1752-1801
François Joseph DUROT 1747-1815
fils d’Arnould-François DUROT, bourgeois de Lille, remarquable exemple de parcours proto-industriel :
sa vie intense a été racontée par Alexis Cordonnier dans son article : « Une industrie d’art au siècle des lumières : l’indiennerie DUROT (1765-1790) :
il créa ou
racheta les:
Manufacture Royale des toiles peintes, indiennes et papiers peints
en façon de damas & d'indienne de
qu’il
créa : lettres patentes le 25 janvier 1770 (toiles frappées des armes
fleurdelisées),
Manufacture Royale de Mousselines d’Houplines
(association avec de Raincour) en 1768
Manufacture Royale de verres,
rachetée en 1775 et nommée sous la
raison de son fils ainé « Louis-François Durot et fils », dirigée
avec son gendre Auguste de LAGARDE ; cédée en 1777 à son associé Bernard
Rousselle
Beau-père de Louis-François LEPERRE-DUROT, fondateur de la
Manufacture Royale de porcelaines de Monseigneur le Dauphin,
crée le 13 janvier 1784, place des Carmes, à Lille,
Il fut un des premiers à employer la houille pour chauffer les fours. et fabriquait de la porcelaine dure. Marque au « dauphin couronné » et « A Lille ». En 1786, avec la protection de M. de Calonne, il place son usine sous le patronage du dauphin. Une pièce du musée est marquée « cuit au charbon de terre en 1785 ».
Après la Révolution, elle fut dirigée par Gaboria. Elle ferma en 1817
Après
La Manufacture Royale du Dauphin à Lille fut mise sous la
protection du Dauphin en 1786, l'ainé du roi Louis XVI, Louis Joseph, né en 1781,
mort au début de la Révolution
française en 1789; Le titre de Dauphin fut alors porté par son frère, Louis Charles, le futur Louis XVII.
Pour les
partisans de Naundorff, ce fut le cœur du Dauphin né en 1781 qui fut étudié et
non celui de Louis XVII puisqu’il aurait survécu.
Son
cœur fut conservé au Val de Grâce à Paris puis fut récemment
authentifié comme Habsbourg et replacé en la basilique de Saint-Denis.
Il installa
sa manufacture-château au château de
Beaupré, à Haubourdin, propriété du comte de Roncq
Son
beau frère Leperre installa sa manufacture de porcelaine sur la place
de la porte Gand; à droite la rue de Gand. Deux tableaux par
le grand Jean Pattou.
Jacques Prouvost 1670-1704 |
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Jacques Prouvost 1699-1774 Marie Agnès Florin 1712-1767 |
Pierre Prouvost 1699-1770 |
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Pierre Joseph Prouvost 1725-1797 |
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Catherine Françoise Prouvost
1752-1801 |
de Dorothée-Julie Durot épouse de François-Joseph LEPERRE,
fondateur de
de Pierre-Marie-Régis qui épousa la
fille d’un des plus gros fabricant de toiles peintes des Pays-Bas
catholiques : la gantoise Anne-Barbe CLEMMEN,
de Louis-François qui épousa
Marguerite BAYARD, riche propriétaire aux Antilles.
de Nathalie-Françoise, dominicaine
au couvent de Lille;
de Patrice-Joseph, religieux à
l’abbaye de Marchiennes.
Pierre Catteau épouse Henriette Lauwick 1790-1862, cousine germaine de Charles Frédéric
Lauwick 1782-1851
époux de Catherine Françoise
Josèphe Durot-Prouvost 1784-1855
Pierre,
Antoine, Louis Catteau est né le 16 mai 1820 à Comines. Il est le fils de
Pierre Catteau et d’Henriette Lawick. Il est issu d’une famille de fabricants
de rubans. Son aïeul, Charles Catteau avait créé son entreprise de ruban en fil
de lin au milieu du 18ème siècle.
En
1788, il y employait 44 ouvriers. Pierre Catteau termina à Boulogne-sur-Mer des
études qu’il avait commencées au Collège des Jésuites de Brugelette. Il arriva
en 1844 à Roubaix et créa son entreprise rue de la Fosse-aux-Chênes. Il
s’orienta vers des tissus chaîne-soie qui remportèrent un vif succès. Doué d’un
goût très sûr, ses produits étaient de véritables merveilles de dessins et de
coloris. ela expliqua le constant essor de sa fabrique.
En
1869, le registre des patentes nous apprend qu’il est taxé au maximum pour son
tissage du 30, de la rue de la Fosse aux Chênes. Il y était associé à ses
frères : Charles et Louis qui résidaient à Comines et Adolphe qui demeurait à
Roubaix. Pierre Catteau, quant à lui, habitait au 41, rue du Grand Chemin.
En
1885, pour cause d’extension, son tissage se situait au 121, rue du Grand
Chemin, une filature de 8.800 broches lui était adjointe. Cette filature lui
appartenait en propre. En ce qui concerne le tissage, il restait associé à ses
frères. En plus, il était associé à Monsieur Edouard BODIN, demeurant au 30,
rue Nain, au sein d’un tissage de plus de 200 métiers situé au 52, rue Saint
Maurice.
Quant
à son frère Adolphe, toujours en 1885, il était à la tête d’une retorderie de
3.550 broches et d’un tissage boulevard d’Armentières ainsi que d’un second
tissage comprenant 73 métiers à bras pour tissus d’ameublement au 15, rue de la
Chapelle Carrette.
Plusieurs distinctions…
Les
mérites de Pierre Catteau lui valurent de recevoir de nombreuses distinctions.
En 1862, il reçut une mention honorable à l’exposition de Londres. En 1867, à
Paris, il obtint une médaille d’argent. En 1873, le jury de l’exposition
universelle de Vienne lui décerna une médaille de progrès, sa plus haute
distinction. L’année suivante, un décret du 27 juillet le nommait Chevalier de
l’Ordre de la Légion d’Honneur pour « services rendus à l’industrie ». Enfin,
en 1878, il obtint à Paris la médaille d’or.
L’hôtel particulier de Pierre CATTEAU
Pierre
Catteau se fit construire au 45, rue du Grand Chemin son hôtel particulier.
Nous savons qu’il habitait dans cette rue depuis au moins 1869.
Les
archives municipales possèdent le plan, daté du 15 avril 1876, d’un terrain
d’une surface d’un hectare vingt neuf ares qui s’étendait entre la rue des
Fleurs et la rue du Grand Chemin.
C’est sur ce terrain acheté peut-être à ce moment là qu’il décida de faire construire son hôtel particulier agrémenté d’un grand parc.
« Oeuvres exposées au salon annuel
organisé par le Ministère de la Maison de l'Empereur et des beaux-arts
(Surintendance des beaux-arts), en 1865, au Palais des Champs-Elysées à Paris. Tirage
photographique sur papier albuminé représentant : - "Retour de l'enfant prodigue",
tableau par François Germain Léopold Tabar, No 2030, appartient à l'auteur;
- "Léda", tableau par Gaston
Casimir Saint-Pierre, No 1914, appartient à l'auteur; - "Jésus, source de
vie", d'après le chapitre VII, verset 37 de l'Evangile selon St-Jean,
tableau par Charles Henri Michel, No 1511; - "Une rue au Caire",
tableau par Alexandre Lauwick, No 1258; - "La Vierge et l'Enfant
Jésus", d'après l'Evangile de la Saint-Enfance, tableau par Albert
Lambron, No 1209.
dont :Catherine-Françoise
Josèphe Durot qui épousa en 1782 Charles Frédéric Joseph Lauwick, 1782-1851,
propriétaire, dont Charles-Victor 1805-1873, Bernard Joseph 1806-1859,
Alexandre 1823,
Hector Achille Charles 1824,Octavie Aglaé Françoise 1826
dont : Alexandre Lauwick
peintre, petit-fils de Catherine-Françoise Prouvost, qui épousa en 1864 Thérèse
Riesener 1840-1932, dont Gabrielle 1865-1945 Laure 1868-1894
Femme
juive d’Alger 1861 par Alexandre Lauwick
Françoise-Marguerite
Vandercruse est la fille de François Vandercruse
dit
Admis
à la maîtrise en 1755, il pratique d'abord largement la marqueterie de fleurs,
puis plus volontiers les motifs géométriques: croisillons - enserrant ou non
des barbeaux ou bleuets, losanges imbriqués, coeurs et losanges entrelacés.
Dans les années 1760, il partage avec Oeben les décors en cercles imbriqués. En
un temps où s'impose l'acajou, il préfère les plaquages de bois clairs, bois de
rose puis citronnier. Il livre surtout des meubles légers et des commodes transition,
à caisson droit sur pieds galbés.
RVLC
réalise plusieurs secrétaires en armoire de forme légèrement galbée ouvrant à
rideaux coulissants, avec des bronzes d'un rocaille assagi. Plus tard le modèle
achevé du secrétaire ouvrira à abattant ou à cylindre. A l'intérieur de
celui-ci, la marqueterie partiellement colorée conserve sa vivacité d'origine.
Thérèse
Riesener est la nièce du peintre Eugène Delacroix, cousin
germain de son père Léon RIESENER : Eugène Delacroix est le quatrième
enfant de Charles Delacroix et de Victoire Oeben. Son père a été le secrétaire
de Turgot (homme politique libéral) qu'il a suivi de Limoges à Paris. Député de
Le
couple a eu, au total, quatre enfants : trois garçons et une fille.
Charles-Henri, l’aîné, est né le 9 janvier 1779 et a fait une très belle
carrière dans les armées impériales. Promu maréchal de camp honoraire en 1815,
il est démobilisé avec le grade de général (mais en qualité de demi-solde)5. Le
second enfant, une fille, Henriette, est née en 1780 et est morte en 1827.
C’est en 1797 qu’elle épouse Raymond de Verminac (1762-1822)6, un diplomate.
Elle recueille son frère en 1814, à la mort de sa mère. A la demande de son
mari7, David fait son portrait (Musée du Louvre), en 1799, dans une formule
qu'il développe dans les dernières années de
petite fille de Pierre Joseph PROUVOST, (1699-1774) (frère de
Jacques Prouvost-Florin), maître
de manufacture, échevin de Roubaix, et de Marie Jeanne de LE BECQUE , 1707-1778, « d’azur à un chevron
d’or accompagnés en chef de deux vols d’argent et en pointe d’une bécasse
d’or » , famille dont le tronc se perd dans le XIII° siècle et qui fournit
jusqu'à 17 échevins à Roubaix, sept religieuses de l'Hôpital Sainte Elisabeth, et Marie Barbe de
Lespierre;
nièce de Béatrix Prouvost est entrée à l’hôpital Sainte Elisabeth
de Roubaix, le 15 janvier 1749, à dessein d'y être religieuse et elle y
professe et en a été fait prieure en l'an 1764 née le 6 février 1728, fut chanoinesse de Saint Augustin ;
fondé en 1500 Isabeau de Roubaix, en 1764 ; Béatrix s’illustra lors de
nièce de Jacques II Prouvost (1699-1774) inhumé dans l'église de Roubaix), Maître de
manufacture, épouse à Roubaix 1712 Marie-Agnès Florin (1712-1767), fille de
Jean Nicolas Florin, membre de
Nièce aussi de Liévin-Joseph DEFRENNE, important toilier associé à « la grande maison de Lille « Veuve Deldicq et fils-Brovellio-et Cie ».
Quelques figures parmi les descendants de Catherine Françoise Prouvost
née le 6 août 1752,
Roubaix (59), décédée le 18 septembre 1801,
Comines (59) (à l'âge de 49 ans). Mariée le 30 avril 1782
avec François
Joseph Durot, né en 1747, décédé en 1815 (à l'âge
de 68 ans), bourgeois de Lille,
Fille :
Catherine
Françoise Josèphe Durot, née en 1784, Lille (Nord), décédée le 27 mars 1855,
Lille (Nord) (à l'âge de 71 ans). Mariée le 1er thermidor an X
(20 juillet 1802), Comines (59), avec Charles
Frédéric Joseph Lauwick, né le 28 octobre 1782,
Comines (Nord), décédé le 23 juillet 1851,
Lille (Nord) (à l'âge de 68 ans),
Petits enfants :
Bernard
Joseph Lauwick, né le 23 novembre 1806,
décédé en 1859 (à l'âge de 53 ans).
Marié en 1838 avec Clémence van Rullen,
née en 1817, Gand (Flandre-Orientale, Belgique), décédée en 1886,
Heusden (à l'âge de 69 ans),
Alexandre
Lauwick, né le 24 mars 1823,
Lille (59), décédé le 6 février 1886,
Paris 8e (à l'âge de 62 ans), artiste peintre.
Marié le 8 février 1864,
Paris, avec Thérèse
Riesener, née le 22 octobre 1840,
Paris 2e, décédée en 1932 (à l'âge de 92 ans),
Françoise
Lauwick, 1826,
Mariée le 3 mai 1848
Paul de Roucy, 1817, 1900
Fernand
Lauwick, né le 13 septembre 1847,
Lille (59), décédé en 1930 (à l'âge de 83 ans), propriétaire à Lannoy.
Marié le 28 février 1881,
Lannoy, Nord, avec Elise Parent,
décédée, dont
Marthe
Lauwick, née le 4 juillet 1854,
Seclin (Nord), décédée le 5 juillet 1890,
Paris (à l'âge de 36 ans).
Mariée le 19 avril 1875,
Seclin (Nord), avec Paul
Duphénieux, né le 28 avril 1837,
Cajarc, 46, décédé le 13 mai 1913,
Cajarc, 46 (à l'âge de 76 ans), lieutenant-colonel
commandant le 1er régiment des mobilisés du Lot (1870-1871),
Berthe
Lauwick, née le 9 juillet 1856,
Seclin (Nord), décédée le 9 juillet 1935,
Zwevegem, Flandre-Occidentale (Belgique) (à l'âge de 79 ans). Mariée le 15 avril 1882,
Seclin (Nord), avec Raymond Van
de Venne, né le 23 novembre 1843,
Zwevegem, Flandre-Occidentale (Belgique), décédé le 4 mars 1926,
Zwevegem (Flandre-Occidentale (Belgique) (à l'âge de 82 ans), notaire, député, sénateur belge,
Clémentine
Lauwick, née le 1er novembre 1828,
Gand, décédée le 3 février 1900,
Gand (à l'âge de 71 ans).
Mariée le 21 juin 1860,
Gand, avec Léon Le Grand,
né le 1er novembre 1828,
Gand, décédé le 29 septembre 1910,
Heusden (à l'âge de 81 ans), consul de France,
Oswald
Lauwick, né le 12 janvier 1844,
Gand (Flandre-Orientale, Belgique), décédé le 22 mars 1907,
Gand (Flandre-Orientale, Belgique) (à l'âge de 63 ans),
lieutenant-général de l'Armée Belge, major
d'état-major. Marié le 9 juillet 1876,
Saint-Josse-ten-Noode, avec Marie
Corbisier de Méaultsart, née le 23 juin 1854,
Bruxelles (Belgique), décédée,
Ida Lauwick, née en 1836, décédée
en 1878 (à l'âge de 42 ans).
Mariée avec Octave de Meulenaere, né en 1840, décédé en 1905 (à l'âge de 65
ans),
Gabrielle
Lauwick, née
en 1865, décédée en 1945 (à l'âge de 80 ans).
Mariée avec Georges
Itasse,
Marguerite
Lauwick, née
en 1856, décédée en 1930 (à l'âge de 74 ans).
Mariée en 1888 avec Raoul Chagrin
de Saint-Hilaire, né en 1854.
Philippe
Lauwick, né
en 1859, décédé en 1940 (à l'âge de 81 ans), capitaine
de vaisseau, chevalier de la Légion d'honneur. Marié avec Marie-Anne
Chagot,
Raoul de
Roucy. Marié
en 1887 avec Angèle Vassard de
Berchère.
Louis de
Roucy, 1853, 1933
Marthe Bussière de
Nercy de Vestu,
Albert
Duphénieux, né le 10 février 1876,
La Roche-sur-Yon, décédé (filleule: Jehanne du
Breil de Pontbriand 1923-1984). Marié en 1899 avec Gabrielle
Bara, née en 1878, décédée en 1959 (à l'âge de 81
ans).
Marthe Van de
Venne, née le 24 mai 1887,
Zwevegem (Flandre-Occidentale (Belgique), décédée le 21 octobre 1942,
Saint-Laurent-des-Mortiers (Mayenne) (à l'âge de 55 ans).
Mariée le 19 novembre 1912,
Zwevegem, Flandre-Occidentale (Belgique), avec Louis du Breil de
Pontbriand, né le 30 janvier 1885,
Saint-Buc, Le Minihic-sur-Rance (Ille-et-Vilaine), décédé le 2 octobre 1931,
Saint-Laurent-des Mortiers (Mayenne) (à l'âge de 46 ans).
Germaine Le
Grand, née le 19 juin 1865,
Gentbrugge, décédée le 28 juillet 1925,
Melle (à l'âge de 60 ans).
Mariée le 17 mai 1887,
Gand, avec Léon de Séjournet de
Rameignies, né le 21 juin 1857,
Rameignies, décédé le 12 novembre 1936,
Merelbeke (à l'âge de 79 ans).
René Le Grand, né le 2 octobre 1866,
Gentbrugge, décédé le 20 mars 1921,
Gand (à l'âge de 54 ans), avocat.
Marié le 11 janvier 1921,
Gand, avec Cécile de
Behault, née le 29 octobre 1881,
Gand, décédée le 17 décembre 1981,
Gand (à l'âge de 100 ans) (sans postérité).
Adrien
Groverman, né le 10 août 1859,
Gand, Belgique, décédé le 26 septembre 1919,
Gand, Belgique (à l'âge de 60 ans).
Marié le 17 juillet 1886,
Gand, Belgique, avec Marie Maertens de
Noordhout, née le 14 septembre 1867,
Gand, Belgique, décédée le 8 mai 1947,
Evergem, Belgique (à l'âge de 79 ans).
Robert
Groverman, né le 2 décembre 1860,
Gand, Belgique, décédé le 13 mai 1951,
Bruges, Belgique (à l'âge de 90 ans).
Marié le 14 novembre 1882,
Gentbrugge, Belgique, avec Marie de la Kethulle
de Ryhove, née le 4 juillet 1860,
Gand, Belgique, décédée le 1er juillet 1914,
Gentbrugge, Belgique (à l'âge de 53 ans).
Eva Groverman, née le 13 octobre 1868,
Gand, Belgique, décédée le 6 janvier 1926,
Pietra-Ligure, Italie (à l'âge de 57 ans). Mariée le 1er août 1891,
Gand, Belgique, avec Ferdinand de
Maleingreau d'Hembise, né le 27 juin 1855,
Sainte-Croix, Bruges, Belgique, décédé le 3 octobre 1923,
Sainte-Croix, Bruges, Belgique (à l'âge de 68 ans) (5 enfants).
Prisca
Groverman, née le 2 avril 1874,
Gand, décédée le 17 octobre 1939,
Ixelles (à l'âge de 65 ans). Mariée le 24 mai 1900,
Gentbrugge, avec Albert de le Court,
né le 7 mai 1873,
Schaerbeek, décédé le 30 mai 1922,
Ixelles (à l'âge de 49 ans), directeur au ministère de la justice.
Armand de
Meulenaere, né le 14 juillet 1862,
décédé le 9 octobre 1904
(à l'âge de 42 ans). Marié avec Elisabeth de Moerman
d'Harlebeke, née le 22 août 1867,
décédée le 15 février 1950
(à l'âge de 82 ans).
Clara de
Meulenaere, née le 25 novembre 1863,
Gand (Flandre-Orientale, Belgique), décédée le 1er février 1919,
Gand (Flandre-Orientale, Belgique) (à l'âge de 55 ans). Mariée le 10 septembre 1889,
Gentbrugge, avec Léon,
baron de
Pelichy, né le 13 février 1863,
Gand, Flandre-Orientale (Belgique), décédé le 1er mars 1936,
Gentbrugge, Flandre-Orientale (à l'âge de 73 ans).
Marie-Cécile
Itasse, née
en 1897, décédée en 1932 (à l'âge de 35 ans). Mariée le 1er août 1922
avec Jacques Famin,
né le 10 décembre 1897,
Hanoï (Tonkin), décédé le 26 mai 1932,
La Rochelle (17) (à l'âge de 34 ans), lieutenant
d'infanterie.
Germaine
Bigle, née
en 1893, décédée en 1975 (à l'âge de 82 ans). Mariée le 15 février 1912,
Saint-Pierre du Gros-Caillou, Paris, avec Jean Le Lieur, comte de Ville sur
Arce, né en 1886, décédé en 1924 (à l'âge de 38
ans).
Hervé Lauwick, né le 12 septembre 1891,
Ker-Hor (Finistère), décédé en 1975
(à l'âge de 84 ans), homme de lettres, écrivain,
auteur dramatique. Marié
le 6 avril 1961
avec Françoise
Robert de Larzillé.
Ghyslaine
Lauwick. Mariée
avec Harold
Fairweather, capitaine au 19ème
Régiment de Lanciers du Bengale.
Carmen de
Roucy, née le 19 novembre 1884,
Bagnières-de-Bigorre (Hautes-Pyrénées), décédée le 7 juin 1948,
Paris 16e (à l'âge de 63 ans). Mariée en 1905 avec Marcel Le Caron de
Chocqueuse, né le 9 décembre 1878,
Paris, décédé en 1942 (à l'âge de 64 ans), lieutenant
au 54e RI (en 1903).