Prouvost
Le Grand Cottignies à Wasquehal
Fief du Fresnoye ; de la Haye
Les Huchons
Fief du Bleu Chastel
Fief du Seigneur de Roubaix
Fief du Wault
Fief-flégart du Triez du Wault à Roubaix
Favreulles, tenancier en 1347
De Frenne
Seigneur du gaucquier
Le Blan
Seigneurs de Houchain
Du Moulin
De Bugnicourt
Noiret
Du prieuré de Fives
Seigneur de Saint Antoine
Fief mairie de Briastre
Fief de l’ Abbaye d’Anchain à Bourlmon
Thun l’ Evèque
Montigny en Ostrevant
Abbaye du saint Sépulchre de cambrai à
Graincourt
De l’ abbaye de Saint Aubert à Lesdain
De Tilloy
De Courcelles/ de Courchelles
Seigneurs de Lamont
Hommes de fief de Saint André du Catteau
De le Rue
Le Rue etc
De Lespaul
Fief du Fresnoy
De Lespierre
La Pontennerie
Du Frétin
De la Haye
De Lespierre
De Grimbrie
De Hallewin
Fief du Fresnoy
La Pontenerie
La Grande Vigne
Trubert
De Boisfontaines
Lenglart
Des Rosiers
De la Motte
Du Ponchel Englier
Des Léopardds
De Wevelsberghe
De Lannoy
De Plancques
D’Haffrenghes
De Coeurlu
De Watterdal
De Vaudringhem
De Drionville
De Wattiessart
De Surmont
De Bersée
De Flégart
De Favreulles ( à Croix)
La Boutillerie
La Chapelle du Hennocq
Watel
Fief du Châpitre Saint Géry de Cambrai
Contehem XVII °
Avesnes le Sec XVIII °
Virnot-Virnot de Lamissart
De Lamissart
De Musemberg
De Stradin
Deux fiefs à BaIl leul
Quevaucamp
Masurel
De la Noirière
De Saint Venant
Dansette
D’Ansette 1514
De la Dorelière
Ovigneur
Fief abbaye de Loos.
de Wavrin
Seigneurs du Sauchoy
De Ligny
De Fagnolet
De Manières
De Cambrin
D’Hellisard
De Ville rs au Tertre
Motte
Fief à Busigny
Fief de Ramilly
Les Motte de Pardieu
Macquart de Terline
Seigneurs de Dainville
D’Ophove
De Rullecourt
De Terline
De Caudescure
Rollinde de Beaumont
Les terres de Beaumont en 1660
Béghin
Seigneur d’Aiguerue
Des Camps
Fief à Gonnehem
Terres de le Val à Aubers
Seigneurs de Campaignes
Fief à Deulémont
Château d’Aires
Van den Berghe
Seigneurs de Bergh à Courtrai
D’Arc du Lys
Seigneurs de Mont-en-Vaux
De Gibeaumeix
De Brixey
De Saulxures
De Vannes
De Jubainville
De Maxey sous Brixey
De Montigny
De Housselmont
D’Ile aux bœufs
Du Mont
Anoblissement par charge et fonction[1]
Anoblissement par charge
« Le statut nobiliaire provenait de
la fonction occupée dans l'administration royale française (Parlement, Cour
des comptes, bureau
des finances). C'était
la « noblesse de robe ». Cette charge pouvant dans certains cas être
achetée comme la fameuse charge, liée à la Chancellerie, de conseiller-secrétaire
du roi, maison et
couronne de France, devenue au XVIIIe siècle une simple sinécure. Elle était d'un
prix souvent exorbitant car elle anoblissait, d'où son succès et le surnom
vengeur de « savonnette
à vilain »
donné par la vieille
noblesse (noblesse
d'extraction). »
« Les Secrétaires du roi, aux
termes de l'édit de décembre 1701, pouvaient faire librement toute sorte de
commerce en gros, tant au dedans qu'au dehors du royaume, pour leur compte, ou
par commission, sans déroger à la noblesse. Les privilèges accordés aux
Secrétaires du roi, étaient considérables, puisqu'en entrant en charge, ils
étaient réputés nobles de quatre races, et capables de recevoir tous ordres de
chevalerie ; cela n'a pas empêché que souvent on ait voulu, dans le vulgaire,
atténuer la solidité de la noblesse de ces officiers, en rangeant leurs charges
dans le nombre de celles dites, fort improprement, savonnettes à vilain, et il
faut dire encore, à l'avantage de ce corps, que la majeure partie des familles
qui comptent parmi la noblesse de France ont eu des Secrétaires du roi. »[2]
-
Charles-Henri de Savary, écuyer, seigneur du Gavre,
baptisé à Saint-Étienne le 8 juillet 1749, nommé conseiller
du Roi à la gouvernance du souverain bailliage de Lille le 17 novembre
1772, bourgeois de cette ville par relief du 12 avril 1783, conseiller
municipal de Lille de 1807 jusqu'à sa mort ; décédé dans cette ville le 26
juillet 1810. Il épousa à Sainte-Catherine, le 18 juin 1782, Alexandrine-
Joseph-Marie Virnot, fille de Charles-Louis, seigneur de Lamissart, trésorier
de Lille, et de Marie-Anne-Alexandrine Lenglart, baptisée à Saint-Étienne le 28
décembre 1761
-
Jacques Noël-Joseph Quecq, Conseiller
du Roy au Baillage de Lille.
-
Jacques-Emmanuel-Joseph Quecq, Conseiller du Roy au Baillage de Lille, et Dame
Agnès-Julie-Joseph Leclercq, son épouse.
-
Emmanuel-Joseph Quecq de Burgault, Conseiller du Roy au siège royal de la gouvernance du
Souverain Bailliage de Lille,
-
Dame Marie-Thérèse-Joseph de Lalaing, veuve du sieur
Michel-Ange Wibault, conseiller du Roi au Siege
de la Monnaie de Lille.
-
Pierre-Louis-Joseph Carpentier, conseiller du Roi
« L'anoblissement
par charge favorisa la vente des offices et leur transmission
héréditaire, qui
procurait des revenus non négligeables au trésor royal, soit par ce qu'il
fallait payer pour être « confirmé », soit parce que ces
anoblissements furent révoqués en bloc, lors de crises budgétaires. De plus les
titulaires pouvaient léguer librement leur charge à la personne de leur choix,
à la condition de verser un droit annuel (égal au soixantième du prix de
l'office). Cette taxe était appelée la paulette, du nom de Charles Paulet, chargé du premier recouvrement (1604).
La
fonction devait être exercée pendant vingt ans — à défaut, son titulaire devait mourir
en charge — pour anoblir. La démission sans accord royal ou la suppression de
la charge faisait perdre la noblesse.
Ces
fonctions anoblissaient selon deux modalités :
-
Charles- Louis Virnot, seigneur de Lamissart, fils
de Dominique, négociant, et de Marie-Marguerite Cousin, baptisé à Saint-Etienne
le i3 janvier 1787, licencié en droit, bourgeois de Lille par relief du 3 avril
1761, avocat au Parlement de Flandre, trésorier de
Lille ;
-
Me Jean-Chrysostome-Joseph le Saffre, avocat au Parlement et Conseiller des deux ordres du
Clergé et de la noblesse de la Province de Flandres
-
Charles Henri Quecq, Sgr du Gâvre, Trésorier de France, Conseiller à la Gouvernance de
Lille en 1774, et de Alexandrine-Charlotte-Joseph-Marie Virnot de la Missart
-
François-Emmanuel Désiré
Quecq, chevalier, s' d'Henripret, baptisé à La Madeleine le 7 décembre
1756, bourgeois de Lille par relief du 30 décembre 1786, créé trésorier de France général des finances et
garde-scel au bureau de la généralité de Lille
le 13 mai 1783, fonction qu'il exerça jusqu'en 1790, mort à Lille le 14 août
1838 ; épousa à Samte-Catherine, le 13 juin 1786, Charlotte-.Joseph Virnot,
fille de Charles-Louis, s' de Lamissart, et de Marie- Anne-Alexandrine
Lenglart, baptisée à Saint-Étienne le 21 septembre 1764, décédée à Lille le 10
novembre 1812 ;
-
Jean-Baptiste-Gabriel-Joseph Quecq, Chevalier Sgr de
Sévelingue, Trésorier de France et General des Finances
-
Jacques- Joseph-Marie Decroix, conseiller Secrétaire
du Roi en la Chancellerie près le Parlement de Flandres, ancien Trésorier de France
-
Auguste Joseph de LAGARDE de BOUTIGNY , seigneur de
Bielville & autres lieux trésorier de France au
Bureau de Lille , chevalier , seigneur de Boutigny, substitut au
Bureau des Finances de Lille 1717-1749
-
Charles Louis Quecq, avocat
au Parlement.
La noblesse
d’office est à distinguer de la noblesse
personnelle que
donnaient certaines charges de moindre importance. Dans le premier cas, l’enjeu
était la « vraie » noblesse (dans le sens de noblesse héréditaire et
privilégiée) ; il y avait anoblissement. Le second cas, lui, ne donnait
que la qualification de noble et quelques privilèges, le tout ne se
transmettant pas aux enfants mais pouvant faire tige
de noblesse.
Anoblissement par fonctions
« Dite
« noblesse de cloche », dont le statut était acquis par des fonctions
municipales de maire (Abbeville, Angers, Angoulême, Bourges, Poitiers ...), de prévôt
des marchands, d'échevin de certaines villes (Abbeville, Paris,
Lyon, et Capitouls de Toulouse...). »
Anoblissement par possession de fief
noble
« Le non
noble, seigneur d'un fief noble (ou « franc fief »)
possédant des droits de justice
seigneuriale, devait
s'acquitter d'un droit qui lui garantissait l'agrégation à la noblesse. »
Fiefs et seigneuries
Seigneurie
« Une
seigneurie est une institution médiévale et moderne occidentale assurant
l'encadrement économique et judiciaire des populations par un individu ou une
personne morale n’exerçant pas nécessairement la souveraineté. La seigneurie
est une réalité distincte du fief, qui est l'un des modes d'exercice de la
seigneurie, avec l’alleu.
La seigneurie
est un ensemble de terres, c’est-à-dire de propriétés foncières, de droits et de
redevances. La seigneurie est le cadre privilégié par lequel l’aristocratie
médiévale assure sa prééminence sociale, économique et politique. La limitation
des prérogatives seigneuriales est l'un des biais par lequel le pouvoir des
États s'affirme à la fin de l'époque médiévale et durant l'époque moderne. On
estime entre 40 000 et 50 000 le nombre de seigneuries en France au XVIIIe
siècle. »[3]
Fiefs
« Le fief, appelé également tenure noble
ou terre de noble tenure (car contrairement à une simple tenure elle exigeait un hommage au suzerain)
désigne, durant les époques médiévale et moderne, un bien ou un revenu
immobilier, le bénéfice, la terre, confié à l'origine en rétribution d'un
service.
À défaut d’anoblir, la possession d’un fief influait cependant notablement sur la position sociale, et on voit même la convocation aux États Généraux de 1789 appeler au 2nd ordre les nobles possédants fief alors que les nobles non-possédants fief devaient avoir la noblesse acquise et transmissible.
Le seigneur dominant conservait un certain contrôle sur la mutation des fiefs qui relevaient de lui et :
– en cas de vente, il percevait le quint, c'est-à-dire un cinquième de la valeur du fief, payé par le vassal comme droit de vente
– lors d'une succession, l'héritier « relevait le fief », c'est-à-dire qu'il s'acquittait du relief à son seigneur ; le relief témoigne de la reprise de l'obligation vassalique, et équivalait généralement à une année de revenus ; après le XIIIe siècle, il eut tendance à décroître, voire à disparaître pour les descendants directs. »[4]
Le fief est opposé à l'alleu, qui ne relevait d'aucun seigneur et au bien roturier
qu’est la censive.
Cense, nom dérive du bas-latin censa, signifiant fermage, est devenu ensuite le nom de la ferme même. C'est le nom que l'on donne aux métairies et aux fermes, dans certaines parties de la France et de la Belgique romane1.
Fief noble : fief
ayant haute justice, ou censive ou fief dépendant de lui ; Fief noble, est
entendu de diverses manieres: selon Balde, le fief noble est celui qui
anoblit le possesseur; définition qui ne convient plus aux fiefs même de
dignité, car la possession des fiefs n'anoblit plus. Selon Jacob de
Delvis, in pralud. feudor. & Jean André, in addit. ad speculator.
rubric. de prascript. le fief noble est proprement celui qui est
concedé par le souverain, comme sont les duchés, marquisats, & comtés: le fief
moins noble est celui qui est concedé par les ducs, les marquis, & les
comtes: le médiocrement noble, est celui qui est concedé par les vassaux qui
relevent immédiatement des ducs, des marquis, & des comtes.
Enfin le fief non
noble est celui qui est concedé par ceux qui relevent de ces
derniers vassaux, c'est - à - dire qui est tenu du souverain en quart degré
& au - dessous.
Fief vilain
Fief
vilain, est celui qui, outre la foi & hommage, est encore chargé par chacun
an de quelque redevance en argent, grain, volaille, ou autre espece.
Il
est ainsi appellé, parce que ces redevances dûes outre la foi & hommage,
sont par leur nature service de vilain ou roturier.
Fief
roturier, feudum ignobile, est celui qui n'a ni justice, ni
censive, ni fief mouvant de lui.
En
Artois on nomme fief roturier celui qui n'a ni justice ni seigneurie,
c'est - à - dire qui est sans mouvance. Ce fief roturier ne peut pas
devenir noble, c'est - à - dire acquérir des mouvances par le bail à cens ou à
rente seigneuriale du gros domaine du fief, sans le consentement du
seigneur dominant; mais si le seigneur ou ses officiers y ont une fois
consenti, les baux à cens ou à rentes seigneuriales subsistent, & de
roturier que le fief étoit auparavant, il devient fief noble; de
sorte qu'en Artois il est permis aux seigneurs de donner la justice & la
seigneurie au fief roturier. Voyez Maillart, sur l'art. 17. de la
coûtume d'Artois.
On
entend aussi quelquefois par fief roturier, celui qui étoit chargé de
payer des tailles, des corvées,& autres services de vilain, c'est pourquoi
on l'appelloit aussi fief vilain. Voyez Fief cottier, Fief noble, Fief nonnoble, Fief rural , & l'ancienne coûtume de
Normandie, chap. liij. à la fin. (A).
« Fief
vicomtier ou Seigneurie vicomtière : désigne dans une grande partie de la Flandre, en Artois, en Ponthieu et dans quelques autres régions
voisines un fief non noble ou bourgeois1 ("feudum burgense seu ignobile"),
mais ayant moyenne
justice2, et pouvant nommer de ce fait un vicomte3 simple officier de justice4 seigneuriale dans le comté de Flandre
qui ne portait plus le nom de bailli qu'il avait jadis, sans doute pour ne pas
le confondre avec les baillis des villes ou des châtellenies et vierschaere5 qui exerçaient des fonctions
judiciaires plus importantes. Ainsi, dans un fief vicomtier ce n'est pas le
seigneur qui porte le nom de "vicomte" mais bien le bailli
qu'il nomme.
Les fiefs vicomtiers formaient
la majorité des fiefs de Flandre et leurs possesseurs ne sont pas qualifiés de
"vicomtes" mais de "seigneurs vicomtiers"6. »[5]
Fief vicomtier tenu de la
seigneurie de Dadizeele à La Madeleine à 10 livres de relief, comprenant 10
bonniers 7 cens d'héritage ainsi que des rentes sur 9 bonniers 909 verges et 3
maisons à Lille. Dans le chœur de l'église de 1517 se trouvait un vitrail offert par divers membres de
la famille de Le Flye, seigneurs du lieu.
En 1562 Jean de Le Flye est mort : sa veuve est
soumise à l'emprunt forcé pour 30 florins.
Jean Dominique Bayart, écuyer, seigneur d'Ennequin,
baptisé à Lille Saint-Étienne le 1er août 1561, fils de Bruno et de Marguerite Daudenarde (mariés
le 27 janvier 1651), elle-même fille de Guillaume et de Michelle
Desfontaines.
Marie Jeanne de Flandres, dame d'Ennequin, fille de
Simon et de Jeanne Desmazures (elle-même fille de Charles et de Jeanne van
Thiennen), baptisée à Lille Saint-Étienne le 19 octobre 1663, morte à Lille Saint-André le 11 avril 1727. Elle avait épousé en premières noces le 28 janvier 1692 à Lille Saint-André Pierre François Joseph
Platevoet (fils de François et de Jeanne Laignel) et en secondes noces Joseph
Le Merchier.
Claude Hauchart, procureur à Lille.
Simon de Flandres 1626-1708
&1663
Jeanne Desmazures
|
Marguerite de Flandres 1669-1730 (
sœur de Marie-Jeanne) &1698
Charles Le Thierry, seigneur de
la Haye d'Ennequin 1656-1721
|
Charles Simon Joseph Le Thierry, seigneur
d'Hennequin 1698-1748 &1731
Marie Françoise Gabrielle Prévost ca 1707-1736
|
Jacques Charles Joseph Le Thierry, seigneur
d'Ennequin 1736-178
ep 1765
Marie Anne Françoise de Bonneval 1734-1815
I
Charles Marie Désiré Le Thierry, seigneur
d'Ennequin 1766-1858 &1789
Catherine Charlotte Virnot 1770-1851
Fiefs de Charles-Louis VIRNOT
de LAMISSART de Musemberg
(1737-1808),
second fils de Dominique, Syndic de la Chambre de
Commerce en 1748 et de Marie-Marguerite COUSIN., frère d'Urbain Dominique
Virnot et Catherine Lenglart.
Il fit le dénombrement :
Le fief de Lamissart était sise a Ennequin, pres de Wattrelos ( relevé en 1714
par Urbain Virnot)
Fief de Hautjardin
Fief de Musemberg à Séquedin en Janvier
1785
(Fief ?) de Stradin
Deux fiefs à Bailleul Avril 1782
Fief de Duremort
fut acquis, le 13 janvier 1779, par
N...LeFebvre de Lattre, seigneur de Ligny, et fut dévolu
A ses trois fils cadets qui le
vendirent, le 1er juin 1791, à M. Virnot de Lamissart.
Fief vicomtier de Soissevalle
[1] : https://fr.wikipedia.org/wiki/Anoblissement#Anobli_par_charge
Exemples familiaux tirés de Charles Lethierry d’Ennequin
[2] : Dictionnaire encyclopédique de la noblesse de France, Nicolas Viton de Saint-Allais (1773-1842), Paris, 1816
[3] ; Contenu soumis à la licence CC-BY-SA 3.0 (http://creativecommons.org/licenses/by-sa/3.0/deed.fr) Source : Article Seigneurie de Wikipédia en français (http://fr.wikipedia.org/wiki/Seigneurie).
[4] : Contenu soumis à la licence CC-BY-SA 3.0 (http://creativecommons.org/licenses/by-sa/3.0/deed.fr) Source : Article Fief de Wikipédia en français (http://fr.wikipedia.org/wiki/Fief).
[5] : Contenu soumis à la licence CC-BY-SA 3.0 (http://creativecommons.org/licenses/by-sa/3.0/deed.fr) Source : Article Fief vicomtier de Wikipédia en français (http://fr.wikipedia.org/wiki/Fief_vicomtier).
[1] : https://fr.wikipedia.org/wiki/Anoblissement#Anobli_par_charge
Exemples familiaux tirés de Charles Lethierry d’Ennequin
[2] : Dictionnaire encyclopédique de la noblesse de France, Nicolas Viton de Saint-Allais (1773-1842), Paris, 1816
[3] ; Contenu soumis à la licence CC-BY-SA 3.0 (http://creativecommons.org/licenses/by-sa/3.0/deed.fr) Source : Article Seigneurie de Wikipédia en français (http://fr.wikipedia.org/wiki/Seigneurie).
[4] : Contenu soumis à la licence CC-BY-SA 3.0 (http://creativecommons.org/licenses/by-sa/3.0/deed.fr) Source : Article Fief de Wikipédia en français (http://fr.wikipedia.org/wiki/Fief).
[5] : Contenu soumis à la licence CC-BY-SA 3.0 (http://creativecommons.org/licenses/by-sa/3.0/deed.fr) Source : Article Fief vicomtier de Wikipédia en français (http://fr.wikipedia.org/wiki/Fief_vicomtier).