Quelques illustrations de la
lignée des
D’agent en assurance, Pierre
Verspieren se tourne vers le courtage. « Le courtier ne vend pas
directement de contrats d’assurances à ses clients. Il les aide à en acheter » explique
Pierre Dominique Verspieren, actuel président du conseil d’administration du
groupe éponyme. « Passant d’agents à courtiers, Pierre s’adapte au
marché. Après la première guerre mondiale, les petites fabriques sont devenues
de vraies industries. Les risques à couvrir ont complètement, changé. Ils se
sont diversifiés et surtout amplifiées. Ils doivent être portés par plusieurs
compagnies qui vont se partager les risques». Poursuivant cette
logique, Pierre s’ouvre au marché de la réassurance. Il crée pour cela, en
1920, le Lloyd Continental. Cette compagnie connaitra une croissance forte et
continue
Pierre Verspieren, marié à
Marie-Thérèse Dewavrin - un patronyme d’importance parmi les industriels
textiles roubaisiens – fonde une grande famille : dix enfants, dont cinq
garçons ! « C’est un phénomène courant parmi la bourgeoisie de
l’époque » commente Patrick Bayard, historien. « Ce sont de
fervents catholiques. D’où cette grande fécondité des couples, le choix d’un
enseignement privé pour les enfants et la fréquence des vocations religieuses
pour certains d’entre eux. Ainsi Bernard, un des fils de Pierre, sera
missionnaire en Afrique ».
Suivant l’exemple de leur père,
Pierre, Charles et Michel vont intégrer l’entreprise familiale. Par contre
Jean, ingénieur diplômé HEI, va se tourner vers l’industrie. En 1946, il
rachète la société Legrand, une fabrication de porcelaine, basée à Limoges, non
loin d’Argenton où la famille Verspieren possède une résidence. En 1949, son
usine est en partie détruite par un incendie, un comble pour une famille
spécialisée dans la gestion de ce type de risque ! Seul subsiste un
atelier de production d’isolateurs en porcelaine.
Une opportunité que saisit Jean
Verspieren pour réorienter son activité. Il va alors s’associer avec son beau
frère, Edouard Decoster. Ensemble ils vont bâtir le groupe Legrand, qui
deviendra plus tard, le leader mondial de l’équipement électrique. Trois
Decoster et six Verspieren vont siéger au conseil d’administration jusqu’en
2001. Ils vont en perdre le contrôle après leur tentative de rapprochement avec
Schneider. Sous la pression de la Commission européenne, cette opération est un
échec. Le groupe est alors repris par Wendel Investissement et Kohlberg Kravis
Roberts.
A Roubaix, durant toute cette période,
les autres Verspieren s’affairent, non sans difficultés. Dès les années
soixante, la crise s’abat sur l’industrie textile, qui à cette époque,
constitue 70% de la clientèle de la compagnie d’assurances. Une restructuration
va s’imposer. Elle est conduite par trois Verspieren de la 4e
génération : Pierre-Dominique, Charles-Henri et Michel. Le Lloyd
Continental, qui s’était ouverte au marché de la complémentaire santé, est
séparé de la maison mère, et finit par être cédée au groupe Swiss Life en 1999.
« Nous avons du une nouvelle fois nous adapter aux transformations du
marché et innover » commente Charles-Henri Verspieren. « L’essentiel
de notre clientèle est passée du textile à la VPC et à la grande distribution.
Elle s’est concentrée. Certains ont intégré des groupes basés à Paris. Et la
plupart se sont ouverts au marché mondial. Nous les avons suivies ». Tout
en maintenant « par culture et conviction familiale » leur
siège social à Roubaix, les Verspieren déploient leurs activités. Ils ouvrent
un premier bureau à Paris en 1975, puis s’implantent, en Belgique, Espagne, au
Portugal. Ils multiplient les croissances externes : acquisition des
cabinets Labalette, Dupont Fauville, de l’AFCM, d’Air Azur, du SAAM, CA2I ou de
Solly Azar. Ils engrangent alors des
savoirs faire, souvent en position de leader, dans les marchés du risque
automobile, de l’immobilier, des associations et collectivités locales, ou
encore de l’assurance des personnels navigants. En 1999, le groupe Verspieren
fonde Assurex Global, le 1e réseau mondial de courtiers
indépendants. Entre temps, Michel Verspieren a quitté le monde des
assurances pour se consacrer à celui de l’hôtellerie. Avec Jean Claude Kindt,
il a créé la SLIH, société leader, au nord de Paris, dans l’hôtellerie de
prestige. De leur cotés, Pierre-Antony et Maxence, fils de Pierre-Dominique,
ont rejoint l’entreprise familiale. A 120 ans passés, le cabinet Verspieren
demeure familial et indépendant. En 2008, 350 des 1475 salariés du groupe
s’installeront dans leur nouveau siège social, actuellement en construction à
Wasquehal, à cinq kilomètres de la rue Dammartin. 4e courtier
français et 1e indépendant. Classé derrière Gras Savoye, MMC France
et Aon France par le magazine L’Argus de l’assurance en juin dernier,
Verspieren affiche un chiffre d’affaires de 228 millions d’euros en 2006,
réalisé à 79% par les assurances de biens et 21% par les assurances de
personnes. « Nous avons triplé de taille en dix ans » se félicite
Pierre-Dominique Verspieren, président du conseil d’administration. Cette
croissance s’est maintenue en 2007 avec l’acquisition de Durbesson Ile de
France, un spécialiste de l’assurance dans le transport public de marchandises
et de voyageurs. Hors croissance externe, Verspieren a dernièrement engrangé
les contrats de responsabilité civile et assurances dommages du tunnel du Mont
Blanc, du tunnel du Fréjus et les contrats auto des véhicules de la SNCF,
Suez-Lyonnaise et de La Poste (soit 96000 véhicules). » Francis Dudzinski.
© 2007. L'Eco du Nord.
Les 10 familles qui tiennent Lille Isabelle Hennebelle - publié le 01/06/2010, http://lexpansion.lexpress.fr
Alfred Verspieren a créé en 1880 un petit cabinet d'assurances, devenu le
premier courtier d'assurance indépendant en France. Avec ses bureaux meublés
dans un style ultracontemporain, le siège social de Verspieren, à Wasquehal,
n'a rien à voir avec le petit cabinet d'assurances créé rue Dammartin, à
Roubaix, en 1880, par Alfred Verspieren. Dirigée par Pierre-Anthony Verspieren,
40 ans, président du directoire, et par Maxence Verspieren, 37 ans, directeur
administratif et financier, représentants de la cinquième génération, la société
est le premier courtier d'assurances indépendant en France. Elle emploie 1 600
personnes pour un chiffre d'affaires de 255,3 millions d'euros. Historiquement
assureurs d'entreprises industrielles et de services de toutes tailles,
"nous développons un portefeuille de spécialités, avec des départements
dédiés aux énergies renouvelables, aux risques politiques, aux constructeurs de
maisons individuelles, aux grands ensembles immobiliers, aux collectivités, aux
entreprises internationales...", expliquent Pierre Dominique et
Charles-Henri Verspieren, actuels président et vice-président du conseil de
surveillance, qui ont transmis les clefs de l'entreprise, en 2007, à la jeune
génération. Verspieren apporte un service à ses clients internationaux, via ses
filiales en Espagne et au Portugal et son réseau Assurex Global, soit 20 000
professionnels dans 90 pays.
Historique
De la création d'un
cabinet à Roubaix en 1880 à un développement national puis international,
Verspieren inscrit plus de 125 ans d'expansion dans le courtage d'assurances.
Quelques années clés
1880
Alfred Verspieren crée
un premier cabinet d'assurances à Roubaix.
1975
Ouverture du premier
bureau parisien.
1982
Acquisition du cabinet
Labalette, leader sur le marché des risques automobiles aggravés.
1983
Création du bureau
SPRL Verspieren en Belgique et de Crefac, aujourd'hui Verspieren Credit
Management (courtage d'assurance crédit).
1984
Création de SAFIR,
cabinet spécialisé en réassurance, gestion de captives et couverture de risques
industriels.
Ouverture du premier
bureau en Espagne, Verspieren Iberica.
1989
Rachats de
Dupont-Fauville (risques d'entreprise, construction, assurances de groupements)
et du SAAM (assurance des personnels navigants) : Verspieren est le 4e courtier
français.
1994
Acquisition de l'AFCM,
spécialiste de la construction et de l'immobilier.
Rachats de SACA,
courtier captif de BP France, et de GARENT.
1996
CCAT, courtier
spécialisé dans l'assurance des sociétés immobilières du domaine social,
rejoint Verspieren.
1997
Acquisition des
Assurances Deleplanque à Lille.
1998
Rachat du courtier
portugais Mediator.
1999
Acquisition d'Asseurop
en Belgique.
Création du réseau
Assurex Global, premier réseau mondial de courtiers indépendants, dont
Verspieren est membre fondateur.
2000
Rachat d'Alkora,
courtier espagnol.
Entrée dans le Groupe
de Solly Azar, courtier grossiste, et de sa filiale Qualiteam (plateau de
gestion pour compte de tiers).
Rachats des cabinets
SLA à Limoges, de Montmirail et SMCA à Marseille.
2001
Acquisition d'Air
Assur, courtier spécialiste de l'aviation légère et de 50 % de CCC à Rennes.
Participation
majoritaire dans Desviris à Lyon (devenu Verspieren Rhône-Alpes).
Création de Platus,
avec le Crédit Lyonnais (courtage d'assurance crédit à l'international et
risques politiques).
2002
Création de Cirano à
Amiens : services aux professionnels de l'automobile.
2003
Participation à la
création de Public Gouvernance, spécialiste de l'anticipation des risques et de
la gestion de crise des collectivités locales.
2004
Rachats d'IPAC 64 et
de GSA 34, courtiers grossistes parisiens spécialistes du risque automobile
aggravé.
2005
Acquisition du
courtier CA2I, spécialisé dans le secteur de la construction.
2006
Lancement de l'entité
Verspieren Cap Invest, structure dédiée aux investissements financiers.
2007
Solly Azar devient
groupe Solly Azar.
Acquisition du
courtier grossiste spécialisé dans l'assurance transport Durbesson
Ile-de-France
Verspieren adopte le
statut de société anonyme à directoire et conseil de surveillance.
2008
Installation du siège
social de Verspieren à Wasquehal.
2009
Installation de
l'établissement de Neuilly-sur-Seine à Saint-Denis.
2010
Acquisition du cabinet
de courtage ACE, à hauteur de 65 % du capital, spécialisé dans les risques
industriels, commerciaux ou professionnels et noatmment la construction.
2011
Création de la filiale
Verspieren Italie.
Rachat du cabinet
Branchet, courtier spécialisé dans le risque médical.
Acquisition de
Collecteam, courtier spécialisé dans la protection sociale complémentaire.
2012
Ouverture d'un bureau
à Toulouse.
Sortie du réseau
Assurex Global et création du réseau Verspieren International.
Le courtage d'assurance offre des services qui reposent pour grande partie sur les compétences de ses intervenants. Verspieren a donc bâti sa stratégie sur des valeurs dans lesquelles les Ressources Humaines occupent une place prépondérante. « Quelle que soit leur taille, les entreprises sont confrontées à des risques multiples dont les conséquences ne sont pas toujours prévisibles. Notre groupe comporte 1600 personnes qui interviennent dans une organisation relativement décentralisée, offrant à chacun la possibilité de mettre en pratique son expertise dans une structure conforme à son profil. Verspieren est un courtier en assurance, à la fois, généraliste et multi spécialiste. Son approche client consiste à appréhender précisément la problématique de risques de celui-ci, en mettant en place les solutions de couverture les mieux appropriées, et à lui offrir des prestations de qualité. C'est pour ces raisons que Verspieren offre un éventail d'emplois qui permet d'intervenir dans des environnements métiers très variés. Les compétences de nos collaborateurs doivent donc se distinguer en termes de technicité, relationnel, écoute, innovation, goût du travail en équipe et ouverture culturelle. La richesse de nos ressources humaines résulte de la complémentarité des leurs profils et d'une certaine stabilité alliée à un renouvellement régulier des effectifs. Afin d'être en phase avec cette réalité sociologique, la politique sociale de Verspieren vit et évolue en vertu d'un précepte dominant : la motivation. Celle-ci se traduit par l'intérêt et le plaisir que chaque salarié peut trouver à appartenir à notre groupe et à y exprimer ses talents, ainsi que par le désir qu'un candidat peut avoir à le rejoindre. Elle se met en jeu à travers les outils et les processus que sont le statut collectif, la communication interne, la formation, la gestion des projets professionnels et le recrutement. La Direction des Ressources Humaines contribue à entretenir et développer ce qui caractérise et définit Verspieren : une entreprise performante, de renom, aux valeurs fortes, où la dimension humaine est le premier vecteur de réussite. »
Le mercredi 15 février 2012, le Roi d'Espagne Juan Carlos 1er a reçu au
palais de la Zarzuela, à Madrid, deux représentants du groupe Verspieren,
Pierre Dominique Verspieren, président du conseil de surveillance et Dominique
Sizes, secrétaire général et membre du directoire. Ils étaient accompagnés de
José Antonio Segurado, président du conseil assesseur d'Alkora, la filiale
espagnole du Groupe, vice-président de la CEOE (Confédération espagnole des
entreprises) et président d'honneur de la CEIM (Confédération des entreprises
de Madrid), et des dirigeants d'Alkora, Juan Luis Harriero et Julio Dos Santos.
Lors de cette audience exclusive, le chef de l'Etat espagnol s'est félicité de
la présence, depuis 15 ans, du groupe Verspieren dans la péninsule Ibérique et
de ses différents investissements dans le pays, une marque de confiance qui
mérite d'être saluée dans un contexte de crise économique.
La lignée
né en 1883, décédé en 1942 (à l'âge de 59 ans), marié le 20 avril 1907 avec Geneviève Le Roux de Bretagne, née le 1er janvier 1887, Fouquières-lès-Béthune, Pas-de-Calais,
Quelques
personnalités de cette branche (sans liens généalogiques) et alliances:
décédée le 3 octobre 1927
(à l'âge de 40 ans). Elle est la descendante d’Auguste Joseph Le Roux de
Bretagne, Écuyer, docteur en droit, il eut une carrière rapide dans la
magistrature à Douai. Conseiller à la Cour en 1826, président de Chambre en
1841 et Premier Président en 1844, puis conseiller à la Cour de Cassation en
1850, membre de la Haute Cour de Justice. Nommé en 1855 Substitut au tribunal
de Béthune, puis toujours à Béthune, Procureur Impérial en 1860 et enfin en
1867, Président du Tribunal de Béthune. En 1880, il est démissionnaire à la
suite de l'application des décrets contre les congrégations religieuses du 29
Mars 1880. En 1883, il est mis à la retraite d'office. Venu à Paris voir son
frère, vicaire à la Madeleine en mai 1892, c'est là qu'il est terrassé par la
mort. Source :- Henry Le Roux de Bretagne - généalogie manuscrite de la famille
Le Roux de Bretagne, communiquée par Jacques Henrÿ d'Aulnois 16-03-2005 ;
base Roglo.
Leurs enfants :
Jacques Verspieren, né le 25 février 1908, décédé en 2002 (à
l'âge de 94 ans), agent d'assurance, marié avec Geneviève Damay, née en 1911 ;
marié avec Jannie de Goederen, décédée ; Odette Verspieren, née le 1er
octobre 1909, décédée le 28 mars 1925 (à l'âge de 15 ans) ; Geneviève
Verspieren, Religieuse ; Marie-Josèphe Verspieren, mariée avec Pierre
Alliot ; André Verspieren marié avec Alexandra Thiéry ; Henry
Verspieren marié avec Huguette Cavez. Anne-Marie Verspieren, née en 1923,
décédée le 4 janvier 2012 (à l'âge de 89 ans, mariée avec Gérard Delcroix, Monique Verspieren.
Quelques autres illustrations :
Jacques Verspieren, né le 25 février 1908, décédé
en 2002 (à l'âge de 94 ans), agent d'assurance, marié avec Geneviève Damay,
Patrick Verspieren, prêtre jésuite, Rédacteur à ETUDES,directeur du Comité de Bioéthique à l'Institut médical de
Sèvres.
2004 La tentation de l'euthanasie. Repères
éthiques et expériences soignantes , en collab. Marie-Sylvie Richard, Jacques
Ricot, Desclée de Brouwer, Paris, 294 p. 2002 Présence
de l'Eglise aux débats bioéthiques, en collaboration avec Michel Fédou,
Marie-Sylvie Richard, Bernard Matray, Mediasèvres n°115, Paris, 107 p. 1999 Face à celui qui meurt : euthanasie, acharnement
thérapeutique, accompagnement, Desclée De Brouwer, Paris, 2ème édition, (1ère
édition en 1984), 206p. 1991 États
végétatifs chroniques. Répercussions humaines, aspects médicaux, juridiques et
éthiques, sous la direction de François Tasseau, Marie-Hélène Boucand,
Jean-René Le Gall, Patrick Verspieren, éditions Ecole nationale de la Santé
Publique, Rennes 1988 Essor de la génétique et dignité humaine,
Conseil permanent des évêques de France, Introduction par Mgr Louis-Marie
Billé, Présentation par Patrick Verspieren, Bayard, Centurion et Cerf, Paris,
83 p. 1987 Le soin des malades en
fin de vie : aspects éthiques, Centre Sèvres, Paris, 126 p. 1987 biologie,
médecine et éthique, textes du magistère catholique, réunis et présentés par
Patrick Verspieren, Le Centurion, Paris-X, 500 p.
Eric Verspieren, marié
avec Marie-Caroline Amyot du Mesnil Gaillard,
descendante d’ Henri Auguste Amyot du Mesnil Gaillard. Il fut reçu à l'école militaire de
Fontainebleau le 19 janvier 1807. Il fit neuf campagnes sous l'Empereur
Napoléon Ier et fut fait prisonnier par les Anglais à la bataille des
Araspiles, en Espagne. Il fut blessé à la bataille de Fleurus en 1815 ;chevalier
de Saint-Louis, chevalier de la Légion d'honneur
Branche
puinée : Pierre Verspieren
né le 24 juin 1888,
Roubaix (59, Nord), décédé le 13 septembre 1956,
Velles (36, Indre) (à l'âge de 68 ans). Marié le 3 juin 1910,
Tourcoing (59, Nord), avec Marie-Thérèse
Dewavrin, née le 27 juin 1889,
Tourcoing (59, Nord), décédée le 21 janvier 1965,
Croix (59, Nord) (à l'âge de 75 ans),
petite fille de Anselme Dewavrin
1834-1896 et Henriette
Hermance Joseph Herbaux 1843-1904
leurs enfants :
Pierre
Verspieren, né le 1er mai 1911, Roubaix (59, Nord),
décédé en 1992
(à l'âge de 81 ans), marié le 23 avril 1934,
Wasquehal (59, Nord), avec Amicie
Caulliez, née le 11 mai 1914, Tourcoing (Nord),
décédée le 12 janvier 1998,
Croix (Nord) (à l'âge de 83 ans) ; Charles
Verspieren, né le 7 septembre
1912, Roubaix (59, Nord), décédé le 5 novembre
2006 (à l'âge de 94 ans) marié
le 11 février 1935, Armentières (59, Nord), avec
Thérèse Dufour, née en 1915,
décédée le 1er mai 2012, Croix (59),
inhumée le 7 mai 2012, cimetière de Croix
(59) (à l'âge de 97 ans) ;
Marie-Thérèse Verspieren, née en 1914,
décédée
le 8 avril 1998, Croix (59, Nord) (à l'âge de 84 ans),
mariée le 17 juillet
1933, Croix (59, Nord), avec François Tiberghien, né le 24 janvier 1909,
Tourcoing (59, Nord), décédé le 8 juin 1972, Wasquehal (59, Nord) (à l'âge de
63 ans) ; Jean Verspieren,
ingénieur HEI, fondateur du groupe Legrand, marié avec Denise Dufour ; Marguerite
Verspieren mariée avec Maurice Derville, décédé ; Lucette Verspieren, mariée
avec Edouard Decoster, né en 1919, repreneur en 1944 avec son beau-frère Jean
Verspieren d'une affaire de porcelaine à Limoges Legrand, devenue leader de
l'appareillage électrique ; Michel Verspieren, né en 1923, décédé le 23
mars 2003 (à l'âge de 80 ans), marié avec Bernadette Coisne, née en 1927,
décédée en 2002 (à l'âge de 75 ans).
Bernard Verspieren, né le 6 octobre 1924, Roubaix (59, Nord), décédé le 24
octobre 2003, Colombes (92, Hauts-de-Seine), inhumé le 29 octobre 2003, Roubaix
(59, Nord) (à l'âge de 79 ans), missionnaire d'Afrique ; Françoise
Verspieren, née à Wissant (62), mariée en 1949 avec Dominique d'Halluin, né le
18 octobre 1925, Saint-Etienne (Loire), Colette Verspieren, mariée avec Ignace Flipo,
né en 1926, décédé en 1981 (à l'âge de 55 ans).
Quelques autres illustrations :
Les Pierre
Verspieren, né le 1er mai 1911,
Roubaix (59, Nord), décédé en 1992 (à l'âge de 81 ans)., marié le 23 avril 1934,
Wasquehal (59, Nord), avec Amicie Caulliez,
née le 11 mai 1914,
Tourcoing (Nord), décédée le 12 janvier 1998,
Croix (Nord) (à l'âge de 83 ans). Dont
Pierre-Dominique, Marie-France, Amicie,
Raphaël, Hubert, Odile, Claire
Ses fils sont assureurs : Pierre-Dominique
Verspieren, président du Conseil
d'Administration du groupe Verspieren. marié Roubaix (59,
Nord), avec Sylvie
Tiberghien, « Sous sa
houlette, le cabinet d'assurance familial est devenu le n°4 des courtiers
français.
Lorsqu'il rejoint le Groupe Verspieren en 1961, l'activité courtage
représentait un chiffre d'affaires de 2m F (300k €uros) et un effectif de 50
personnes. En 2005, le chiffre d'affaires du cabinet était de 210m €uros pour
un effectif de 1450 personnes. (Source : L'Argus de l'assurance
23/6/2006) » Roglo
Pierre-Anthony
Verspieren, assureur : 1995 : Diplôme de
l'Institut Supérieur du Commerce (ISC) de Paris. 1996 : Formation au Lloyd
Continental. 1996-99 : Responsable de la gestion de programmes d'assurance import
au sein du département international de Verspieren. 1999-2000 : Responsable de
la constitution du réseau Assurex du groupe Verspieren à Minneapolis, puis à
New York. 2000-07 : Responsable de la direction des services aux entreprises
(DSE) du cabinet Verspieren. Depuis 2007 : Président du directoire du groupe
Verspieren. Depuis 2011 : Président du directoire de Verspieren Italie, filiale
du groupe Verspieren. Pierre-Anthony Verspieren appartient à la cinquième
génération de la famille Verspieren, qui dirige le groupe éponyme spécialisé en
courtage d’assurances.
« Pierre-Dominique
et Charles-Henri Verspieren Fortune :
Rang : 224ème » http://www.challenges.fr
Marie-France
Verspieren, mariée avec Patrick Derville.
Raphaël
Verspieren, marié avec Caroll Dujardin,
divorcés ; marié avec Catherine Barré.
Hubert
Verspieren, né à Flers-lez-Lille (Nord), courtier
d'assurances, coprésident de la Société Lilloise d'Investissement Hôtelier, marié
avec Sabine Loridan,
née à Roubaix (Nord). Ses fils sont administrateurs de sociétés.
Amicie
Verspieren, née en 1941,
décédée, mariée avec Xavier Fenart,
né à Violaines (62, Pas-de-Calais). Sa fille Amicie Verspieren,
née à Rouen (76), mariée à Tourgéville
(14, Calvados), avec Pierre Regnouf de Vains,
descendant de Jacques Antoine Gabriel Regnouf,
seigneur de Vains, Gendarme de la garde du Roi, capitaine d'infanterie,
officier dans l'Armée des Princes, Chevalier de saint Louis ; petit fils
du Comte Pierre de Martimprey, mort pour la France fusillé pour avoir caché des
résistants dans le village. Source:
Hervé Balestrieri (Christophe Bernard-Bruls : Forum d'après Henri
Bernard-Bruls, généalogie familiale, 2006 & site Web personnel de A.
Thuillette : http://barisis.free.fr/ )
10.01.2010 ; A. Thuillette dit : fusillé le 19 juin 1944. Fusillé
par les Allemands en tant que maire otage d’Aisonville-Bernoville (02) ; Chevalier
de la Légion d'honneur.
Marié avec Catherine Barré. Pierre de Martimprey est descendant de Nicolas
Hubert Lenglart, seigneur du Ponchel Englier, famille étudié dans nos ouvrages.
Hubert Verspieren, né à
Flers-lez-Lille (Nord), courtier d'assurances, coprésident de la Société
Lilloise d'Investissement Hôtelier, marié avec Sabine Loridan, née à, Roubaix (Nord),
En 2004, Guillaume VERSPIEREN acquiert 34% du capital du groupe
GEOS, leader européen du management des risques, via son holding personnel
Continental Risk, et devient membre de son Comité Exécutif en charge des
Partenariats & Acquisitions. Il impulse la croissance de GEOS à
l’international entre 2004 et 2008.Aujourd’hui, il devient l’actionnaire
majoritaire et le nouveau Président du Groupe GEOS.
Groupe international, GEOS est le leader en Europe continentale de la
prévention et du management des risques.
Notre métier : protéger et soutenir le
développement de nos clients (particuliers, entreprises et institutions), grâce
à une gamme complète de solutions sur mesure dans les domaines de la
sureté-sécurité (biens, personnes, activités, information), de l'intelligence
économique et de l'assistance technique, en zone à risques. Les solutions
proposées par GEOS concilient audit, formation, veille risques pays, conseil,
assistance, accompagnement, maintien en conditions opérationnelles, déploiement
& opération-maintenance de systèmes, logistique et gestion de crise. Nous
aidons nos clients à saisir leurs opportunités d’affaires, à appréhender au
mieux leurs problématiques des risques internationaux (politiques,
sécuritaires, terroristes…), des risques liés au business (hyperconcurrence,
criminalité économique, fraudes, contrefaçons) et à développer leurs projets
techniques en zones sensibles. Les chiffres :
480 collaborateurs, 37
millions d'euros en 2011, Des
interventions dans plus de 80 pays, 19 représentations à l’international
(Royaume-Uni, Belgique, Irak, Algérie, Nigéria, Mexique, Venezuela, Colombie,
Brésil,…), 250 clients fidélisés tous
secteurs d’activités confondus.
Odile Verspieren,
mariée avec Christian
Mariolle d'Ardenne de Tizac, divorcés. Claire
Verspieren, mariée avec Arnauld
Ducoulombier.
Jean Verspieren, ingénieur HEI, fondateur du groupe Legrand, marié avec Denise Dufour.
En 1946, il rachète la société Legrand, une fabrique de porcelaine basée à
Limoges, non loin d'Argenton où la famille Verspieren possède une résidence. En
1949, son usine est en partie détruite par un incendie ; seul subsiste un
atelier d'isolateurs en porcelaine. Pour conduire son entreprise, Jean va
s'associer avec son beau-frère Edouard
Decoster. Ensemble ils vont bâtir le groupe Legrand, qui deviendra,
des années plus tard, le leader mondial de l'équipement électrique. Trois
Decoster et six Verspieren vont siéger au conseil d'administration jusqu'en
2001. Ils vont en perdre le contrôle après leur tentative de rapprochement avec
Schneider. sous la pression de la Commission Européenne, cette opération est un
échec. Le groupe est alors repris par Wendel ; investissement et Kohlberg
Kravis Roberts. (Source : La Tribune 23/07/2007)
Son fils Jean-Pierre Verspieren, président de la société Habilim qui œuvre pour répondre aux attentes
et aux besoins en matière de logement social, fondée en 1952, à l'initiative des industriels
de Limoges, dans la foulée de la mise en place du 1% patronal. Nous sommes une
entreprise sociale pour l'habitat. Notre mission est de développer un parc de
logements locatifs pour les salariés et les personnes ayant des revenus
modestes. Par une gestion rigoureuse et une politique de développement
maîtrisée, Habilim apporte des réponses adaptées au plus grand nombre en
matière de logement social et de services liés au logement par des projets
novateurs, en assurant une bonne qualité environnementale. Habilim met son
expérience et son savoir-faire au service des entreprises et des collectivités
locales sous l'orchestration et le professionnalisme de Monsieur Blety, son
directeur.
Marguerite
Verspieren, mariée avec Maurice Derville,
décédé, fils de Maurice Derville 1880 et
Louise Marie Prouvost 1884, branche ainée des Henri Prouvost.
Lucette Verspieren, mariée avec Edouard Decoster,
repreneur en 1944 avec son beau-frère Jean Verspieren
d'une affaire de porcelaine à Limoges Legrand, devenue leader de
l'appareillage électrique.
« L’origine de
l’entreprise remonte à l'année 1860 avec l’installation d’un atelier de
porcelaine de Limoges route de Lyon à Limoges (France). En 1919, La société
s'associe avec Jean Mondot, artisan de Limoges qui avait monté à Exideuil une
petite usine d'interrupteurs utilisant du buis et de la porcelaine. En 1944,
l'affaire est reprise par Edouard Decoster et son beau-frère Jean Verspieren,
qui diversifient progressivement la fabrication dans le matériel électrique. À
cette époque, la porcelaine est le meilleur isolant connu avant l'apparition du
plastique. En 1949, après l'incendie de l'usine, la décision de se concentrer
sur la seule production d’appareillage électrique d’installation est prise.
Très rapidement, l'entreprise élargit sa gamme de produits avec de la
protection (coupe-circuits, disjoncteurs...), du cheminement de câbles
(goulotte, moulure électrique), de l'éclairage de sécurité... Depuis, Legrand
n'a cessé de croître grâce à plus de 120 acquisitions ciblées partout dans le
monde pour devenir un des leaders mondiaux de l'appareillage électrique avec
plus de 150 000 références de produits, des implantations dans 70 pays et des
ventes dans 180 pays en 2006. » Wikipedia
Les Verspieren et les Decoster par Christian
David - publié le 07/06/2001 http://lexpansion.lexpress.fr
En fusionnant avec Schneider Electric, le Groupe Legrand perd son indépendance. Logique industrielle oblige. L'annonce a fait du bruit dans les rues de Limoges, le 15 janvier dernier, même s'il ne s'agissait pas du fracas de vaisselle cassée : Legrand, encore largement contrôlé par les actionnaires familiaux, annonçait sa fusion avec Schneider. A deux, ils se préparaient à composer un nouveau géant de l'équipement électrique pesant quelque 80 milliards de francs en Bourse et dont les familles des fondateurs de Legrand détiendraient 12,1 %. Depuis, la cour d'appel de Paris a annulé le feu vert donné par le Conseil des marchés financiers, mais la décision de justice ne change rien aux intentions des deux industriels. En particulier chez Legrand, où l'on remet pourtant en cause une valeur fondatrice : l'indépendance. Quand, en juillet 2000, le groupe reprend l'américain Wiremold pour 6 milliards de francs, faisant grimper son endettement, il met en avant sa capacité à générer du cash et à poursuivre " une politique de développement en demeurant indépendant ". Fin octobre, le ton change. Pour faciliter des opérations de croissance externe, explique à La Vie financière François Grappotte, PDG de Legrand, une dilution de la participation des familles fondatrices est envisageable. Mi-janvier, c'est la publication des bans. Comment expliquer ce revirement des actionnaires familiaux (40,1 % du capital, 55,2 % des droits de vote) ? Fin 2000, le cours de Legrand n'est pas au plus haut, autour de 200 euros, mais la tendance est haussière. De toute façon, les actionnaires familiaux - une quarantaine de personnes - restent très proches du groupe, une entreprise de porcelaine reprise en 1944 par deux beaux-frères originaires du nord de la France et repliés à Limoges : Jean Verspieren et Edouard Decoster. " L'accession d'un homme qui n'était pas issu du milieu familial n'a pas diminué l'intérêt porté par les familles à l'entreprise ", note sobrement Grappotte. Cet énarque de 65 ans, président de Legrand depuis 1988, est entouré de trois Decoster et de six Verspieren au sein d'un conseil d'administration qui a toujours privilégié une logique industrielle de développement. L'explication tient sans doute à l'évolution de l'environnement concurrentiel. En dépit de son pacte d'actionnaires, Legrand a toujours été l'objet de rumeurs d'OPA. L'an dernier, on évoquait à nouveau l'hypothèse d'une offensive d'ABB, le groupe helvético-suédois. Et le départ de Patrick Puy, 44 ans, dauphin désigné, pour la présidence de Moulinex, en décembre 2000, a fragilisé Legrand. Les assiduités alors renouvelées de Schneider ont pris des allures d'opportunité pour bâtir un grand groupe dans un contexte amical. En substance, c'est un bon projet pour les actionnaires et pour le personnel. Autant perdre son indépendance volontairement.
Atypique,
rebelle, sorcier…. Le fondateur de la Case de
l’amitié : Le père Bernard
Verspieren a collectionné beaucoup de qualificatifs. Certains
lui ont valu de
sérieux ennuis, au point d’en bouleverser sa vie de
Père Blanc. Peu lui
importait, car comme il aimait à le dire : ses quatre vies
, partagées
entre la France et l’Afrique, l’ont amené
« vers l’autre côté du
fleuve »,
là où on peut faire le point avec Dieu, sans
intermédiaires. Disparu en 2003,
son parcours est exceptionnel : Originaire d’une famille
d’industriels du
Nord de la France, il arrive en Afrique en 1947, comme missionnaire. Il
bâtit
alors des églises, convertit et baptise des fidèles.
En
1962, le Pape Jean XXIII prône l’évangélisation accompagnée par le
développement ; ceci lui donne l’occasion d’exprimer une autre de ses
vocations : l’agronomie. Il crée alors des écoles d’agriculture.1967, la
sécheresse frappe le Sahel. Les Maliens fuient devant le désert qui avance.
Pour enrayer l’exode il lance une campagne de forage sans précédent, qu’il
équipe de pompes solaires. Parmi les premiers projets au monde de pompes
solaires photovoltaïque. Près de trois cent villages sont sauvés par cette eau
souterraine. Le projet devient un des plus important au monde en matière
d’énergie solaire. Des visiteurs viennent du monde entier. Le Père Verspieren
en profite pour tisser un réseau de mécènes en maintenant un sacro-saint
principe : la participation obligatoire des villages au financement et la
à la réalisation des installations. C’est pour lui la seule condition pour
réussir un projet de développement durable. 1997, le vent de la démocratie
souffle au Mali, mais les installations ont du mal à résister aux pillards. Le
Père se lance alors dans une autre aventure : le Biomasse. Une citerne en
béton inviolable, du compost, de la bouse de vache et voilà du méthane
pour faire tourner les pompes d’irrigation, les moteurs et les gazinières.
Teriya Bugu, la case de l’amitié est un tour de force, né de la rencontre avec
un pêcheur Somono : Lamine Samaké et de Bernard Verspieren lors d’une
partie de chasse. En 25 ans les deux hommes devenus amis édifient une oasis en
pleine zone sahélienne, avec des vergers, des poules, des plantations
d’eucalyptus. Autour de cette tâche verte, la vie a repris et les villages
voisins se sont rapprochés. L’exode est un mauvais souvenir et ceux qui étaient
partis sont même revenus. Cela a toujours été la fierté de Bernard Verspieren.
Branche
cadette : Alfred Verspieren,
né le 20 juillet 1893, Roubaix, décédé le 20 décembre 1955, Roubaix (à l'âge de 62 ans), marié le 27 septembre 1919, Roubaix (59), avec Marie-Louise Toulemonde, née le 12 juillet 1895, Roubaix (Nord), décédée le 31 octobre 1978, La Madeleine (Nord) (à l’âge de 83 ans).
Quelques
personnalités de cette branche (sans liens généalogiques) et alliances:
Leurs enfants :
Jacqueline Verspieren, mariée avec Robert Lassurguère, né le 23 février
1913, Limoges (87), décédé en 1973 (à l'âge de 60 ans), capitaine d'infanterie
coloniale
commissaire d'avaries ; Alfred Verspieren, marié avec Thérèse
Fauchille ; Philippe Verspieren, né en 1922, décédé en 1988 (à l'âge de 66
ans), marié avec Christiane Dalbos.
:cette famille a tenu un rang particulièrement distingué en Périgord, Jugement de maintenue de noblesse en 1667 et 1729. Elle a fourni des avocats, des conseillers secrétaires du roi, un capitaine de vaisseau, major en 1778, grand réformateur de la tactique navale, un capitaine au régiment de Picardie mort en 1791, deux maires de Périgueux, un député de la Dordogne en 1816 : Armes : d'azur à trois rocs d'échiquiers d'or. Roger Verspieren, marié avec Gabrielle Peseux. |