel particulier sur le parvis Saint
Maurice à Lille
Fit construire la chapelle Saint Hubert
dans son parc
Achète pour les bénédictins l’abbaye de Chévetogne
Mélomane, brillant orateur, grand
chasseur, amateur d'art
Donne les revenus de son château d’Esquermes aux œuvres.
Châteaux de Vaumain (aux Jeanson), de la
Houssoye (aux Prouvost), de La Bosse (aux Jeanson), l’abbaye de Lessay
Epoux de
Marie Claire Adelaïde LENGLART,
née à Fives, le 9 août 1849, décédée à
Bouvines, le 12 avril 1940,
Arrière petite fille de Charles
Lenglart, Seigneur de Lannoy et de
Plancques
(1740-1816), mécène et collectionneur du
siècle des lumières, Chevalier du Lys par le roi Louis XVIII le 26
juillet 1814, Trésorier de la ville de Lille, Echevin, négociant, futur
conseiller municipal, président du canton de 1813 à 1816, député de la
ville de Lille au sacre de Napoléon, conservateur du musée de Lille.
Leurs enfants furent :
Al - Pierre Marie Félix DEHAU, né à Bouvines, le 5 aout 1870, décédé le 21 octobre 1956. Dominicain.
Marie Dehau Lenglart, Livre de famille, publié par M-R et J-L Pelon (éd. L'Epi d'or, 2001)
A2 - Félicie Valerie Joséphine DEHAU, née à Bouvines, le 7 juillet 1871, épouse Georges Louis Joseph PROUVOST, industriel.
Marie Dehau Lenglart, Livre de famille, publié par M-R et J-L Pelon (éd. L'Epi d'or, 2001)
A3 - Claire Caroline Marie Thérèse
DEHAU, religieuse de la Congrégation de St-Vincent de Paul, née à Bouvines le
28 juillet 1872, décédée.
A4 - Madeleine Marie DEHAU, née à
Bouvines le 2 avril 1874, épouse André Etienne Ernest Joseph BONDUELLE,
industriel
A5 – Marthe DEHAU, née à Bouvines, le 8
juin 1875, décédée le même jour.
A6 - Marthe Marie Caroline DEHAU, née à
Bouvines, le 10 octobre 1876, épouse Charles Edme Marie Joseph JEANSON,
industriel.
A7 - Elisabeth Marie Joseph DEHAU, née à
Bouvines, le 29 mars 1878, épouse Henri Ignace Louis Joseph PHILIPPE, notaire à
Cysoing
A8 - Louise Claire Marie Julie DEHAU,
née à Bouvines le 10 avril 1881, décédée célibataire à Bouvines, le 31
décembre 1948.
A9 - Henriette Madeleine Marie Félix
DEHAU, née à Bouvines, le 6 avril 1884, épouse Louis Eugene Joseph ROLLINDE de
BEAUMONT, Croix de Guerre, chevalier de Saint Grégoire le Grand, avocat.
AlO - Jean Charles Pierre Marie Félix
DEHAU, ne Ii Bouvines, le 5 février 1888, épouse Thérèse Marie DAVAINE.
Les vitraux de l'église de Bouvines
Abbaye de Chévetogne
Château de la Houssoye
L'abbaye de Lessay
l'école agricole de Genech
Georges I Prouvost
1866-1926
époux de Félicie Valerie Joséphine DEHAU, née à Bouvines, le 7 juillet 1871 ;
Ils habitaient 6, place du Maréchal Leclerc à Lille en 1954.
Marie Dehau-Lenglart: Livre de famille, éditions l'épi d'or, 2001
Georges est le
fils de Charles- Jérome Prouvost et de Marie Sophie Scrépel; Félicie Valerie Joséphine DEHAU est
la fille de:
Les vitraux de
l'église de Bouvines
Jacques Prouvost, né en 1902, fils de Georges Prouvost et Félicie Dehau, épousa le 17 juillet 1928 Gabrielle de Vareilles-Sommieres; il décéda au retour de son voyage de noces.
Jacques était un grand ami de
Marcel Virnot et de son cousin Charles Prouvost, troisième du nom. Les Prouvost-Dehau habitaient une propriété entre l'Eglise
Saint Maurice des Champs et le Pont du Lion d'Or. Marcel
Virnot avait passé sa jeunesse près de chez eux, à Mons ou rue de Gand. (un
très joli coin de propriétés juste après la porte de Roubaix. A la fin de la
vie, Félicie habita chez ses enfants Wallaert,
place de Tourcoing, un hôtel particulier dont la concierge et domestique était
celle qui avait élevé Marcel Virnot qui était la coqueluche des domestiques.
Chaque nouvel an, Marcel Virnot et sa famille allaient fêter le Nouvel an chez
la tante Félicie.
Documents Jean Yves Hamar
Georges II Prouvost né
en 1894
Croix de guerre 14-18, époux de Marthe Virnot ; dont
Dominique, Cécile, Georgette, François, Thérèse, Hubert, Martine
Georges et Joseph Prouvost
Georges Prouvost, né en 1894, industriel à Paris marié le 26 septembre 1919, Lille , avec Marthe Virnot, née le 11 mars 1896, Lille, décédée en 1985 ; ils habitèrent longtemps 8, boulevard julien Potin à Neuilly et, à la fin de leur vie, un appartement dans un charmant hôtel particulier XVII° dans le Marais à Paris où habiatait les Amédée Prouvost.
Cousins germains de Georges Prouvost
Base Roglo
Du côté de Georges Louis Prouvost:
Enfants de Marie Sophie Prouvost:
Charles Romain Flipo 1884-1916 & Marie Germaine Tiberghien 1885-1960
Georges Jean Marie Flipo 1885-1943 & Jeanne Tiberghien 1888-1964
Marie Marguerite Flipo 1886-1953 & Henri Edouard Leurent 1886-1952
René Flipo 1888-1890
René Paul Flipo 1890-1943 & Madeleine Vandenberghe 1893-1978
Marguerite Antoinette Flipo 1892-1974
Enfants de Pauline Sophie Prouvost:
André Jean Lepoutre 1889-1972 & Agnès Flipo 1893-1924
Jean Lepoutre 1893-1916
Antoine Lepoutre 1895-1980 & Agnès Toulemonde 1902-1985
Paul Lepoutre
Enfants d'Antoinette Prouvost:
Antoinette Vernier 1892-1966 & Robert Faure 1883-1967
Marguerite Marie Joseph Vernier 1893 & Paul Achille Marie Joseph
Leman
Mathilde Vernier 1895 & André Dubus 1892-1969
Édouard Vernier 1896-1970 & Marie-Louise Dupont
Agnès Vernier 1897 & Eugène Meillassoux 1899
Raymond Vernier 1904
Enfants de Gabrielle Prouvost:
François Duthoit 1896 & Hélène Lorthiois
Charles Duthoit 1897-1982 & Marie-Thérèse Leplat
Gabrielle Duthoit 1899 & Robert Courouble 1897-1961
Jean Duthoit
Marie Duthoit 1900 & Jean Dubois
Marthe Duthoit 1902 & Joseph Vandewynckele
Etienne Duthoit 1905-1969 & Françoise Dazin
Michel Duthoit 1911 & Christiane Pecqueur
Enfants de Charles Prouvost:
Charles Prouvost 1900 & Hélène Dalle 1905
Lucie Prouvost 1903-1957 & Roger Ponroy 1891
Geneviève Prouvost
Gérard Prouvost
Enfants de Germaine Prouvost:
Maurice Pollet 1896 & Yvonne Sion
Marcel Pollet 1898-1968 & Marie Agnès Dubar
Germaine Pollet 1899-1985 & Edouard Guilbert 1892-1978
Pierre Pollet 1902 & Jeanne Thiriez
Raymond Pollet 1904 & Christiane Renée Louise Dubar
Antoine Pollet 1907-1958 & Agnès Leclercq 1911
Jacques Pollet 1907
Emmanuel Pollet 1910 & Simone Poissonnier
Anne Marie Pollet 1914-1916
Francette Pollet 1918 & André Réquillart
Françoise Pollet 1918
Enfants de Jean Jérôme Prouvost:
Jean Prouvost 1904-1965 & Marguerite Marie Pattyn 1904-1944
Jean Prouvost 1904-1965 & Mathilde Froidure 1914
Xavier Louis Prouvost 1906-1965 & Antoinette Bernard 1910-1977
Marthe Prouvost 1909-1989 & Paul Mignot 1908-1982
Francis Prouvost 1912-1992 & Gabrielle Bernard 1914-2000
Marcel Prouvost 1914-1968 & Aline Ponroy
Du côté de Félicie Valérie Dehau:
Enfants de Marie Madeleine Dehau:
Marie Madeleine Bonduelle 1894-1952 & Charles Wambergue 1890-1960
Louise Bonduelle 1895-1895
Marie-Antoinette Bonduelle 1898-1987 & Jean Pattyn 1896-1972
Jeanne Bonduelle 1899-1993 & Antoine Bernard 1894
André Bonduelle 1901-1980
Pierre Bonduelle 1902-1988 & Jeanne Marie Dalle 1903-1994
Benoit Bonduelle 1904-1986 & Germaine Dalle 1906-1996
Félix Bonduelle 1906
Germaine Bonduelle 1907-1920
Claire Bonduelle 1909-1937
Michel Bonduelle 1910 & Marie Rose Crombez 1912
Marie-Joseph Bonduelle 1912-2006 & André Crespel 1907
Ignace Bonduelle 1914-1953 & Marie Rose Crombez 1912
Bernadette Bonduelle 1914-2011
Enfants de Marthe Dehau:
Charles Jeanson 1898-1990 & Antoinette Augier de Moussac 1898-1942
Charles Jeanson 1898-1990 & Chantal Camus La
Guérinière 1912-2003
Paul Jeanson 1899-1931 & Marguerite Join-Lambert 1906-1932
Pierre Jeanson 1899-1980 & Anne Marie Agathe Augier de Moussac
1902-1926
Pierre Jeanson 1899-1980 & Renée Lefebvre-Mettol-Dibon
1902-1993
Félix Jeanson 1909-1990 & Monique Jeanson 1913-
Enfants d'Elisabeth Dehau:
Joseph Philippe 1902-2000 & Gabrielle de La Broüe de
Vareilles-Sommières 1908-1964
Marie Philippe 1903-1999
Jean Philippe 1905-1993
Cécile Philippe 1906-1986
Elisabeth Philippe 1908
Anne-Marie Philippe 1910-2008 & Gérard Pattyn 1902-1940
Evrard Philippe 1911-1940
Henri Philippe 1912-2006
Pierre Philippe 1913 & Chantal Farnoux 1939-
Henriette Philippe 1915
Jeanne Philippe 1920-1999 & Pierre Charles Frédéric
Bour 1917
François Philippe 1922-1944
Enfants de Henriette Dehau:
Marguerite Rollinde de Beaumont 1904-1906
Henri Rollinde de Beaumont & Monique Denis du Péage 1911
Jacqueline Rollinde de Beaumont 1907 & Michel Paul Dubois 1906
Louise Rollinde de Beaumont 1908-2011 & Roger Denis du Péage
1905
Joseph Rollinde de Beaumont +1980 & Odette Jeanson 1924-
Louis Rollinde de Beaumont 1918-2011 & Micheline Prouvost +1968
Louis Rollinde de Beaumont 1918-2011 & Paule Donati 1925-2007
Charlotte Rollinde de Beaumont 1922-1991 & Guy de Craecker 1915-1983
Anne Marie Rollinde de Beaumont 1923
Enfants de Jean Dehau:
Colette Dehau 1913-1931
Félix Dehau 1914 & Thérèse Maes 1922
Louise Dehau 1917 & Georges Bez
Total: 85 personnes.
Cousins issus de germains de Georges Prouvost
Du côté de Charles Jérôme Prouvost:
Enfants de Henri Prouvost:
Louise Marie Prouvost 1884 & Maurice Derville 1880
Henri François Prouvost 1885-1962 & Marguerite Léonie
Motte 1887-1966
Simone Prouvost 1889-1972 & Auguste Lepoutre 1888-1959
Enfants d'Edmond Charles Prouvost:
Edmond Prouvost 1888 & Marguerite Pauline Pollet 1891-1958
Robert Prouvost & Geneviève Flouret
Antoinette Prouvost 1899 & André Crouan
Enfants de Louise Prouvost:
Madeleine Ernoult 1890-1913 & Gaston Outters 1887-1916
Agnès Ernoult 1892-1982 & Marcel Lepoutre 1890-1977
Jean Ernoult 1897-1982 & Clotilde Flipo 1901-1998
Thérèse Ernoult & Etienne Parent 1895
Etienne Ernoult
Enfants de Pierre Prouvost:
Germaine Prouvost 1895-1934 & Georges Delattre 1893-1945
Pierre Prouvost 1897-1980 & Marie Outters 1897-1994
André Prouvost 1899 & Suzanne Dubois
Marcel Prouvost 1902 & Marie Paule Lefebvre
Enfants de César Henri Piat:
César Piat 1890-1967 & Marcelle Vernier 1896-1985
Germaine Piat 1893 & François Watine
Henri Piat 1895-1915
Joseph Piat 1897-1982 & Jeanne Vernier 1897-1981
Jacques Piat 1899 & Cécile Vandenberghe 1901-1995
Enfants d'André Piat:
André Piat & Madeleine Museux
Georges Piat & Anne-Marie Bonnel
Jean Marie Piat
Paul Piat & Marie Louise Brunin
Enfants de Paul Laurent Joseph Prouvost:
Paul Antoine Louis Prouvost 1891-1953 & Georgette Crépy
1896-1982
Germaine Prouvost 1893-1987 & Jean Barrois 1884-1967
Eugène Prouvost 1895-/1995 & Marie-Louise Crépy +
Enfants de Maurice Laurent Prouvost:
Maurice Prouvost 1896-1975 & Marie Antoinette Pollet 1900
Claude Prouvost & Denise Rasson
Raymond Prouvost 1907 & Jacqueline Six 1910-2008
Michel Prouvost & Marie Desbonnets
Enfants de Laurence Marie Prouvost:
Madeleine Six +1967 & Henry Pollet 1891-1967
Antoinette Six & Léon Lemaire
Marie Six 1901 & Michel Vernier 1900
Paul Six & Anne Berthélemy
Pierre Six 1908-1978 & Geneviève Cavrois 1912-2000
Enfants de René Louis Prouvost:
Françoise Marie Gérard Prouvost 1904-1994 & Michel
Jules Joseph Leroux 1898-1992
Marilys Prouvost 1910-2006 & Gabriel Lessens 1907-1976
Thérèse Prouvost 1913-1999 & Jean Fontaine 1911-1997
Enfants d'Edouard Watine:
Elisabeth Watine 1894-1943 & Victor Delerue 1886-1964
Edouard Watine 1896-1958 & Anne-Marie Delerue 1891-1964
Enfants d'Ursule Caroline Watine:
François Barrois 1894-1894
Antoinette Barrois 1896-1994 & Michel Théry 1891-1968
Gérard Barrois 1908-1949 & Claude Foucart 1914
Enfants d'Ernest Watine:
Marguerite Watine & Charles Rouard
Marie-Josèphe Watine & Jean Malotaux 1898-1984
Ernest Watine & Renée Courdent
Cécile Watine 1912-1973 & Jacques van Cauwenberghe 1907
Antoinette Watine + & Nn Hennart
Enfants d'Albert Edouard Watine:
Albert Watine & Germaine Toulemonde
Thérèse Watine 1917-2011 & Jacques Dessaint 1915-2009
Solange Watine 1919-1989 & Auguste Desnoulez 1920-1980
Francis Watine & Catherine Guermonprez
Antoine Watine & Clémentine Dourlens
Michel Watine & Martine Leurent 1935-
Du côté de Marie Sophie Scrépel:
Enfants de Thérèse Scrépel:
Thérèse Lotthé & Auguste Watine
Léon Lotthé & Suzanne Villette 1890
Ernest Lotthé
Joseph Lotthé & Marthe Prouvost 1892-1967
Jean Lotthé & Marguerite Behaghel 1896-1984
Louis Lotthé 1892-1914
Enfants de Mathilde Marie Scrépel:
Georges Louis Droulers 1883-1962 & Madeleine Scalbert 1886
Gaston Droulers 1884-1956 & Marguerite Leurent 1888-1961
René Louis Droulers 1886-1975 & Paule Leurent 1888-1974
Albert Droulers 1887-1950
Marguerite Droulers 1889-1964 & Maurice Reau de Varenne
Marcel Droulers 1891-1974
Madeleine Droulers 1893-1966 & Paul Blondel
Raymond Droulers 1895-1915
Enfants de Marguerite Scrépel:
Suzanne Boisse & Eugène Broudehoux +1964
Enfants de Paul Scrépel:
Paul Scrépel 1891
Louis Scrépel 1898-1981 & Gisèle Le Roux de Bretagne
1899-1986
Enfants de Hélène Scrépel:
Edmont Leroux 1896-1943 & Marcelle Marie Emilie Lequeux 1887
Maurice Leroux 1898-1963 & Suzanne Pollet 1902
Antoinette Leroux 1899-1981 & Georges Emile Wibaux 1897
Edouard Leroux 1902-1992 & Sabine Tiberghien 1905-1978
Enfants de Georges Masurel:
Elise Masurel 1880 & André Pollet 1876-1962
Georges Masurel 1882-1961 & Germaine Rosine Masurel 1885
André Masurel 1883-1915 & Aline Roussel 1888-1953
René Louis Masurel 1884-1970 & Marie Marguerite Cavrois
1889-1954
Jacques Masurel 1886-1914 & Marie-Thérèse Dansette
Agnès Masurel 1888 & Charles Huet 1886-1951
Raymond Masurel 1890 & Jeanne Roussel
Pierre Masurel 1891-1916
Maurice Masurel 1899-1979 & Lucie Pollet 1902-1969
Maurice Masurel 1899-1979 & Denise Pollet 1904
Enfants de Carlos Masurel:
Geneviève Masurel 1888-1971 & Henri Repesse
Thérèse Masurel 1889-1977
Madeleine Masurel 1890-1969
Carlos Masurel 1892-1970 & Gabrielle Nollet 1900
Enfants de Victorine Adèle Scrépel:
Charles Pollet 1885-1960 & Germaine Motte 1888-1960
Victorine Pollet 1886-1960 & Edouard Pollet 1882-1914
Germaine Berthe Pollet 1887 & Etienne Motte 1884
Marthe Yvonne Pollet 1889-1918 & Maurice Jonglez 1887-1954
Henry Pollet 1891-1967 & Madeleine Six +1967
Joseph Pollet 1895-1980 & Suzanne Derville 1898-1992
Simone Pollet 1896 & Pierre Dazin 1890
Madeleine Pollet 1898 & René Paul Félix Wattinne
1893-1970
Marie Antoinette Pollet 1900 & Maurice Prouvost 1896-1975
Marcelle Pollet 1900 & Jean Montpellier 1896-1982
Suzanne Pollet 1902 & Maurice Leroux 1898-1963
Enfants de Léon Scrépel:
Suzanne Scrépel 1906-1969 & Jean Montpellier 1896-1982
Henri Scrépel & Aline Masurel
Jacques Scrépel 1908-1990
Colette Scrépel 1913 & René Demeestère 1898
Jacqueline Scrépel & Pierre Réquillart ca 1905
Enfants de Berthe Scrépel:
Berthe Motte 1891-1913 & Jules d'Halluin 1887-1940
Maurice Motte 1892 & Anne-Marie Bernard 1893
Enfants de Yvonne Scrépel:
Yvonne Motte 1898-1989 & Pierre Le Verdier 1892-1985
Suzanne Motte 1899-1925 & Bernard d'Halluin 1895-1974
Denise Motte 1901 & Gérard Leys 1900-1988
Léon Louis Henri Joseph Motte
Daniel Motte
Emmanuel Motte & Maria Gertler
Total: 113 personnes.
Dont
* Dominique Prouvost. marié avec
Anna Maria Solari Bozzi, marié avec Traot Lamby.
* Cécile Prouvost, décédée, Maroc, en
religion.
* Georgette Prouvost, née le 7 janvier 1923,
Lille , mariée le 4 mars 1947, Lille , avec Yves Descamps, né le 18 décembre
1921,
Lille ; photo dans l’hôtel Virnot, place
Saint Martin à Lille.
François Prouvost, né le 19 février 192 marié le 15 janvier 1947 avec Brigitte Crépy, née le
22 janvier 1924 marié avec Marie-Louise Jaspard.
Thérèse Prouvost, décédée mariée avec
Jean
Vercasson.
Hubert Prouvost, né en 1930, décédé en 1996 marié avec Brigitte Machet de La Martinière, née le
31 décembre 1935, Reims de Jean Machet de La Martinière, Saint-Cyr 1928-30, colonel de l'Armée de l'Air,
Commandeur de la légion d’honneur, Croix de guerre 39-45, DFC et Marie Morisson
de La Bassetière, arrière petite fille de Henry Cochin, 1854-1926, Membre de
l'Institut de France (Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, membre
libre, 19 février 1926, Député du Nord
(1893-1914), maire de Saint-Pierre-Brouck
de 1888 à 1910, Député du Nord.
Martine Prouvost, mariée avec Denis Frapier.
La propriété
du Moustiers, depuis 100 ans dans la famille Frapier, fut construite par l’architecte du palais de la Légion
d’Honneur à Paris ;
Sœur Cécile Prouvost, 1921-1983
Franciscaine missionnaire de Marie
Fille de Georges Prouvost (cousin germain de
Charles, petit fils de Félix Dehau) et Marthe Virnot
« L’homme propose et Dieu
dispose ! Je m’étais tellement réjouie de t’avoir comme correcteur et dessus m’a lancé le grand appel. Au cours
d’une opération d’urgence, le chirurgien a découvert en moi un cancer bien
avancé. J’en ai pour quelques mois. Je suis émerveillé de cette délicatesse du
seigneur qui m’a ccordé un délai pour que je puisse partager ma confiance et ma
joie avec tous ceux que que j’aime. Je sais que, dans quelques mois, ma
connaissance sera totalle ; alors je préfère m’abandonner à la prière
plutôt qu’à l’étude. Je suis revenue à la tente, ma famille et mes sœurs
acceptent que je finisse mes jours au milieu de ceux que j’aime(…) Je suis dans
la plus grande action de grâce, la plénitude de joie.
Midelt fut donc la dernière étape de sa vie conventuelle, avant
le grand saut, chez les nomades. Là, elle avait un poste d’infirmière dans le
dispensaire, dépendant de la Santé publique, et elle s’occupait plus spécialement
de prévention maternelle et infantile. À la fin de 1969, Cécile écrit : Depuis
deux ans, le Seigneur m’attire vers une intimité constante avec lui et un
profond désir de vie contemplative. Lors de ma dernière retraite en septembre
1969, il me fit voir clairement que ma vie serait nomade-contemplative. C’est en juin 1969, au
cours de l’ascension de l’Ayachi (le deuxième sommet du Haut-Atlas, 3735
mètres) qu’elle ressentit vivement et douloureusement combien les nomades
étaient abandonnés au point de vue sanitaire. À la fin de 1969, elle présente,
par écrit, son projet à la Provinciale et à son conseil, ainsi qu’à la
Supérieure Générale et à l’archevêque de Rabat. Elle explique :
Je voudrais donc, dès le printemps 1970, avoir l’autorisation de
passer, de temps en temps, une nuit sous la tente, soit près d’un malade, soit
chez des amis sûrs – et j’en ai de très sûrs. Il faudrait que rapidement, le
rythme atteigne deux nuits par semaine ; tout en continuant mes activités
normales au dispensaire et en communauté. Puis mon désir serait, dans deux ans,
c’est-à-dire au printemps 1972, pouvoir vivre cinq jours sous la tente, dans la
montagne et rentrer dans ma communauté le samedi et le dimanche. Plus une
partie de l’hiver. Il me semble que là, je vivrais mieux l’imitation de Jésus
Christ, la Voie, la Vérité, la Vie de nos âmes, qui a voulu vivre cette vie de
proximité et de communauté avec les plus pauvres de son pays qui étaient si
semblables au nomades de nos régions ; nomade avec les nomades. Non sans
appréhension, ses supérieures et l’archevêque laissèrent ouverte cette
possibilité de proximité avec les plus pauvres de la montagne. Un projet qui
devint réalité en 1970, au rythme prévu. Comme « compagne », dans ces
débuts, elle eut, non pas l’une de ses sœurs, mais une femme berbère et elle
dira : Il s’est créé entre nous une amitié profonde et actuellement, nous
vivons en fraternité comme deux sœurs, heureuses l’une et l’autre de montrer à
notre entourage qu’une musulmane et une chrétienne peuvent vivre ensemble en
réalisant chacune à fond sa religion. Pour nous, ajoute-t-elle, c’est le
dialogue islamo-chrétien vécu, avec simplicité, mais dans la réalité. Très
vite, elle pourra dire : J’ai enregistré et arrive à suivre d’une manière
régulière près de trois cents familles (de nomades). Il doit en rester à peu
près cent cinquante que je n’ai pas encore touchées. Le travail est surtout de
prévention, vaccinations, visites prénatales, surveillance des nourrissons,
dépistages de tuberculose...Nous faisons aussi les soins… Ce qui est important
pour elle dans ce vivre avec,
ce sont les contacts avec les gens qui l’entourent. Entre 1972 et
1974, elle
circule dans un rayon de trente kilomètres autour de Midelt, ce
qui lui permet
de contacter un grand nombre de personnes. En 1972, elle compte 584
familles,
soit 3475 personnes. En 1974, elle compte 659 familles, soit 3833
personnes et,
en infirmière méthodique, elle établit une fiche
par famille. Elle essaie de
sensibiliser les parents à la nécessité des
vaccinations. Mais comment faire
admettre qu’on pique un enfant en bonne santé ? Elle
ne vaccine aucun
enfant sans l’accord de l’un des deux parents. Un autre
point à obtenir, c’est
l’hospitalisation quand le médecin la demande car les gens
ont peur. Elle suit
avec grand soin les enfants : les rachitiques, les
anémiés, les mangeurs
de terre. Mais elle porte surtout ses soins sur
l’éducation : hygiène,
alimentation : « Cela m’est facilité par le
fait que je vis avec eux, et,
en partie comme eux. Je suis à la disposition de ceux qui
viennent chaque jour
entre 7 h 30 et 17 h 30 ; mais pour les urgences, il n’y a
pas d’heure, je
suis à leur disposition jour et nuit. Pour se faire nomade avec
les nomades,
Cécile est vêtue d’un grand burnous d’homme,
coiffée d’une manière qui n’était
ni féminine ni masculine, et chaussée de grosses sandales
berbères, même en
plein hiver. Lorsqu’elle devait prendre le car, pour ne pas
déranger, elle
était prête à partir de bonne heure.
Enveloppée dans mon burnous, je me couche
sur un banc public, on me prend pour un homme et on me laisse
tranquille. Sa
vie à la tente était partagée entre son travail
d’infirmière, la prière à
laquelle elle consacrait beaucoup de temps et l’étude, car
Cécile lisait,
écrivait et étudiait beaucoup. Elle avait même
composé un lexique
français-berbère et berbère-français. Elle
avait entrepris la traduction en
berbère de l’évangile selon saint Marc et
commencé celle de l’évangile selon
saint Jean. Elle avait traduit le « Notre
Père », le « Je vous
salue Marie » et le « Magnificat » et
composé quelques chants.
Elle suit des cours par correspondance, cours de Bible,
d’islamologie, de
théologie. On lui doit aussi un livret sur le traitement par les
plantes
qu’elle complétera au cours des années, ainsi que
des notes sur l’acupuncture. Sa
vie fut laborieuse et austère. Pour bien le comprendre, il faut
se l’imaginer
dans son contexte habituel : non au calme dans sa chambre ou son
bureau,
elle n’en a pas ; mais assise au pied d’un arbre, ou
l’hiver, près du feu
sous la tente ouverte à tous. En 1978 Cécile
reçoit une sœur comme compagne
sous la tente ; mais pour que la Fraternité soit reconnue
par les
instances suprêmes de l’Institut, il faudrait une
troisième sœur, qui se fera
attendre encore cinq ans. En février 1983, Cécile est
opérée à l’hôpital d’une
occlusion intestinale. Et cette opération révèle
un cancer très avancé. Trop
avancé même pour qu’on puisse intervenir. Elle est
mise au courant par le
médecin et elle accepte dans la foi, dans la joie et dans
l’espérance. Puis,
malgré l’insistance des siens, elle exprime le
désir de finir ses jours à la
tente, puisque médicalement il n’y a rien à faire.
Elle quitte l’hôpital quand
la plaie est cicatrisée et continue de soigner les nomades par
l’intermédiaire
de la sœur qui est avec elle sous la tente. Les derniers mois,
les souffrances
physiques furent intenses ; et pareillement sa vie d’union
à Dieu. Deux
mois environ avant sa mort, Cécile commença un
jeûne, ne buvant que du liquide.
Je ne vois pas pourquoi je devrais nourrir mes cellules
cancéreuses quand il y
a tant de gens qui meurent de faim…Ce fut la veille de sa mort,
le 10 octobre
1983, qu’arriva – dernière délicatesse du
Seigneur – la reconnaissance par Rome
de cette fraternité sous la tente. C’était dans la
montagne les fêtes de mariages
et toute la nuit avaient résonné les sons des derbouka (tambours), plus proches ou plus
lointains. C’était pour Cécile, l’annonce d’un autre festin, d’autres noces. À
l’aube du mardi 11 octobre 1983, après une nuit de grandes souffrances,
entourée de ses trois sœurs, elle dit : « Je vais vers mon
Père », prononça le nom de Jésus, entra dans la lumière qui n’a pas de
déclin et dans la joie de Dieu. À ses obsèques, dans le cimetière de la Kasbah
Myriem, c’est une foule qui l’accompagnait, composée de chrétiens et de
musulmans, de prêtres et de religieuses ; mais surtout de ses frères et
sœurs de la montagne, les nomades. Témoignages : Un prêtre qui l’a bien
connue : Le but premier de Cécile a été de vivre avec les plus pauvres, de
partager le dénuement de ce peuple berbère, nomade, qu’elle aimait. Le partage
de leur vie avec tout ce qu’il y a de difficile, de dur et parfois même de
rebutant, c’était son choix et non pas une conséquence à supporter tant bien
que mal. Elle aimait les pauvres, non pas en phrases et en théorie, mais dans
la réalité des actes quotidiens. Son programme de vie : - Imitation de
Marie : surtout dans son mystère de la Visitation, puisque, comme elle, je
porte le Corps de son Fils.- Adoratrice de cette Eucharistie avec laquelle je vis
en intimité totale.- Victime, car les sacrifices ne manquent pas quand il faut
affronter les intempéries, la privation de tout ...- Missionnaire, selon
l’esprit de Mère Fondatrice, Marie de la Passion.Son faire-part de décès
composé par elle-mêmeAu nom de Dieu le Clément, le Miséricordieux, Jésus a
dit : Je suis la
Résurrection. Qui croit en moi, fut-il mort, vivra ; et quiconque vit et
croit en moi ne mourra jamais. Crois-tu cela ? (Jn 11, 25) Réjouis-toi
avec moi ! Le Seigneur est venu me chercher pour la vie qui ne finit pas. Je
prie pour toi et je t’attends dans la joie de la Résurrection. Amen.
Alleluia ! Cécile Prouvost Monseigneur Chabert, l’archevêque de
Rabat : Je
l’admirais et j’étais fier d’avoir dans mon diocèse une telle ambassadrice de
Jésus parmi les plus pauvres. Elle représentait bien cette option
préférentielle que l’Église demande. Et sa Provinciale : Telle que je la
connais, l’estime et l’admire, profondément dans son don total, dans ce
cheminement qu’elle a fait depuis des années et qui […] me semble une
authentique recherche du Seigneur, à l’exemple de saint François et de Marie de
la Passion.
Sophie de Sivry et Laurent Beccaria
Sophie de
Sivry, ancienne élève
de l’École normale supérieure, est éditrice et dirige les éditions de l’Iconoclaste
avec son mari Laurent Beccaria. Sophie est la
fille de Renaud Poinsinet de Sivry et
Gisèle Prouvost, elle-même fille de Joseph Prouvost-Ovigneur ( ils
habitèrent longtemps 3, rue Bixio à Paris 7°, face aux Invalides).
. Laurent est le
fils d'Yves Beccaria et Marie-Josèphe Denoix de Saint Marc; il est le neveu
d'Hélie Denoix de Saint Marc avec qui il a écrit "des Champs de
braises", prix Fémina essai et, avec Sophie de Sivry, de "L’Art et la
folie" et de "L’Art et l’écriture".
Denis Prouvost
ingénieur, consacre son temps libre à l’étude du Vieux Paris ;
Il s’intéresse notamment au cycle de l’eau et à la topographie historique. Il
est également contributeur de l’Atlas du Paris souterrain. Il est le fils
d'Hubert Prouvost et Brigitte de la Martinière.
Renaud Gagneux, Denis
Prouvost, Emmanuel Gaffard (photographies) |
Dehau de Staplande
Jacques Dehau.
Marié avec Marie
Houvenaeghel, dont
·
Eugénie de Hau
de Staplande, née le 10 mars 1821,
décédée en 1822 (à l'âge de un an).
·
Ernest de Hau de
Staplande, né le 10 mars 1823,
Bergues (59), décédé le 6 avril 1881,
Paris (à l'âge de 58 ans).
Marié le 21 août 1848,
Saint Martin de Paillencourt (59), avec Adélaïde
Bouchelet de La Fosse, née le 27 mai 1825,
Cambrai (Nord), décédée le 2 mars 1890,
Paris (à l'âge de 64 ans), dont
o Jeanne de Hau de
Staplande, née le 30 mai 1849,
Bergues (59, Nord), décédée le 29 octobre 1910,
Hornoy-le-Bourg (80, Somme) - Tronchoy (à l'âge de 61 ans).
Mariée le 27 septembre 1871,
Bergues (59, Nord), avec Gaston du
Passage, né le 30 octobre 1844,
Abbeville (80, Somme), décédé le 21 février 1888,
Paris (75) - 7ème arrondissement (à l'âge de 43 ans).
o Marie Victoire
Eugénie de Hau de Staplande.
o Louise de Hau de
Staplande, née le 19 septembre 1850,
Paillencourt (Nord), décédée le 30 juillet 1932,
Domfront (Oise) (à l'âge de 81 ans).
Mariée le 31 mars 1875,
Bergues (59) (Saint Martin), avec Louis du Passage,
né le 12 juillet 1850,
Abbeville, décédé le 16 février 1922,
Abbeville (à l'âge de 71 ans), maire de Woirel (80).
·
Charles de Hau
de Staplande, né en mai 1824, décédé le 18 janvier 1846
(à l'âge de 21 ans).
·
Ludovic de Hau
de Staplande, né en juillet 1825, décédé en juillet 1849 (à l'âge
de 24 ans).
·
Gaston de Hau de
Staplande, né le 28 décembre 1828.
·
Eugénie de Hau
de Staplande, née le 11 septembre 1832,
décédée.
Mariée en 1855 avec Louis Bouchelet
de La Fosse, ...
·
Rosa de Hau de
Staplande, née le 8 janvier 1837,
Berghes-Saint-Winox (Nord), décédée le 23 juin 1860,
Arras (à l'âge de 23 ans).
Mariée le 20 juillet 1858,
Amiens, avec Edouard de
Brandt de Galametz, né en 1829, décédé le 9 octobre 1894,
château d'Ecoivres (à l'âge de 65 ans), ...
·
Marie Pauline de
Hau de Staplande.
Mariée le 18 février 1854
avec Françoise
Adolphe Siriez de Longeville, ...
Marié le 27 mai 1759
avec Charlotte Angèle
Geneviève Deschodt, née en 1732, Bailleul.