Madame Edmond Gillet, née Motte, 

grande dame de la Croix-Rouge

Gillet-Motte

La famille Gillet

est une famille française de la bourgeoisie lyonnaise, active notamment dans l'industrie textile et chimique depuis le XIXe siècle1.

François Gillet, originaire de Bully, s'installe à Lyon et s'est établi à son compte en 1838. Sous la pression et l'exigence des fabricants de soieries de la place de Lyon, il a mis au point un nouveau processus permettant d'obtenir un noir au chatoiement jugé sans égal, le noir impérial, sommet de la mode sous le second Empire. Grâce à cette innovation, l'affaire passe de 70 à 350 salariés en trois ans, de 1850 à 1853, puis à 1200 en 1870.

Dès 1853, les Gillet cherchent des terrains pour implanter leurs usines. Il investissent notamment à Vaise et précédemment sur des terrains en bord de Saône, au pied de la colline de la Croix-Rousse, actuellement sur le quai Joseph-Gillet, anciennement quai de Serin. Dès 1880, l'usine de teinturerie du quai de Serin fabrique les « flottes en noir ».

François Gillet participe à un bouleversement de la profession de teinturier en passant d'une palette de matières végétales, animales et minérales, à l'usage de la chimie, avec des bains successifs de rouille et de carbonate de chaux, des solutions de sels d'étain et de prussiate de potasse, etc..

Son fils Joseph Gillet (1843-1923), après un parcours de formation incluant en 1862 un stage à l'école de chimie de Wiesbaden, transforme la maison familiale de son père en une très grande entreprise, débordant les frontières, prenant également des participations dans des secteurs nouveaux tels que la soie artificielle ou viscose. Il joue également un rôle décisif, avec Jules Raulin et Edmond Coignet, dans la création de l'École de chimie industrielle de Lyon, en 1883.

La continuité de la lignée est assurée par les trois fils de Joseph Gillet, Edmond (1873-1941), industriel et régent de la Banque de France, administrateur de Rhône-Poulenc en 1929, Paul (1874-1971), l'homme de Progil, et conseiller de la succursale de la Banque de France à Lyon, et Charles (1879-1972).

Le fils de Charles, Renaud Gillet préside le Groupe Rhône-Poulenc de 1973 à 1979, tandis que son autre fils Robert Gillet devient ambassadeur de France en Espagne de 1970 à 1976.

Au faîte de leur puissance à la fin des années 1950, les Gillet anticipent le déclin de leur activité, en prolongeant une politique de partenariats, de prise de participation croisées et d'échanges d'actions avec d'autres groupes. Ils fusionnent l'activité textiles artificiels avec Rhodia puis cèdent l'ensemble à Rhône-Poulenc en 1971. L'activité chimie est également cédée à Rhône-Poulenc en 1968. La teinture, le métier de départ de cette histoire industrielle, est cédée en 1976 aux Chargeurs réunis. À la faveur de ces accords financiers, les Gillet deviennent des actionnaires de ces mêmes groupes, en particulier de Rhône-Poulenc .La famille  Gillet,  grande  dynastie  lyonnaise  de  l’industrie  textile,   patronne  depuis  la  fin du  XIXe  siècle  de  nombreuses  initiatives  en  matière  de  lutte  contre  la  tuberculose, comme   celles   du   professeur   Jules   Courmont,   créateur   en   1905   du   premier dispensaire de la région. Deux ans auparavant, Edmond Gillet, qui codirige avec son père  Joseph  les  établissement  du  même  nom,  a  épousé  Léonie  Motte,  issue  d’une des   grandes   familles   de   l’industrie   textile   du   Nord   de   la   France.   Léonie   va approfondir l’implication  des  Gillet  dans  l’action  sanitaire  et  sociale,  en  particulier lorsque  la  guerre  éclate :  elle  participe  à  la  direction  de  la  Société  de  Secours  aux Blessés Militaires, une des sociétés françaises de la Croix Rouge, organise à Lyon la logistique des hôpitaux auxiliaires ; en 1917, elle fonde le Secours aux Rapatriés.

 

Joseph Gillet, 

Gillet-Joseph-1843-1923

Gillet-Joseph-1843-1923

1843-1925

Bully-lès-Bains (Rhône), Lyon (Rhône)

De la teinture à la soie artificielle

Deuxième génération de teinturiers lyonnais, Joseph Gillet fils du fondateur François, bénéficie, quand il s’y associe en 1864, d’une affaire prospère de teinture en noir de la soie, grâce à l’inventivité de son père. Il existe de nombreuses nuances de noir et de matières à partir desquelles ont peut les obtenir. Gillet innove en utilisant le henné pour créer le Noir impérial, exploite le brevet de teinture au châtaignier d’A. F. Michel et perfectionne les apprêts qui favorisent la teinture uniforme de la soie (« noirs cuits » qui supposent de réussir une « cuite » uniforme de la soie, chauffage à 90 degrés dans un bain de savon gras), que ce soit « en flottes » (écheveaux de fils) ou « en pièces » (déjà tissées).

Joseph Gillet bénéficie aussi d’une formation de chimiste, à la pointe de l’invention avec un long stage dans un laboratoire allemand. Commercialement, il diversifie l’activité en fabricant lui-même les teintures naturelles et artificielles. Il crée ou rachète de nombreuses usines, de La Société des produits chimiques de Lyon Vaise aux usines de Savoie, du Gard, de la Dordogne. L’usine d’Izieux dans la Loire gérée par le frère de Joseph, François, qui en fait un petit domaine industriel et social, doté de son laboratoire de recherche, de sa station hydro-électrique, de ses logements ouvriers et de son école. Cette usine devient à la génération suivante pionnière dans la production de soie artificielle.

Inventée en 1884 par Hilaire de Chardonnet (à partir de cellulose de bois de mûrier), la soie artificielle est exploitée par les frères Gillet qui créent la Société anonyme de la Soie artificielle d’Izieux, ou a lieu la première fabrication. Ils s’assurent, par association et rachats, le monopole de la matière première, du tissage et de la vente. La troisième génération confirme l’importance donnée à la formation et à l’ouverture vers les innovations étrangères lorsque Joseph envoie en stages industriels de par le monde son fils Edmond, qui participera à la création de Rhône-Poulenc dans lequel le Groupe Gillet sera absorbé dans les années 1970.

 Gillet-Motte

Edmond Gillet, frère de Paul et de Charles, décédé en 1931, a quitté son hôtel lyonnais du boulevard des Belges pour la rue Barbet-de-Jouy dans le 7e arrondissement parisien à la fin des années 1920. À la suite de son beau-père Edmond Gillet, Ennemond Bizot, issu pourtant d’une vieille famille lyonnaise, est ainsi installé à Paris, où il dirige la branche textiles artificiels. Quand Edmond Gillet est décédé prématurément en 1931, à 58 ans, sa branche familiale n’est  plus  représentée  que  par  l’époux  de  sa  fille  unique,  Ennemond Bizot,  alors  âgé  de  31  ans.  Sa  veuve  Léonie  Motte,  issue  d’une  grande famille du Nord, lui survit 34 ans, mais elle n’est engagée que dans des activités de charité.

Le Comité lyonnais de secours aux rapatriés, créé en 1917 à l’initiative de Léonie Motte-Gillet, est dirigé par le président de la Chambre de commerce Auguste Isaac. La brochure de propagande de cette œuvre, installée sur le boulevard des Belges, précise le rôle de ce comité: « Fondé pour rendre service aux personnes les plus abandonnées des convois de rapatriés […] le Secours aux Rapatriés a été amené à assurer la réception, les soins, l’éducation des enfants isolés ou orphelins revenant des pays envahis, à prendre en charge les enfants dont les mères malades sont hospitalisées. Il cherche, il trouve les pères sans nouvelles ; il reconstitue les familles dispersées ».

 

A Lyon, c’est une nébuleuse en pleine activité que rencontrent les émissaires des   organisations   américaines.   L’activité   caritative,  depuis   longtemps   une   des valeurs  identitaires  de  la  bourgeoisie  locale4,  se  manifeste  en  particulier  dans  deux domaines ouverts ou réactivés par la guerre: le secours aux blessés et réfugiés, et la   lutte   contre   la   tuberculose.   La   grande   bourgeoisie   industrielle   et   bancaire lyonnaise est très impliquée dans ces deux secteurs.C’est le cas, entre autres, de la famille  Gillet,  grande  dynastie  locale  de  l’industrie  textile,  qui  patronne  depuis  la  fin du  XIXe  siècle  de  nombreuses  initiatives  en  matière  de  lutte  contre  la  tuberculose, comme   celles   du   professeur   Jules   Courmont,   créateur   en   1905   du   premier dispensaire de la région. Deux ans auparavant, Edmond Gillet, qui codirige avec son père  Joseph  les  établissement  du  même  nom,  a  épousé  Léonie  Motte,  issue  d’une des   grandes   familles   de   l’industrie   textile   du   Nord   de   la   France.   Léonie   va approfondir l’implication  des  Gillet  dans  l’action  sanitaire  et  sociale,  en  particulier lorsque  la  guerre  éclate:  elle  participe  à  la  direction  de  la  Société  de  Secours  aux Blessés Militaires, une des sociétés françaises de la Croix Rouge, organise à Lyon la logistique des hôpitaux auxiliaires; en 1917, elle fonde le Secours aux Rapatriés.Outre la présence d’un patronat réceptif aux problèmes sociaux et sanitaires, on  notera  à  Lyon  l’existence  d’un  milieu  médical  bien  au  fait  des  activités  de  la philanthropie américaine

1919 Mme Edmond Gillet, de retour d'un voyage aux Etats-Unis, décide de créer le premier parcours de golf de la région lyonnaise Golf Club de Lyon. Elle acquiert deux propriétés mitoyennes, l'une à Oullins, l'autre à Saint-Genis-Laval de 19 hectares. Elle embauche ses premiers green-keepers, une famille anglaise qui sera remplacée peu après par le ménage Baud venant du Touquet.

 

Carte postale : quai de Serin - Usines Gillet

 

Villa-Gillet-Lyon

 

La villa Gillet est située à Lyon, dans le parc de la Cerisaie. C'est une institution culturelle qui s’intéresse à toutes les formes de la culture : littérature, sciences humaines, politiques et sociales, histoire, arts contemporains, etc. Elle rassemble artistes, écrivains, romanciers et chercheurs du monde entier pour nourrir une réflexion publique autour des questions de notre temps à l’occasion de conférences, débats, tables rondes, et lectures. La région Auvergne-Rhône-Alpes contribue pour partie à son fonctionnement, elle est dirigée par Guy Walter, également directeur des Subsistances

Œuvre de l'architecte lyonnais Joseph Folléa (1867-1927), cette villa fut construite pour une famille d'industriels de la teinturerie, les Gillet, qui la vendirent à la ville de Lyon en 1976 à la mort de Paul GilletP 1. Elle est ornée d'une frise animalière peinte en 1913 par Louis Bardey (1851-1915).

Dès 1853, les Gillet qui fonderont plus tard ce qui deviendra Rhône-Poulenc, cherchent des terrains pour y implanter leurs usines. Il investissent notamment à Vaise et précédemment sur des terrains en bord de Saône, au pied de la colline de la Croix-Rousse, actuellement sur le quai Joseph Gillet, anciennement quai de Serin. Dès 1880, l'usine de teinturerie du quai de Serin fabrique les « flottes en noir ». Comme il est de mise au cours du XIXe siècle, le patron doit s'installer près de ses usines afin d'y veiller paternellementP 2. La famille fait construire la Villa Gillet en 1912 sur les hauteurs qui surplombent les usines du quai.

 
À la mort de Paul Gillet, ses héritiers cèdent la villa à la ville de LyonP 1.

 
 Quelques notes sur le 34, rue Barbet de Jouy, Paris 7eme

Barbet de jouy-34

no 34 : Hôtel particulier longtemps habité par l'industriel Jean-Luc Lagardère, qui y est mort en 2003. Sa veuve Bethy l'a vendu en 2005 à Bernard Arnault qui en a fait sa résidence parisienne5

BETTY Lagardère, veuve de Jean-Luc Lagardère, aurait vendu pour la somme de 25 millions d'euros l’hôtel particulier -un immeuble de quatre étages avec piscine en sous-sol- de la rue Barbet de Jouy, dans le 7ème arrondissement de Paris, dont elle a hérité, à Bernard Arnault, le patron du groupe LVMH. La somme est élevée, même pour un bien de cette qualité dans le quartier le plus cher de Paris. Elle est à rapporter à la valeur totale de la succession de Betty Lagardère, dans laquelle il était inclus. Selon nos informations, cette succession s’élevait à 60 millions d'euros nets de tout impôt. N.O.

  

Visite du Cardinal Pacelli chez les Gillet, rue Barbet de Jouy :

« Du côté religieux, voici derrière le cardinal Verdier, le cardinal Baudrillard et Mgr Valéri, nonce apostolique; Mgr Chaptal Mgr Beaussart, auxiliaires du cardinal archevêque de Paris Mgr Courbe, directeur de L'Action Catholique; Mgr Sigismondi, secrétaire de la nonciature le révérend Père Gillet, maitre général des Dominicains et les supérieurs d'ordres et de communautés religieux. Après la présentation au cardinal Pacelli des personnalités présentes, le légat se dirige vers la sortie. Là encore des drapeaux, des plantes et des tapis décorent le vaste hall et un bataillon de la garde, avec musique, rend les honneurs. Le légat pontifical le passe en revue, tandis que la musique joue l'hymne pontifical et la Marseillaise. Enfin le cardinal gagne sa voiture où il prend place avec le cardinal Verdier. Le cardinal Pacelli se rend à sa résidence, 34, rue Barbet-de-Jouy, où il célèbre aussitôt une messe privée. Sur le quai de la gare comme à l'extérieur, une foule nombreuse s'était rendue pour applaudir et acclamer le légat pontifical"


Quelques illustrations de la lignée des Motte

Un épais ouvrage serait nécessaire  pour traiter de l’essentiel de l’histoire de cette ancienne, prestigieuse et nombreuse dynastie.

Les Motte ont donné de nombreux prètres, religieux, religieuses dont une abbesse des Brigittines de Lille au XVIII° siècle, des parlementaires, des échevins et maires, députés, des lignées de brillants industriels, des présidents de chambres de Commerce et du tribunal de commerce de Roubaix, de nombreux membres de la légion d’honneur. Plusieurs d‘entre eux sont tombés pendant les guerres.

« Nous ne savons pas si Pierre « de Mota », chevalier qui fit hommage en 1238 à l’abbaye d’Anchin, peut être tenu pour un ancêtre de la famille, le nom correspondant à la fois à celui de Motte et « de la Motte ».

Ce nom viendrait d’un fief possédé très anciennement par la famille fixée à Tourcoing dès le XVI ° siècle au moins et dont la filiation est établie depuis lors.

Sans doute y a-t-il un lien avec les Motte de Pardieu dont les armes sont sculptées sur une pierre tombale de l’église d’esquelbecq et au manoir d’Erchin. » De Puymèges, les vieux noms de France.

On cite un dénommé "Motte" à la bataille de Bouvines.

On dit que les Motte, puissante famille roubaisienne, invités aux "Séries de Compiègne" par le couple impérial Napoléon III et Eugénie, se virent proposer un titre de noblesse; il déclinèrent cet honneur considérant que l'ancienneté de leur famille et leur indépendance patricienne des Flandres, les en dispensait.

« Une généalogie Motte et une étude sur cette famille ont été écrites par M. Gaston Motte. « II parait bien certain, conformément à la notion générale  qui  a inspiré l'énonce des patronymes, que les noms de Motte, Delamotte, Del motte ont servi à désigner des gens qui résidaient sur une éminence probablement fortifiee par la nature dit Gaston Motte.

La rue de Gand  à Tourcoing s'appelait autrefois « le chemin ou le pavé des Mottes ». Une de ces mottes apparait clairement sur le plan des Poutrains, retrouvé dans le dossier de Comines à Tournai, en 1974. « A l'époque féodale et particulièrement dans le plat pays qui est le mien, les habitants érigeaient une motte (une surélévation du terrain) à partir de la terre extraite du creusement des fossés circulaires. Ils entouraient cette élévation par un rempart de bois.

Le terme est utilisé pour la première fois dans un capitulaire carolingien, promulgué par Charles Le Chauve en 864, par lequel il réglemente la construction de fortifications par les particuliers menacés par les raids vikings, sarrasins, ou autres… la motte féodale devient constructible uniquement sur autorisation du Roi...

« Les hommes les plus riches (...) [de Flandre] ont coutume d'élever (...) une motte aussi haute que possible (...) de creuser tout autour une fosse. ». — Gauthier de Thérouanne, Vita Johannis, episcopi Tervanensis, 1150., 6 » Sylvie Motte

 Descendants d'Alfred Motte

Motte-Alfred

Jusqu'aux petits-enfants.

Alfred Motte, né le 15 mars 1827, Roubaix (59, Nord), décédé le 11 mai 1887, Roubaix (59, Nord) (à l'âge de 60 ans), industriel. Alfred Motte-Grimonprez (1827-1887) crée des usines de teinturerie pour le textile à Roubaix. La génération suivante, notamment en la personne de Louis Motte, poursuit la marche vers la modernité en construisant à Roubaix une usine de six étages, tout en fer et en brique, de style « féodal flamand ». La dynastie a perduré à travers le gigantisme des usines et grâce à une politique familiale de l’entreprise.
Marié le 31 janvier 1852, Tourcoing (59, Nord), avec Louise Desurmont, née le 20 mars 1825, Tourcoing (59, Nord), décédée le 19 août 1853, Roubaix (59, Nord) (à l'âge de 28 ans).

Marié le 24 juillet 1856, Roubaix (59, Nord), avec Léonie Grimonprez, née le 1er avril 1833, Roubaix (59, Nord), décédée le 10 juin 1899, Roubaix (59, Nord) (à l'âge de 66 ans), dont

Total: 31 personnes (conjoints non compris).

 

Descendance agnatique de Guillaume Gillet

Jusqu'à la 8e génération.

Guillaume Gillet, né en 1655, décédé en 1725 (à l'âge de 70 ans).
Marié avec Benoîte Latreille, née en 1664, décédée en 1736 (à l'âge de 72 ans), dont

Total: 27 personnes (conjoints non compris).

 

Descendance cognatique de Guillaume Gillet

Jusqu'à la 8e génération.

Guillaume Gillet, né en 1655, décédé en 1725 (à l'âge de 70 ans).
Marié avec Benoîte Latreille, née en 1664, décédée en 1736 (à l'âge de 72 ans), dont

Total: 88 personnes (conjoints non compris).

 

Descendants de Henri Balaÿ

Descendants de Romain Bizot

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Jusqu'à la 11e génération.

Romain Bizot, né en 1525, décédé en 1594 (à l'âge de 69 ans).
Marié avec Ne N, dont

·         Victor Claude Bizot, né le 16 octobre 1885, Collonges (Ain), tué le 19 août 1914, Walscheïd (Lorraine allemande) (à l'âge de 28 ans), caporal au 5ème régiment d'infanterie coloniale.

·         Pauline Lucienne Bizot, née le 26 septembre 1893, Collonges (Ain).
Mariée le 13 janvier 1914, Lyon 5ème (Rhône), avec Joseph Cottin, né le 4 septembre 1885, Lyon 5ème (Rhône), tué le 10 avril 1918, Chirmont (Somme) (à l'âge de 32 ans).

Marié le 8 juin 1865, Caluire (Rhône), avec Emilie Coste, née le 31 mars 1839, Lyon (Rhône), décédée le 12 juillet 1921, Ecully (Rhône) (à l'âge de 82 ans), dont

·         Jean-Jacques Bizot, né le 21 février 1898, Paris, décédé le 5 septembre 1939, Paris (à l'âge de 41 ans), conseiller d'Etat, directeur au ministère des Finances.
Marié en 1925 avec Odette du Pouget de Nadaillac, née le 6 août 1901, Crozon (29), décédée le 17 mars 1975, Florence (Toscane), inhumée le 20 mars 1975, Paris (à l'âge de 73 ans), dont

o    Alain Bizot, né le 29 novembre 1926, Paris 7e, décédé le 31 mars 2003 (à l'âge de 76 ans), directeur de banque.
Marié le 30 octobre 1952 avec Geneviève Reille, née en 1929.

o    Robert Bizot, né le 25 novembre 1927, Paris, décédé le 28 mai 2002 (à l'âge de 74 ans).
Marié avec Chantal Paul-Renard.

o    Marie-Noëlle Bizot.
Mariée avec Jean Papin.

o    Guy Bizot, né le 3 janvier 1930, Paris 15e, directeur des ressources humaines et de la communication.
Marié avec Brigitte de Larosière de Champfeu, professeur.

o    Marguerite-Marie Bizot.

o    Marie-Hélène Bizot.
Mariée avec Claude Flye-Sainte-Marie.

o    Pierre Bizot.

·         Ennemond Bizot, né le 30 avril 1900, Lyon (69), décédé le 10 septembre 1988, Paris (75) (à l'âge de 88 ans), ingénieur, soyeux de Lyon, membre du Conseil d'Escompte de la Banque de France.
Marié le 12 février 1925, Lyon (69, Rhône), avec Marguerite Gillet, née le 4 octobre 1904, Lyon (Rhône), dont

o    Ghislaine Bizot, née le 24 février 1926, décédée le 7 août 2003, Paris, inhumée le 11 août 2003, Bully (Rhône) (à l'âge de 77 ans).
Mariée le 31 janvier 1948 avec Charles-Albert van der Cruisse de Waziers, né le 11 novembre 1924, Lignières-en-Vimeu (Somme), décédé le 30 août 2013, inhumé le 9 septembre 2013, cimetière, Lignières-en-Vimeu (Somme) (à l'âge de 88 ans), président, vice-président et administrateur de sociétés.

o    Gérard Bizot, né le 16 juillet 1927, Lyon (Rhône), décédé en 1995 (à l'âge de 68 ans), industriel.
Marié le 31 juillet 1949, Lyon (Rhône), avec Chantal de Hesdin, née le 30 janvier 1930, Paris (75), décédée en mai 1964 (à l'âge de 34 ans).

o    Geneviève Bizot, née le 21 mars 1930, Lyon (69).
Mariée le 30 novembre 1949 avec Philippe François, né le 16 août 1927, Villiers-le-Bel (95, Val-d'Oise), agriculteur et sénateur de Seine-et-Marne de 1983 à 2004.

o    Irène Bizot, née le 10 juin 1935, Paris 7e.

o    Jean-François Bizot, né le 19 août 1944, Paris 15ème (75), décédé le 8 septembre 2007, Paris (75), inhumé le 12 septembre 2007, cimetière de Bully, Rhône (à l'âge de 63 ans), journaliste, directeur de publication.
Marié le 5 octobre 1968, Paris 7e, avec Judith Lange.

·         Henry Bizot, né le 27 août 1901, Lenclos (Isère), décédé le 28 juin 1990, Paris (à l'âge de 88 ans), inspecteur des finances, président du Comptoir National d'Escompte de Paris, puis de la BNP, maire d'Assé le Boisne (Sarthe).
Marié le 14 avril 1926, Paris 8e, avec Guillemette Law de Lauriston-Boubers, née le 18 mai 1904, Paris 16e, décédée le 9 mai 1999, Paris (à l'âge de 94 ans), dont

o    Bernadette Bizot, née le 11 avril 1927, Paris 16e, décédée le 2 mai 2002 (à l'âge de 75 ans).
Mariée le 2 mars 1957, Assé-le-Biosne (Sarthe), avec Victor Parjadis de Larivière, né le 1er janvier 1929, Grenoble (Isère), décédé le 7 décembre 2006, inhumé le 12 décembre 2006, Saint-Paul-le-Gaultier (Sarthe) (à l'âge de 77 ans), architecte DPLG.

o    Christian Bizot, né le 25 septembre 1928, Paris 16e, décédé le 7 juillet 2002, Lenclos (Isère) (à l'âge de 73 ans), directeur général de la maison de Champagne Bollinger.
Marié le 20 juin 1958, Neuilly-sur-Seine (Hauts-de-Seine), avec Marie-Hélène Balsan, née le 13 mai 1937, Neuilly-sur-Seine (Hauts-de-Seine).

o    Olivier Bizot, né le 26 septembre 1930, Paris 16e, décédé en janvier 2015 (à l'âge de 84 ans).
Marié le 20 juin 1959, Marly-le-Roi (Yvelines), avec Jacqueline Delloye, née le 24 août 1932, Marly-le-Roi (Yvelines).

o    Emmanuel Bizot, né le 3 février 1933, Paris 16e.

o    Jacques Bizot, né le 18 septembre 1936, Paris 16e.
Marié le 16 juin 1962, Fontainebleau (Seine-et-Marne), avec Anne de Montalembert, née le 26 avril 1941, Paris 7e.

Total: 56 personnes (conjoints non compris).

 

 

Joseph Pollet 1806-1879 &1831 Catherine Pollet 1810-1887

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Catherine Pollet 1840-1911 &1862
Adolphe Lepoutre 1839-1911

Joséphine Catherine Pollet 1832-1868 &1851
François Masurel 1826-1913

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Clémence Lepoutre 1862-1936 &1882
Albert Motte 1858-1918

François Masurel 1855-1894

&1877
Eugénie Louise Jonglez 1857-1918

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Léonie Motte 1883-1965 &1903
Edmond Gillet 1873-1931

Eugénie Pauline Masurel 1881-1926

&1900
Charles Prouvost 1875

Charles 2 Prouvost 1875-1937 Forma avec François Motte en 1919 et 1920, " un groupe, avec d'autres associés, qui créa coup sur coup quatre sociétés: l'un d'entre elle, la Société Industrielle de Pologne, ne se limita pas aux activités pétrolières;  elle prit aussi des participations dans une filature à Sosnowiec, dans un domaine agricole à Brody (ville natale de Joseph Roth), dans la banque industrielle de Pologne etc.  Les trois autres gérèrent des concessions et prirent d'autres participations, centrées sur des gisements galiciens. Mais la Société industrielle de Pologne fut mise en veilleuse en 1925." Les Maitres du Nord Pierre Pouchain

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

François Gillet 1813-1895

&1840 Marie Pierron 1812-1892

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Joseph Gillet 1843-1923

Gillet-Joseph-1843-1923

&1865
Mathilde Perrin 1845-1908

 

Emilie Gillet 1841-1925 &1860
Hugues Chatin 1825-1873

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Edmond Gillet 1873-1931 &1903
Léonie Motte 1883-1965

 

Hélène Chatin 1863-1936 &1885
Marcel Baudot 1852-1924

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Marguerite Gillet 1904 &1925
Ennemond Bizot 1900-1988

 

Elisabeth Baudot 1888-1979 &1913
Paul de Dianous de La Perrotine 1885-1914

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