Blason Jean Prouvost, juge Seigneurie de Croix, XIV°-Thierry-Prouvost-蒂埃里·普罗沃

Armoiries modernes:
D'argent au sautoir de gueules au chef d'azur à deux roues d'or.


Jehan Prouvost
était juge de la Seigneurie de Croix en 1368 :
son écu portait
 un sautoir surmonté de deux roues.

Lille-archives-Jehan-Prouvost-Thierry-Prouvost-蒂埃里·普罗沃

Scel Jehan Prouvost


Jehan Prouvost, juge de la Seigneurie de Croix à Lille en 1368


Jehan-Prouvost-Lille-archives-Thierry-Prouvost-蒂埃里·普罗沃

Nous avons, par vif  intérêt pour l’ héraldisme pour sa représentation symbolique d’une lignée, repris dans les archives départementales du Nord 

l’ écu de Jehan Prouvost au rattachement non prouvé, juge de la seigneurie de Croix en 1368, pour la famille Prouvost qui n'utilisait pas d’armoiries, 
à la différence de la plupart des familles  qui l’ entouraient et apposant émaux et couleurs selon les lois héraldiques,  
qui sont les "armoiries modernes", 

inscrites dans le Grand Armorial International,  hébergement Généanet.

La ville de Croix est contigue de Wasquehal et de  l'actuel parc Barbieux à Roubaix .


Certains font état pour la famille Prouvost du blason de Jeanne d’Arc, du frère de laquelle, Pierre d’Arc, chevalier du Lys, 
la branche  ainée des  Henri  Prouvost descend par les Florin, Bacon de Sains et Macquart de Terline ; 
Carlos Florin fut placé dans le rang "Famille" lors des cérémonies de canonisation de la Sainte au Vatican le 9 mai 1920.
cette descendance est d’ailleurs contestée par certains.
«  Il a été clairement démontré que Pierre d'Arc n'a eu qu'une seule femme et un seul fils. 
Il ne s'est jamais marié à Jeanne de Prouville, et n'a donc pas eu de postérité, au delà de son fils unique » 
Boucher de Molandon;"Pierre du Lis, extinction de sa descendance en 1501».

Blason-du-Lys


Descendance-contestee-Pierre-d-Arc
La ville de Croix longe l'actuel parc Barbieux à Roubaix 
qui correspondait au fief des Huchons,
attaché à la famille et au nom Prouvost
au Moyen-âge
.

Divers: "
Jacquesmes « Le Provost » est cité à Lille le 6 mai 1327 ; son sceau portait un lion ; nous trouvons dans les archives de l’Abbiette de Lille,
actuellement aux archives départementales de Lille, mention de Jehan Prouvost, juge de la seigneurie de Croix à Lille, le 3 février 1368,
son écu portait un sautoir surmonté de deux roues ; Jacques « Li Prouvost », chevalier est cité en 1383 ;
Jacquesme Le Provost, juge de l’Abiette de Lille en 1431 portait un écu à un lion." De Puymège: les Vieux noms de France


Devise
depuis au moins 1748

"Laus Deo Semper"


lAUS dEO sEMPER? DEVISE PROUVOST 1748
Pierre Prouvost en 1748: devise dans sa généalogie manuscrite

Devise Prouvost XIX°
Charles Prouvost-Scrépel: Devise dans les livres d'inventaires de dernière partie du XIX° siècle


Amédée-Charles Prouvost : « Que mes petits-enfants demeurent de bon chrétiens fideles à nos traditions familiales : « Laus Deo Semper! »


Couverture avec devise Prouvost Laus Deo Semper

Edition dans les années 1950 de la généalogie de Pierre Prouvost de 1748

«  Attention à l’utilisation de l’Annuaire des familles qui était rédigé avec les informations venant des familles et parfois des descendances ont été volontairement « oubliées » ; il faut toujours avoir recours à l’état-civil, d’autant plus que l’on peut vérifier par nous-mêmes sur le Site des ADN ; il faut aussi se méfier en ce qui concerne le prénom usuel qui peut être souvent au 19° s le dernier prénom, parfois le second ; en principe pour les prénoms et la date de naissance  les actes de naissance qui peuvent être rédigés jusqu’à 3 jours après l’évènement, l’ordre et l’orthographe sont parfois contredits dans l’acte de mariage ; on ne peut pas mettre toutes les variantes dans une généalogie et tout référencer serait au détriment de la masse d’informations que l’on peut engranger dans nos bases. Si l’on veut changer l’orthographe d’un nom il n’y a qu’une seule solution : la rectification d’état-civil ; au 19° siècle il y a eu beaucoup de rectifications de complaisance car ce n’est pas parce qu’une famille modeste, non noble, avait un nom écrit en plusieurs parties au 18° s que l’on peut de son propre chef l’écrire selon l’usage ancien ; de toute façon cela ne ferait, sans jugement, qu’alimenter des ouvrages que je possède sur la Fausse Noblesse et la Noblesse d’apparence ; en généalogie on ne trompe pas les chercheurs ! Depuis quelques années, le Bottin Mondain exige des preuves par actes d’état-civil et cela devrait être étendu au Livre des Familles où il y a, en plus, des filiations fausses ou douteuses. » Philippe Rammaert


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