Sources


C'est le 23 avril 1823 que naît Anatole de Ségur, troisième enfant d'Eugène et Sophie. Le reste de la famille Rostopchine  aura attendu cette naissance pour retourner en Russie (mai 1823). La Comtesse de Ségur est donc désormais vraiment française,  isolée rue de Varenne. 

Elle souffre encore de la mort prématurée de Renaud et le jeune Anatole (" Totol ") souffre de la tristesse de sa mère. 

Anatole est le deuxième enfant, mais c'est lui qui deviendra héritier du titre (Marquis de Ségur) et de la pairie quand Gaston rentrera recevra la tonsure en 1844 alors qu'Anatole a 21 ans. Sa mère, peut-être pour ne pas souffrir de

son éloignement essaie d'oublier la Russie. Elle ne parlera jamais russe à ses enfants, mais Anatole cultivera sa " russité ". Pourtant il n'ira jamais en Russie, Gaston étant le seul ayant fait le voyage. Il a peut-être hérité - 

des Ségur et de sa mère - un goût et un réel talent pour l'écriture. Peut-être même aurait-il aidé sa mère dans la rédaction de certaines de ses œuvres.  Il publiera un certain nombre d'ouvrages.

Voulez-vous lire une de ces fables , celle dont le titre "Jean qui pleure et Jean qui rit" a inspiré sa mère pour le titre d'un de ses récits? En 1851 il épouse Cécile Cuvelier et devient la même année 

préfet de la Haute-Marne. Il entre au Conseil d'Etat en 1852.En 1865 il devient maire d'Aube et le restera jusqu'à la vente des Nouettes en 1872.Ils auront trois enfants :

Pierre (1853), Henri (1856) et Marie-Thérèse (1859). Un poème d'Anatole "Le Ciel a Visité la Terre" a été mis en musique par Charles Gounod. Voulez vous le lire ?

Il est aussi l'auteur des "Mémoires d'un Troupier, ouvrage publié en 1858 sans nom d'auteur et qui a connu plusieurs rééditions..

C'est le livre que Moutier lit avec délectation dans l'Auberge de l'Ange Gardien mais qui trouve un fort écho dans Le Mauvais Génie.

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"Eugène de Ségur est le fils aîné Octave de Ségur (1779-1818) et de Marie-Félicité-Henriette d'Aguesseau (1777-1847), le petit-fils de Louis-Philippe, marquis de Ségur, l'arrière-petit-fils de Philippe Henri de Ségur, ministre de la Guerre de Louis XVI (celui-ci étant le petit-fils du Régent par sa mère, Angélique de Froissy). Issu d'une famille de la noblesse d'épée, les Ségur ont perdu de leur prestige suite à la longue disparition et au suicide de son père un an avant qu'il se marie, événements relatés assez longuement dans les Mémoires de de la Comtesse de Ségur. En 1819, il épouse Sophie Rostopchine, issue d'une grande famille de l'aristocratie russe, et fille de Fiodor Rostoptchine, gouverneur de Moscou en 1812. De leur mariage, par ailleurs pas très heureux, naîtront huit enfants. 
Le 9 septembre 1830, Eugène de Ségur est admis à siéger à la Chambre des pairs, en remplacement de son grand-père décédé.  Il prend place dans la majorité conservatrice, soutient constamment le pouvoir de ses votes, et rentre dans la vie privée lors de la révolution de février 1848. Il est aussi maire d'Aube (Orne), poste où lui succède son fils Anatole, et président de la Compagnie du chemin de fer de Paris à Strasbourg, puis de la Compagnie des chemins de fer de l'Est. Par son intermédiaire, Louis Hachette obtient en 1853 la permission d'installer des librairies dans les gares, et entre en contact avec la comtesse de Ségur, dont les livres seront édités par la Librairie Hachette à partir de 1855. Surnommé le « Bel Eugène », ses multiples infidélités poussent sa femme à se réfugier dans son château des Nouettes, où elle se consacre à ses enfants et petit-enfants et à la littérature. Commandeur de la Légion d'honneur" Wikipedia.

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"Sophie Rostopchine, comtesse de Ségur, née Sofia Fiodorovna Rostoptchina (Софья Фёдоровна Ростопчина), est une femme de lettres française d'origine russe.  Elle est la fille du gouverneur de Moscou, Rostopchine, qui, en 1812, mit le feu à la ville pour faire reculer Napoléon.  Arrivée en France à l âge de dix-sept ans, elle épouse, trois ans plus tard, le comte de Ségur qui lui donnera huit enfants. Elle commence à écrire à l âge de cinquante-cinq ans, alors qu'elle est déjà grand-mère.
On raconte que la comtesse de Ségur a commencé à se consacrer à la littérature pour enfants quand elle a écrit les contes qu’elle racontait à ses petits-enfants et qu’elle les a regroupés pour former ce qui s’appelle aujourd’hui Les nouveaux contes de fées. Lors d’une réception, elle lut quelques passages à son ami Louis Veuillot. C’est ce dernier qui réussira à faire publier l’œuvre chez Hachette. D'autres historiens racontent que son mari aurait rencontré dans un train Louis Hachette qui cherchait alors de la littérature pour distraire les enfants. Eugène de Ségur, alors Président des Chemins de fer de l’Est, accorde à Louis Hachette le monopole de la vente dans les gares de livres pour enfants, lui parla alors des dons de sa femme et la présente à l’éditeur quelque temps plus tard. Celle-ci signe son premier contrat en octobre 1855 pour seulement 1 000 francs pour la nouvelle collection de la « Bibliothèque des Chemins de Fer », reliée en percaline bleu foncé, qui deviendra rose pour la comtesse, avec des ornementations couleur or. Le succès de ce premier ouvrage l’encourage à composer un ouvrage pour chacun de ses autres petits-enfants. Elle obtient son émancipation financière en obtenant que ses droits d'auteur lui soient directement reversés et discute plus fermement de ses droits d'auteur lorsque son mari lui coupe les fonds. En 1866, elle devient tertiaire franciscaine, sous le nom de sœur Marie-Françoise, mais continue à écrire. Son veuvage et l'effondrement consécutif des ventes de ses livres l’oblige à vendre Les Nouettes en 1872 et à se retirer à Paris, au 27, rue Casimir-Périer, à partir de 1873. Elle meurt à cette adresse à 75 ans, entourée de ses enfants et petits-enfants. Elle est inhumée à Pluneret (Morbihan)." Wikipedia

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Guillaume Simon Albert Cuvelier 1726 &1754 Isabelle Joseph Brame 1730

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Henri Cuvelier 1761-1845 &1797
Henriette Dathis 1766-1814

 

Josse Auguste Joseph Cuvelier 1758-1815 &1787
Marguerite Constance Eléonore Wartel 1757-1836

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Henri Cuvelier 1800-1861 &1825
Julie Bernard 1808-1881

 

Lucien Eugène Cuvelier 1791-1835 &1813
Marie Angélique Rose Cuvelier 1795-1863

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Cécile Cuvelier 1830-1885 &1851
Elevée dans l’actuel hôtel Virnot, 33 rue de Gand à Lille

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Anatole, marquis de Ségur 1823-1902

Segur Cuvelier

 

Sa soeur, Nathalie de Ségur, baronne de Malaret

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 très belle et très aimable personne, remplit pendant quelques années la charge de Dame du Palais, 
mais lorsque le baron de Malaret, Premier Secrétaire d’Ambassade fut nommé 
Ministre plénipotentiaire à Turin, l’Empereur pensa qu’il était nécessaire dans l’intérêt de la carrière de son mari, 
qu’elle allât tenir le salon de la Légation à Turin, 
et qu’elle ne pouvait plus, par conséquent, continuer son service auprès de l’Impératrice…
Elle quitta le service de l'Impératrice en 1860. Elle était fort belle personne, 
remarquable par le charme de sa taille que par celui de son visage. »
(extrait de « la maison de l’empereur » de Charles Adrien Conegliano)
A la chute de l'Empire, elle vécut très retirée au chateau de Malaret près de Toulouse.
En 1852 elle est nommée dame d'Honneur de l'impératrice Eugènie et c'est à ce titre qu'elle figurera 
dans le tableau de Winterhalter au Palais de Compiègne. 
Elle est debout, au fond, à droite, portant une robe jaune et tenant la robe de l'impératrice dont elle arrange les plis.

Dame d'honneur des cours françaises. 

 Winterhalter  

Winterhalter

 

Céline Cuvelier 1818-1898 épouse de Prosper Derode 1818-1892, 

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Parents de Madame Urbain Dominique Virnot

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Urbain Virnot DerodeLouise derode

Urbain-Virnot-Derode 

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                                                  Voici les Urbain Virnot réunis  en l’hôtel de la rue de Gand à Lille Les 10 et 11 septembre 2005.                                                                                                           


L’hôtel fut vendu à leurs cousins Urbain Virnot vers 1900 et est restée dans la famille.

Segur-Henri

marié le 2 juillet 1877 avec Thérèse Hély d'Oissel 1857-1935, dont Gaston 1878-1918

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Pierre-Marie, marquis de Ségur

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Membre de l'Académie française (n° 505, 4 février 1907)

Né le 13 février 1853 - Paris, 75

Décédé le 12 août 1916 – Poissy

marié le 2 juillet 1877 avec Thérèse Hély d'Oissel 1857-1935, dont Gaston 1878-1918

et ancien membre du Conseil d'État abandonna rapidement la carrière administrative pour se consacrer par goût aux lettres et à l'histoire. Il écrivit dans un style vivant et raffiné qui rappelait celui de son siècle de prédilection, le XVIIIe siècle, de nombreuses monographies consacrées à des figures plus ou moins célèbres de l'Ancien Régime. On compte notamment parmi ses ouvrages : Le Maréchal de Ségur, La Dernière des Condé, Le Maréchal de Luxembourg et le Prince d'Orange. Élu à l'Académie française le 14 février 1907 par 21 voix contre 8 à Jean Aicard, au fauteuil d Edmond Rousse, le marquis de Ségur appartenait à une famille chez qui l'Académie française était presque une tradition puisque deux Ségur, dont son oncle, le général Philippe de Ségur, avaient appartenu à la Compagnie. Le marquis de Ségur fut reçu par Albert Vandal, le 16 janvier 1908. Il reçut à son tour Eugène Brieux en 1910.- personne: EP (http://www.academie-francaise.fr/immortels/base/academiciens/fiche.asp?param=505)
- personne: EP (http://www.academie-francaise.fr/immortels/base/academiciens/fiche.asp?param=505)

En 1903, des anciens élèves -Félix Sangnier, Pierre de Ségur et Albert Marcilhacy- constituent une nouvelle société qui rachète Stanislas et, à la suite d'un accord avec le diocèse de Paris, M. l'abbé Pautonnier en prend la direction. Cent ans après sa création, l'établissement compte mille cinq cents élèves. A partir de 1920 M. l'Abbé Labourt renoue les liens avec l'université et l'Etat. Son successeur M. l'Abbé Beaussart, fait construire l'actuel bâtiment des classes préparatoires aux grandes écoles.

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l'hôtel de Pierre de Ségur, 45, avenue d'Iéna à Paris

Marie Thérèse de Ségur (1859-1933)

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Epouse en 1883, Albert Maloteau de Guerne,

Marie-Thérèse épousera le Comte de Guerne et deviendra une cantatrice renommée. Voici ce qu'en pense Marcel Proust:
" Il est singulier qu'une des deux ou trois grandes figures musicales devant lesquelles les véritables artistes s'inclinent entièrement appartiennent précisément à ce qu'on serait tenté d'appeler,
si l'on avait plus égard au hasard de la naissance qu'à la réalité du talent : "le monde des amateurs". Certes il y a longtemps temps que la Comtesse de GUERNE a reçu ses lettres de plus grande naturalisation 
artistique; et pour personne, pas plus pour les artistes que pour les gens du monde, elle n'est à aucun degré un amateur, mais une des deux ou trois plus grandes chanteuses vivantes. "
Marcel PROUST : Essais et articles - Paris, Gallimard, 1971 - P.503 à 506
Nous pouvons ajouter que son frère, Henri, musicien et musicologue éclairé sera son "fidèle et parfait" accompagnateur.
Si vous voulez en savoir plus sur la Comtesse de Guerne, vous pouvez consulter l'ouvrage du Dr Sylvia Kahan : la princesse de Polignac, Music's Modern Muse : 
A Life of Winnaretta Singer, Princesse de Polignac (University of Rochester Press, 2003).
la Comtesse de Guerne, née Ségur, figure souvent dans ce livre comme grande cantatrice.

Valentine Cuvelier 1839 &1859  le comte Georges d'Arjuzon 1834-1900,

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« Georges d'Arjuzon, naquit en 1834, A 18 ans, Georges d'arjuzon s'engage comme soldat au 28ème d'infanterie de Ligne, le 20.11.1852. Louis Napoléon Bonaparte est alors Empereur sous le nom de Napoléon III, depuis le 2.12.1851. 1855 : Georges d'Arjuzon embarque à Marseille, le 29.03, sur le paquebot à vapeur L'Osiris pour la Crimée et débarque à Constantinople le 9.04. Il est fait sous-lieutenant le 29.06. Toutefois, il revient en France dès Juillet, avant la chute de Sébastopaul qui n'aura lieu que le 8.09. Pourquoi ? ... Mystère. Le 30.04.1859, il quitte le service pour se marier avec Marie Valentine Cuvelier. Le mariage a lieu le 25.05. la dot de la jeune fille est de 300.000 f. Deux ans après, le 19.01.1861, il devient chambellan à la place de son père. Cette fonction lui rapporte 12.000 f. par an. Il occupera cette charge jusqu'à la chute de l'Empire. En 1863; Georges d'Arjuzon acquiert le château de Coulonges, près de Damville. En 1870, les Prussiens l'occuperont. Cédée en 1875, au sieur de Chatard, cette propriété sera, ... plus tard, achetée par le comte Maurice de Gouvion St-Cyr. Le petit-fils de celui-ci la vendra en 1975. Une des cloches de l'église porte le nom de georgette Berthe, en souvenir de Georges d'arjuzon, celui-ci en étant le parrain, en 1865. Mais revenons à notre histoire: Le 7.08.1867, Georges d'Arjuzon est chevalier de la Légion d'Honneur. Georges d'Arjuzon eut une vie très mondaine, alors que sa femme n'eut jamais de fonction à la cour et, d'ailleurs, n'aimait pas à y paraître. il mena aussi un train de vie supérieur à ses moyens, surtout sous la 3ème république. Si bien qu'il aura des dettes très importantes à son décès, et entamera très considérablement la fortune reçue de ses parents et même celle de sa femme. Georges d'Arjuzon fait partie du club Alpin Français. Fit-il pour autant des ascensions importantes ? Si oui, en tous cas, on n'en parle guère.Par décret du 31.12.1868, Georges d'Arjuzon est fait chef du 3ème bataillon de la garde nationale Mobile de l'Eure. Juillet 1870 : La guerre contre la Prusse éclate. Hélas, la France est loin d'être prête et l'armée manque de tout : armes, munitions, fourrages. Dès Août, le pays est envahi ... Le 1.09, Georges d'Arjuzon est nommé lieutenant-colonel à la tête du 39ème régiment provisoire d'Infanterie. Ici, nous allons laisser la parole à un mobile de l'Eure : Oscar Vallée : "Vers le 15.09, nous fûmes de nouveau passés en revue ; cette fois par le lieutenant-colonel d'Arjuzon, dont la belle prestance égalait l'incapacité" ; Georges d'Arjuzon méritait-il ce jugement sévère ... ? En 1871, son action fut critiquée. voici ce qu'il écrit, d'Algérie, à l'aide de camp du prince impérial, Clary, en Angleterre, près de Napoléon III, je cite : J'ai organisé la défense du dpt de l'Eure, puis, après avoir commandé pendant près de 3 mois un rgt et une bgde dans le dpt de l'Eure, et avoir conduit tous les jours des hommes devant l'ennemi, j'ai été tout à coup soupçonné et accusé par Gambetta, sans aucun motif, de complot politique. Il m'a attiré le plus grand désagrément. ce misérable Gambetta m'avait d'avance condamné à mort. le colonel De Bastard m'a sauvé la vie en me faisant envoyer en mission près du gouverneur général d'Algérie. Effectivement, depuis le 15.01, Georges d'Arjuzon est à la tête du rgt des mobiles de la Côte d'Or, alors en Algérie, et commande la lace de Milanah, à 100 km d'Alger. D'Arjuzon est attaché à l'Etat-Major du général Cérès, chargé de réprimer les rebelles. Il revient en france en avril et n'a plus aucune activité publique. En 1873, il traverse la Manche avec son père pour assister aux obsèques de Napoléon III. Six ans plus tard, il refera cette traversée pour une autre cérémonie funéraire : celle du Prince Impérial, tué par les Zoulous. Georges d'Arjuzon, à cette occasion, reprend son ancienne fonction de Chambellan et est chargé de la réception des ambassadeurs. Il meurt en 1900. »  Jean Yves, administrateur, Amis du patrimoine Napoléonien

Il est le fils de Félix d'Arjuzon,  Conseiller général de l’Eure, député de l’Eure (1852-1870), chambellan de Napoléon III (1853-1861), Officier de la Légion d'honneur, de Léopold de Belgique, de l’ordre royal de Wurtemberg et de Saint-Grégoire-le-Grand. D'une ancienne famille noble originaire des environs d'Arjuzanx, Félix  Jean François Thomas est le fils de Gabriel d'Arjuzon (1761-1851), premier chambellan de Louis Bonaparte, roi de Hollande, comte d'Empire, pair des Cent-Jours et de la Restauration, grand-officier de l'ordre de la Réunion, de celui de la Couronne de Hollande et du mérite civil de Bavière et officier de la Légion d'honneur.

Portrait of Count Felix d'Arjuzon (1800-74) 1841 (oil on canvas)

Portrait of Count Felix d'Arjuzon (1800-74) 1841 (oil on canvas), Flandrin, Hippolyte (1809-64) / Chateau de Compiegne, Oise, France / Giraudon / The Bridgeman Art Library

Grâce aux relations que son père continue à entretenir avec Louis Bonaparte et Hortense de Beauharnais, il devient très tôt l'ami de Louis-Napoléon. Gentilhomme de la Chambre du roi à la fin de la Restauration, il refuse de succéder à son père démissionnaire de la pairie peu après l'avènement de Louis-Philippe. Sous la monarchie de Juillet, il se contente d'exercer le mandat de conseiller général de l'Eure, département dans lequel il possède de vastes propriétés. Très riche (il est un gros actionnaire de la Banque de France), il vit de ses rentes. Partisan du prince-président, il devient le candidat officiel du gouvernement dans la troisième circonscription de l'Eure aux élections législatives de 1852. Facilement élu, Félix d'Arjuzon conserve la confiance des électeurs en 1857, en 1863 et en 1869. Très effacé, il siège fidèlement dans la majorité comme dans celle du conseil général de son département. Devenu chambellan de l'Empereur en janvier 1853, il rapporte aux Tuileries le détail du déroulement des séances du Palais-Bourbon, ce qui explique que de nombreux députés, y compris parmi les partisans du régime, le tiennent en suspicion. En janvier 1861, il devient chambellan honoraire et est remplacé à la Cour par le deuxième de ses quatre fils, Georges, ancien lieutenant d'infanterie pendant la campagne de Crimée. Officier de la Légion d'honneur, de Léopold de Belgique, de l'ordre royal de Wurtemberg et de Saint-Grégoire-le-Grand, Félix d'Arjuzon se retire de la vie politique à la chute du Second Empire. En 1826, il avait épousé Isabelle Reiset (1808-1849), fille d'un ancien receveur général des finances nommé régent de la Banque de France. Par ce mariage, il devenait le beau-frère du général baron de Beurnonville, pair de France mais aussi de Jules Reiset, son futur collègue au Corps législatif. Remarié avec Clara Flandin en avril 1862, il entrait ainsi dans une autre famille parlementaire, celle de Louis-Hugues Flandin, ancien représentant de Seine-et-Oise à la Constituante et à la Législative et conseiller d'Etat du Second Empire, du fils de celui-ci, Anatole, député bonapartiste du Calvados de 1876 à 1881 et du petit-fils, Ernest, député du Calvados de 1902 à 1932. E. Anceau, Dictionnaire des Députés du Second Empire. P.U.R., 1999.

 lui-même fils de Gabriel d'Arjuzon, comte d'Arjuzon et de l'Empire (1er, 2 février 1809), Pair de France, Grand'officier de l'Ordre de la Réunion, de la couronne de Hollande, et du Mérite civil de Bavière, officier de la Légion d’honneur.

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1852 : Cette année là, l'architecte Visconti présente à l'Empereur son projet d'agrandissement du Louvre. Le peintre Ange Tissier a représenté cette scène. 

Sur la toile, on peut distinguer,derrière l'Impératrice, à gauche d'Eugénie, le comte d'Arjuzon (Félix).

Monseigneur de Ségur

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« Louis Gaston De Ségur ( Paris 15 avril 1820 – Paris 9 juin 1881) était un prélat apologète catholique français. Il est connu pour son antimaçonnisme militant. Il descend du marquis de Ségur (maréchal de France et ministre de Louis XVI pendant la Guerre d'indépendance américaine), du comte de Ségur (qui accompagna La Fayette en Amérique) du côté de son père, et du comte russe Rostoptchine, (qui incendia Moscou en 1812 à l'approche des armées de Napoléon) du côté de sa mère, la célèbre comtesse de Ségur. Après ses études, il passa d'une relative indifférence religieuse à une grande dévotion. Entré dans le corps diplomatique, il est attaché à l'ambassade de France à Rome en 1842, mais démissionne l'année suivante pour entrer au séminaire de Saint-Sulpice et se préparer au sacerdoce. Il est ordonné prêtre en 1847.Après quelques années de ministère à Paris, il est nommé auditeur pour la France auprès de la Rote romaine, et occupe cette charge pendant quatre années. Il bénéficie d'une grande estime à la cour pontificale.Il mène également des négociations politiques pour le compte de Napoléon III, tout en étant aumônier de la garnison française à Rome. Devenu aveugle, il doit démissionner en 1856, et retourne à Paris, avec les honneurs et les privilèges de l'épiscopat, que son handicap l'empêcha de recevoir formellement. Il se consacré dès lors à diverses œuvres, comme le patronage des jeunes apprentis, les vocations religieuses et les séminaires, les aumôneries militaires, et l'évangélisation de la banlieue parisienne.Il travaille notamment en relation avec l'association saint François de Sales pour la défense et la préservation de la foi, qu'il implante dans quarante diocèses moins d'un an après sa fondation en 1859.En dehors de son ministère, il écrit de nombreux ouvrages.En 1851, il fait paraître des Réponses aux objections les plus répandues contre la religion, dont plus de 700 000 exemplaires sont vendus en France et en Belgique à sa mort, sans compter des traductions en italien, allemand, anglais, espagnol et même hindi.D'autres essais sont destinés à faire connaître et à défendre le point de vue catholique sur les problèmes du temps comme l'École sans Dieu, 1873 ou les Francs-maçons, 1867 qui en était à sa 62ème réimpression en 1887 et dont 120.000 exemplaires se vendirent les 5 premières anées de sa sortie. Il publie également des ouvrages de piété comme Jésus vivant en nous (1869), dont la traduction italienne est mise à l'Index, La piété enseignée aux enfants (1864) ou La piété et la vie intérieure (1864). Ses œuvres complètes sont publiées en 1876-1877 à Paris, en dix volumes. Par la suite paraissent Cent cinquante deux miracles de Notre Dame de Lourdes (1882), Journal d'un voyage en Italie (1882) et Lettres de Mgr de Ségur (1882). En attaquant la maçonnerie, Ségur distingue la maçonnerie apparente, conviviale et bon-enfant, des arrière-loges oú les véritables maîtres de l'ordre, différents des grands maîtres de l'ordre et directement inspirés par le principe du mal, donnent impulsion et direction aux activités des loges. Il  lutta activement, dans Causeries sur le protestantisme d'aujourd'hui contre la propagande protestante du XIXe siècle.

Lettre d'Henri d'Artois, comte de Chambord à Mgr de Ségur

« C'est en revenant de Chambord que j'ai trouvé à Bruges, Monseigneur, votre admirable lettre et l'hommage qui l'accompagne. J'ai reçu l'un et l'autre avec un véritable bonheur. "Ce petit livre, auquel votre modestie donne le nom d'opuscule, est le traité le plus complet et le plus lumineux qu'on puisse lire sur ce grand sujet de la souveraineté royale. On a écrit bien des volumes pour établir très imparfaitement ce que vous démontrez en quelques pages avec une merveilleuse clarté.

« Je ne m'arrête point aux jugements trop bienveillants portés sur ma personne. Mais ce qui me frappe et ce qui saisit toutes les âmes de bonne foi, c'est l'enchaînement et la puissance de votre argumentation, la sûreté de votre doctrine, l'évidence de vos démonstrations. Je voudrais, dans l'intérêt de la vérité de notre chère et malheureuse France, que ce livre fût dans toutes les mains, et j'engage mes amis à le faire pénétrer partout, dans l'atelier, dans les salons, dans la chaumière. On ne se livrera jamais à une propagande plus utile et plus féconde.

« Je ne saurais assez vous dire la reconnaissance dont je me suis senti pénétré en recevant la chaleureuse expression de votre dévouement et de vos voeux. Il vous était réservé de prolonger ainsi les douces émotions que je rapportais de France, et rien ne pouvait me toucher plus profondément.

« Je me recommande tout spécialement à vos saintes prières. Dieu exauce de préférence celles que lui adressent les humbles de coeur et les âmes ferventes. C'est à ce titre que je compte sur les vôtres. Je vous renouvelle l'expression de tous mes sentiments de reconnaissance et de constante affection.

« Henry Le 12 juillet 1871»

http://www.seminairefrancaisderome.org/150ans/lettres/images/dessinlibermann.jpg

Œuvres

    Réponses courtes et familières aux objections les plus répandues contre la religion, 1851.     La Révolution expliquée aux jeunes gens, 1862.

    La piété enseignée aux enfants, 1864.     L'Encyclique Quanta cura suivie des objections populaires, 1864.     Les Francs-maçons, 1867. Traduit en espagnol: Los francmasones : lo que son - lo que hacen - lo que quieren, por monseñor de Ségur, Santiago de Chile : Impr. Chilena, 1868m, 112 p.     Jésus vivant en nous, 1869.

    L'École sans Dieu, 1873.     L'Enfer, Ed. Jules Hovine, 1876, 64 p.     Le Sacré-Cœur de Jésus, 1876.     Journal d'un voyage en Italie: impressions et souvenirs, 1882.     La Foi devant la science moderne.     Causeries sur le protestantisme d'aujourd'hui, 1894.     Maison de Ségur.     Théories du complot maçonnique

Bibliographie critique.     Jean-Pierre Laurant et Émile Poulat, L'Antimaçonnisme catholique. Les Francs-maçons, par Mgr de Ségur, Berg international, 1994.

   Encyclopédie de la franc-maçonnerie, Le livre de poche, article "Antimaçonnisme", p.36

L’évocation de Monseigneur de Ségur nous mène à ces deux citations : « L’œuvre de la France, elle remplit toutes les pages de l’histoire humaine, elle est connue de l’univers entier et ce n’est pas  Dieu qui l’oubliera, lui à qui tout est présent. Le zèle déployé par cette noble race pour la cause et pour le nom de Dieu, l’esprit de sacrifice et d’abnégation, le dévouement et l’enthousiasme qu’elle a mis au service de Jésus-Christ et de son évangile, voilà des titres qui subsistent, des mérites qui ne s’effaceront jamais. D’autant qu’ils n’appartiennent pas uniquement au passé ».  Monseigneur Pie.

 « Le peuple qui a fait alliance avec Dieu aux fonds baptismaux de Reims, se repentira et retournera à sa première vocation. Un jour viendra (…) où la France, comme Saül sur le chemin de damas, sera enveloppé d’une lumière céleste… Tremblante et étonnée, elle dira: « Seigneur, que voulez vous que je fasse ? » et lui: « Lève toi, lave les souillures qui t’ont défigurées, réveille dans ton sein les sentiments assoupis et le pacte de notre alliance, et va, fille ainée de l’Eglise, nation prédestinée, vase d’élection, va porter, comme par le passé, mon nom devant tous les peuples et tous les rois de la Terre » Saint Pie X : allocution consistoriale de 20 novembre 1911.


Segur-appartement-Monseigneur

  Mais attention, Monseigneur de Ségur n’est pas sûr doctrinalement (en rouge)

Segur-danger

Et a été un tremplin, probablement sincère, aux modernistes menant à Vatican II.

Il convient d’étudier les études de « Vatican catholique » : https://www.youtube.com/watch?v=nxdHhi0z5pc

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     Faire-part décès Anatole de Ségur-Cuvelier ; Comtesse de Ségur ; Dessins, enfant, du futur Monseigneur de Ségur, ainé de la famille.   

Louis Augustin Joseph Dathis 1734-1797 &
Marie Bernard 1738-1803 

Bernard-Dathis |
Henri Auguste Joseph Dathis 1765-1814 &1793 ep Henriette Brame 1766-1834
frère de  Henriette Dathis 1766-1814 ep Henri Cuvelier 1761-1845 |
Henriette Rose Désirée Dathis 1797-1850 &1817
Prosper Félix Fortuné Derode 1790-1852 

Derode-Dathis 

|
Prosper Derode 1818-1892 &1840
Céline Cuvelier 1818-1898

celine.1.cuvelier

|
Louise Angélique Félicie Derode 1841-1870

louise-Virnot-Derode

&1860
Urbain Dominique Virnot 1837-1914

Urbain IV Dominique Virnot (1837-1914), Epoux de Louise Derode 1841 + 1870, fille de Prosper, vice-Président de la Chambre de  Commerce et Président du Tribunal de Commerce, Chevalier de la Légion d’honneur, et Céline Cuvelier, cousine germaine de la marquise de Ségur, belle fille de la Comtesse de Ségur puis Marie-Auguste Gamonet, fille de Louis de Gamonet,  fille deVictor-Louis de GAMONET (Parti au 1 d’azur à un volcan surmonté de 3 flammes au naturel abaissé d’une fasce d’argent chargée aussi de trois flammes accompagnées en pointe d’un lion au naturel. Au 2°, coupé d’or et d’argent : au 1°, chargé d’une aiglette de sable ; au 2° chargé de trois bandes de sable. Couronne de Comte, support de lions : armes d’Hector de Gamonet, receveur général de la province d’Artois, éxécuté par ordre de Le Bon, 25 germinal an II) et de Caroline Eléonore Marie CUVELIER, petite fille de Louis-Hector de GAMONET, seigneur de Berval et de la Mothe, fermier-général, éxécuté le 25 germinal an II par ordre de Le Bon (d’azur à une cuvelle d’argent cerclée d’or surmontée de deux haches d’argent emmanchée d’or), veuve de Prosper-Edouard-Henri DERODE, frère de Louise, première épouse d’Urbain-Dominique dont Prosper-Victor Derode marié le 31 janvier 1899 à Heddebault de Baillencourt, native d’Amiens, décédée à Dours ( Somme) le 3 avril 1908, sans enfant.

Descendants de Henri Cuvelier

Jusqu'à la 5e génération.

Henri Cuvelier, né le 5 juillet 1761, décédé le 24 juin 1845 (à l'âge de 83 ans).
Marié le 18 mars 1797 avec Henriette Dathis, née le 2 avril 1766, décédée le 12 mai 1814 (à l'âge de 48 ans), dont

Marié en 1931 avec Anne Droüet de Montgermont, dont

Note  :     Littérateur, il a publié  :   Témoignage et Souvenirs  :   diverses biographies entre autres celles de Sabine de Ségur, sa soeur, du comte Rostopchine son grand-père, de Mgr de Ségur, son frère, etc. Il n'est fait nulle mention ici (en 1924), de sa mère, la Comtesse de Ségur, née Sophie Rospotchine, qui devint si célèbre pour ses livres d'enfants (les Malheurs de Sophie, les Petites filles. modèles, le Bon petit diable, etc.)  
Sources  :   famille :   darbois (jhf juillet 2003) [bernard.gw] Geneweb 10/2001

Marié le 25 août 1851, Paris,avec Cécile CUVELIER , née le 23 avril 1830, Lille, décédée le 14 janvier 1885, Paris,Paris, France (54 ans).

Sources  :   famille :   darbois (jhf juillet 2003) [bernard.gw] Geneweb 10/2001

Dont :  

Note  :     Comte, puis Marquis de Ségur  
Sources  :   famille :   darbois (jhf juillet 2003) [bernard.gw] Geneweb 8/2000

Marié le 2 juillet 1877 avec Jeanne Augustine Frédérique "Thérèse" HÉLY d'OISSEL , née en 1857, décédée le 27 septembre 1935, La Bussière-sur-Ouche, 21360, Côte-d'Or, France (78 ans).

Sources  :   famille :   darbois (jhf juillet 2003) [bernard.gw] Geneweb 8/2000

Dont :  

Sources  :   famille :   darbois (jhf juillet 2003) [pailloncy.gw], http://geneweb.inria.fr/henri, 1/2002

Marié le 20 octobre 1902 avec Alix Solange Victurnienne de ROCHECHOUART de MORTEMART , née vers 1880, décédée le 1er juin 1917 (peut-être 37 ans).

Sources  :   famille 1 :   darbois (jhf juillet 2003) [pailloncy.gw], http://geneweb.inria.fr/henri, 1/2002

, divorcés.

Sources  :   famille :   darbois (jhf juillet 2003) [bernard.gw] Geneweb 8/2000

Mariée le 27 octobre 1882 ou 1883, Paris, 75007, Paris, France, avec Albert Gustave Emile MALOTEAU de GUERNE , Comte de Guerne, né le 10 juin 1856, Douai, 59500, décédé.

Sources  :   famille 1 :   darbois (jhf juillet 2003) [bernard.gw] Geneweb 8/2000

, divorcés.

Sources  :   personne :   Josiane Grangier (jhf avril 2004)

Marié avec Madeleine MONIER , née le 1er septembre 1906, Paris,Artiste peintre. .
Marié le 17 mai 1926, Les Pennes-Mirabeau, 13170, Bouches-du-Rhône, France, avec Cécile Emilie SEURRE , née le 7 septembre 1873, Paris, 75015, Paris, France, décédée le 3 septembre 1966, Trouville-sur-Mer, 14360, Calvados, France (92 ans), Actrice de la Comédie Française.

Note  :     décédée le 3 sept 1966 à Hennequeville (source Josiane Grangier, jhf avril 2004)  

Note  :     Hélas, à la place d'un " excellent François, c'est une espèce d'aventurier que " trouve " et qu'épouse Camille, un certain Léon Ladureau qui se fait appeler " Marquis de Belot " du nom de son arrière-grand-mère.     La pauvre Camille n'est pas heureuse, son mari la bat et la trompe ouvertement. Il conduit sa femme et sa maîtresse dans des cabarets de mauvais renom et fait passer sa femme pour sa maîtresse et inversement. "C'était un être abominable" nous dira l'un des descendants de la Comtesse de Ségur.     Profitant d'un déplacement à Chambéry pour le mariage d'une parente, son mari étant absent, elles supplie son père de l'emmener. Ladurau exige 100.000 francs (somme considérable pour l'époque) pour prix de la séparation.     La pauvre Camille, rongée par son mal, succombe 35 ans     Elle aura eu un fils, Paul - le seul arrière petit-enfant qu'aura connu la Comtesse de Ségur - et qui mourra lui-même dix-huit ans.  

Mariée avec Paul de LADUREAU (dit de BELOT) , né en 1841, décédé. Dont :   

Note  :     Peut-être éloignée du mariage par les tristes mésaventures de Camille, Madeleine ne se marie pas. A l'âge de 25 ans elle entre comme novice chez les Filles de Saint François de Sales. Elle se consacre aux bonnes oeuvres et mourra oubliée de tous en 1930 dans son couvent de Toulouse.     Les deux soeurs reposent côte à côte dans le cimetière de Verfeil (Haute-Garonne)  

Note  :     Louis né à Londres en 1856 avait pour parrain l'empereur Napoléon III lui-même ( d'où son deuxième prénom :   Napoléon). Il eut une existence sans relief et mourut en 1888, agé de 32 ans ; il est inhumé au cimetière de St Sernin des Rais.  

Note  :     Gaston (né en 1863) était officier de cavalerie ; il épousa Emilie Hélène Marianne LAFAURIE et eut 2 fils : :   Paul de Malaret, né à Paris le 30 mars 1891, et Serge né à Verfeil le 22 avril 1893. Gaston est mort à Nice, le 13 janvier 1937.     Serge hérita du domaine de Malaret de son père et de sa tante Madeleine . Il vendit cette propriété le 6 juillet 1939. Serge est mort à Paris le 17 novembre1969..     Paul se marrie avec Fernande Louise HUET . Ils eurent un fils, Jacques de Malaret, né à Verfeil le 4 janvier 1914 ; Paul est mort à Verfeil le 17 janvier 1919. Son fils, Jacques est le père de 4 enfants et vit dans la région de Biarritz.  

Marié avec Marianne de LAFAURIE . Dont :  

Mariée le 8 décembre 1850, Paris,avec Armand FRESNEAU , Député d'Ille et Vilaine (1848), Député du Morbihan (1871), Sénateur du Morbihan (1878), né le 6 janvier 1823, Rennes, 35000, Ille-et-Vilaine, France, décédé le 13 novembre 1900, Paris,Paris, France (77 ans).

Sources  :   personne :   gdjn (juillet 2003), famille :   Alain Aussedat :   source roglo

Dont :  

Mariée avec Louis Jean AUGIER de MOUSSAC , né en 1847, décédé en 1916 (69 ans).

Sources  :   famille :   Alain Aussedat

Dont :  

Marié le 6 juillet 1908 avec Marie-Elisabeth t'KINT , née en 1880, décédée en 1943 (63 ans).

Sources  :   famille :   hfe 2012 cf roglo

Marié avec Anne-Marie HELEU , née en 1873, décédée.

Sources  :   personne, famille :   Alain Aussedat :   source roglo

Dont :  

Sources  :   personne :   Alain Aussedat :   source René Fresneau, famille :   Alain Aussedat :   source roglo

Mariée avec Maxime DUPONT , né en 1888, décédé en 1957, inhumé, Bourg-des-Comptes, 35890, Ille-et-Vilaine, France (69 ans), Colonel.

Sources  :   personne, famille 2 :   Alain Aussedat :   source roglo, famille 1 :   Alain Aussedat :   source base roglo

Sources  :   personne :   Alain Aussedat :   source roglo

Note  :     Sources différentes :   dcd 1920 / 1909 ??  Madame de Traipy dans les livres de sa mère  

Mariée le 25 mars 1856 avec Emile de SIMARD de PITRAY , Vicomte de Pitray, né le 18 août 1822, décédé le 18 mai 1888 (65 ans). Dont :  

Les Ségur Cuvelier

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