Quelques illustrations de la lignée des
Agache

Nom venant d’un nom patois signifiant « Pie ».

Nom venant d’un nom patois signifiant « Pie ».

Agache figure dans le premier registre d’état civil de 1573.

L’histoire de la famille AGACHE, d’Hem, puis Wattrelos et Lille reste à écrire car pendant longtemps la généalogie commençait avec Pierre AGACHE et son épouse Jeanne HENNEUSE, censiers à l’Hempenpont, hameau d’Hem, séparé d’Annappes par la rivière de la Marque qui prend sa source à Mons-en-Pevèle avant que son cours ne soit canalisé au XIX° siècle à Croix et Marcq-en-Baroeul pour rejoindre la Deûle.

Dans ses souvenirs de la Guerre 1914/18, écrits au jour le jour, Suzanne HORAIN-DELESPIERRE, jeune fille, nous apprends qu’elle s’est rendue au presbytère d’Hem, chez l’abbé Pierre AGACHE, cousin germain de sa grand’mère maternelle, Sophie DUCATTEAU-AGACHE,  pour lui emprunter la généalogie de leur famille dont la descendance, déjà très importante en ligne masculine et féminine, avait été recensée avec une grande méticulosité, avec indication des parrains, marraines, témoins et professions, à partir des enfants du couple AGACHE-HENNEUSE que l’on trouve de 1686 à 1692 sous la forme AGACE dans le premier registre paroissial d’Hem remis à la première municipalité avec les suivants au début de la Révolution au moment de la sécularisation de l’état-civil.

 Dans ses travaux généalogiques se trouvant dans les archives de la Société d’Etudes de la Province de Cambrai, le chanoine LEURIDAN, fils de l’archiviste de Roubaix, nous donne une introduction de la généalogie de cette famille qui, pour le moment, ne semble avoir aucune attache avec la famille hémoise :

« La famille AGACHE existait à Roubaix au XV° siècle ; elle y occupait un rang honorable. »

« Dès 1491, elle offre des notables, un échevin devenu lieutenant du baille, deux ministres des biens de l’église. Plus tard, elle fournit, avec d’autres familles du même nom et sans doute d’une même origine, venues des villages voisins, une vingtaine de maîtres à la manufacture et parmi eux deux égards. On y trouve aussi des censiers de la Haverie, dont un descendant entra au corps échevinal en 1777. »

« Ce nom d’Agache, encore très répandu à Roubaix et aux environs, est l’appellation familière de la pie, agace ou agache. Il a été orthographié de plusieurs manières dues à des prononciations défectueuses dans lesquelles la transformation du G en Z ou en CH, et son aspiration en H à la mode des flamands jouent un grand rôle : Ahaze, Ahaize, Ahage, Ahache. De là sont nées les formes Hage et Hache, adoptées par d’autres familles, peut-être de même souche. On trouve aussi fréquemment l’addition de l’article au nom : l’agache d’où, par suppression de l’apostrophe, est venu le nom de Lagache. »

 Nous avons découvert la mention du premier mariage du mariage AGACHE-HENNEUSE non loin d’Hem à Flers le 16 mai 1685 et dans l’Inventaire des Sceaux de la Flandre de Germain DEMAY, dans la section consacrée aux Echevins et juges rentiers à Annappes, le sceau de Pierre AGACHE, échevin de la cour d’Annappes en 1481, avec la description :

« Sceau rond de 20 mill. – Arch. Hospitalières de Lille ; maladreries. - Une pie accompagnée d’une étoile. -  + Seel . pirart + agache  (Scel Piérart Agache) - Acquisition de terres à Ascq. – 10 décembre 1481. »

Comme presque toujours les textes anciens, scellés par des titulaires de fonctions, ne permettent pas de les relier à des familles implantées dans le même secteur

Assez récemment nous nous sommes enfin penchés sur les nombreux actes notariés conservés dans le fonds du Tabellion des Ville et Châtellenie de Lille conservé aux Archives Départementales du Nord d’une manière complète pour la châtellenie à partir de 1671  et partielle mais plus ancienne pour la Ville de  Lille, en procédant par sondages dans les actes les plus anciens

Cette méthode a porté ses fruits et a permis de lever partiellement le voile sur les origine de la famille AGACHE d’Hem qui nous intéresse en écartant une origine purement hémoise qui est avancée par des amateurs de généalogie qui n’ont pas étudié la question à partir des documents originaux. Il existait en effet une famille de charpentiers AGACHE à Hem représentée par Jean AGACHE et Marguerite PLUQUET contemporains des parents de Pierre AGACHE-HENNEUSE, dont nous avons fini par découvrir le baptême à Croix le 9 janvier 1647, fils de Denis AGACHE, originaire d’Annappes, fixé un moment à Croix par son mariage le 3 novembre 1641 avec Jeanne CASTELAIN, puis à Wasquehal puis Hem vers 1668 où il fut le premier de sa famille à occuper à l’Hempenpont la cense appartenant à une famille bourgeoise de Lille et occupée par ses descendants qui vont l’acquérir après la Révolution et l’occuper jusqu’en 1899, époque du départ de Jean Baptiste AGACHE, cultivateur et fabricant de pannes à Hem puis fabricant de ciment à Antoing.

Suzanne DELESPIERRE, ou l’abbé AGACHE, avait laissé la possibilité de continuer à remonter l’ascendance en commençant par la génération D alors que maintenant on peut placer Denis à la génération C et ses parents Vaas AGACHE et Marie Madeleine LOUAGE à la génération B sans que l’on puisse présumer à ce jour de la génération A. Vaas AGACHE est né vers 1580 et marié avant 1608. Outre Denis et 3 filles, il a eu 3 fils, Pierre, Vaas et Jean, laboureurs à Annappes et certainement décédés célibataires. Annappes, bien que connu comme domaine carolingien ne possède pas d’archives anciennes autres que les registres de catholicité comme beaucoup d’anciens villages environnants si bien que la recherche ne peut être continuée qu’en découvrant de nouvelles sources si elles existent encore.

Pierre AGACHE-LEMAY, génération E, marié à Annappes en 1716, continue la descendance dans la famille DUCATILLON  et Pierre AGACHE-PICAVET, génération F, marié à Mouvaux en 1749, et qui est l’auteur des familles AGACHE-CARDON à Hem, GADENNE à Hem, DEHEULLE à Bondues, DELEDALLE à Wasquehal et AGACHE-AGACHE à Roubaix.

Jean Baptiste AGACHE-CARDON, génération G, marié à Flers en 1793, cultivateur et fabricant de pannes à l’Hempenpont, aura 7 enfants : Pierre AGACHE-DUTHOIT, à la cense de la Tannerie à Wattrelos, Jean François AGACHE-DESQUIENS, cultivateur, fabricant de sucre et de pannes dans la ferme familiale, Donat AGACHE-TAILLIARD, négociant puis industriel à Lille, DELEMASURE à la ferme des Marchenelles à Annappes, DELECROIX dans la ferme d’En Bas à Hem,  DUQUENNOY, cultivateurs puis fabricants de toiles à Chéreng, LECLERCQ, cultivateurs et brasseurs à l’Hempenpont. Les descendants ont occupé des sièges de Maire et Député, et se sont lancés dans l’industrie à la suite de leur oncle Donat AGACHE, d’abord associé de Florentin DROULERS et dont les enfants et gendre occuperont des places prépondérantes dans l’industrie régionale. On trouve bon nombre de descendances dans l’Annuaire des Grandes Familles du Nord soit sous leur nom propre, soit dans des descendances féminines d’autres familles : DUCATTEAU, DELESPIERRE, MAHIEU, VARRASSE, BESEME, LIAGRE, AGACHE, KUHLMANN, ODOUX, DANJOU, LECLERCQ, LOTTHE, VERSTRAETE, DELEMAZURE, DUQUENNOY, TIERS, LEFEBVRE, LEPERS , DELEPOULLE, DELANNOY, etc…      

   J’ai vu une erreur concernant les origines à Hem de la famille Agache  établie à Wattrelos avant de se lancer dans l’industrie à Roubaix pour la branche Ducatteau-Agache (après la branche de  Donat Agache-Tailliar qui s’est d’abord associé à Lille avec Florentin Droulers-Cuvelier, avant de conserver les usines de Pérenchies transmises ensuite à ses enfants alliés entre autres à 2 enfants de Frédéric Kuhlmann-Woussen venu de Colmar à Lille).

Jean Agache-Henneuse est arrivé à Hem après son mariage en 1685 à Flers ; j’ai dû faire des recherches systématiques dans les actes notariés et les registres paroissiaux des communes voisines pour découvrir qu’il était né à Croix et que son père et son grand’père étaient d’Annappes, où des Agache sont cités très anciennement comme échevins et avaient un sceau représentant une pie ; pour le moment je ne suis pas remonté plus haut mais les supposés parents de Jean Agache-Henneuse à Hem sont des homonymes sans parenté prouvée tant le nom est répandu dans la région lilloise." [1]

Le Chanoine Marc Tequi fait l’inventaire des orgues de salon Mutin Cavaillé-Coll : 5 instruments furent commandés entre 1899 et 1923, par des Agache : Alfred Agache à Paris, Auguste Agache à Bizy-Vernon (27), et de Donat, Edmond et Edouard Agache à Lille.



[1] : Philippe A. Rammaert-Mignot

La lignée :

Jean Agache ca 1615-/1677 &
Marguerite Pluquet ca 1615-/1677
|
Jean Agache ca 1644-1727 &1685
Jeanne Henneuse 1641-1726
|
Pierre Agache 1687-1742 &1716
Marie Joseph Le May ca 1680-1761
|
Pierre Joseph Agache 1717-1781

Propriétaire à Hem &1749
Marie Jeanne Picavet ca 1723-1788
|
Jean Baptiste 1752-1823, Propriétaire, censier à Hem,

&1793 Marie Thérèse Cardon 1765-1845

d’où les trois branches:

 

Branche ainée : Pierre Agache,

le 31 octobre 1795, Hem , décédé le 1er février 1851, Wattrelos  (55 ans), cultivateur à Wattrelos,  marié       le 16 mai 1827, Wattrelos, avec Fidéline Duthoit, née le 30 mars 1802, Wattrelos , décédée le 2 janvier 1889, Roubaix.

Branche puinée : Donat Agache,

le 23 février 1805, Hem , décédé le 31 janvier 1857, Lille  (51 ans), filateur de lin,  marié  le 4 août 1840, Lille,  avec Julie Tailliar, née le 12 août 1814, Lille,  décédée en 1895 (81 ans), 

Quelques personnalités de cette branche (sans liens généalogiques) et alliances:

Édouard Agache,le 16 juillet 1841, Lille, décédé en 1923 (82 ans), filateur et tisseur de lin à Lille, industriel chimiste, fondateur de la S.A. des Ets Agache-fils, administrateur de la Compagnie des Chemins de Fer du Nord, présidents des Ets Kuhlmann.

Edouard Agache

Donat Agache a créé, en 1824, un négoce de lin à Lille, dans le quartier Saint-Sauveur. Quatre ans plus tard, il s'établit en tant que fabricant dans le même quartier. En 1848, les révolutions de février et juin entraînent une crise économique. À Pérenchies, la filature Le Blan ferme. Donat Agache s'empresse de la remettre sur pied. Et Pérenchies va devenir le fief de la dynastie Agache. La ville se développe en même temps que l'usine qui devient la plus importante entreprise française de lin. Agache, lui, fait fortune. Donat Agache a plusieurs enfants dont un fils, Édouard, qui reprendra l'entreprise à la mort de son père. Il bâtira un véritable « empire » du lin.

Tout au long de la Première Guerre mondiale, les usines Agache subissent de gros dégâts. À l'Armistice, l'usine est complètement détruite. La puissance financière des Agache est intacte. Avec l'apport des indemnités des dommages de guerre, l'entreprise peut reprendre son activité dès 1919. La société subit, comme tout le monde, mais traverse relativement facilement la crise de 1929 et l'occupation de 1939-1945. À la Libération, l'activité est toujours aussi bonne et les dirigeants se succèdent. À la fin des années 60, le textile va beaucoup moins bien. Le lin subit la crise de plein fouet. Et, en 1937, l'entreprise Agache est cédée aux frères Willot, dont l'empire sera lui même racheté par Bernard Arnault.

Ville dans l'usine ou usine dans la ville, Agache a profondément transformé le village de Pérenchies. L'ensemble était très imbriqué dans la ville qui vivait au rythme de l'usine. Pour le patronat de l'époque, l'intérêt était que le personnel vive à proximité de son lieu de travail. La société Agache va donc construire des ensembles de maisons ouvrières. Mais ce n'est pas tout puisqu'Agache va aussi créer une société de football, une salle des fêtes, une salle de gymnastique, une harmonie, une chorale... Et aussi une maison de retraite. De la vie à la mort, l'existence entière des ouvriers était ainsi prise en charge par l'entreprise. En 1990, lorsque l'usine ferme, ce sont 1 000 ouvriers qui se retrouvent sans emploi. «  Et la ville a perdu 75 % de sa taxe professionnelle et 44 % des impôts, rappelle le maire. On a mis plus de vingt ans à reconstruire. »  La Voix du Nord

 marié   le 20 mai 1873 avec Lucie Kuhlmann, née le 31 août 1852, Loos , décédée, fille de

 

frederickuhlmann
Portrait par Franz Walter Winterhalter vers 1863

Kuhlmann-Carrier-Belleuse

Charles Frédéric Kuhlmann1, né à Colmar le 22 mai 1803, mort à Lille le 27 janvier 1881, est un chimiste, chercheur universitaire et industriel français. Pionnier de l'application des sciences aux arts industriels, il est fondateur du groupe industriel « Pechiney-Ugine-Kuhlmann », l'un des principaux groupes industriels chimiques français des XIXe et XXe siècles ; il est co-fondateur de la banque Crédit du Nord.

Charles Frédéric Kuhlmann est le fils de Georges Chrétien Kuhlmann, géomètre-géographe. Il est le père de Jules Frédéric Kuhlmann, né à Lille le 18 juin 1841 et mort à Ragatz, en Suisse, le 2 août 1881.

Il est aussi le beau-père de Claude Auguste Lamy, professeur de physique à l'université de Lille. Claude Auguste Lamy est le premier à avoir isolé2 14 grammes de l'élément thallium en 1862, avec un spectroscope prêté par Jules Frédéric Kuhlmann3.

Kuhlmann-EugeneKuhlmann-Eugene

Scientifique lillois

Frédéric Kuhlmann fit ses études à Nancy puis entra directement au laboratoire du chimiste Nicolas Vauquelin, à Paris4.

En 1823, Nicolas Vauquelin l'envoya à Lille pour qu'il y enseigne la chimie dans un cours municipal soutenu par Charles Delezenne et la Société des sciences, de l'agriculture et des arts de Lille. Il devint titulaire de la chaire municipale de chimie et entra en contact avec les industriels du Nord. Il occupa la chaire de chimie jusqu'en 1854, année où elle est attribuée à Louis Pasteur dans le cadre de la faculté des sciences de Lille nouvellement créée.

Président de la Société des sciences, de l'agriculture et des arts de Lille, il devint président de la chambre de commerce de Lille en 1840.

Le 23 septembre 1853, la chambre de commerce de Lille organisa une réception en la présence de Napoléon III ; Frédéric Kuhlmann y fit un discours remarquable sur l'essor de l'industrie nationale5, d'où découle l'autorisation d'ouvrir une école supérieure industrielle à Lille. Frédéric Kuhlmann devint ainsi membre du conseil de surveillance de l'École des arts industriels et des mines à partir de 1854. Il contribua aussi à la fondation de la Société industrielle du Nord de la France et soutint en 1872 la transformation de l'École des arts industriels et des mines en l'Institut industriel du Nord, devenu aujourd'hui l'École centrale de Lille.

Entrepreneur industriel, fondateur des établissements Kuhlmann

La société en commandite à l'origine des établissements Kuhlmann est fondée en 1825. La première usine est construite sur un terrain de 80 ares loué à Loos. Elle produisait de l'acide sulfurique d'après le procédé des chambres de plomb et s'enrichira par la suite de plusieurs fabrications nouvelles. En 1829, Frédéric Kuhlmann y en œuvre le procédé Leblanc pour produire du carbonate de soude alors utilisé pour décolorer les fibres textiles. En 1833, il fut l'un des premiers à produire l'acide sulfurique par le procédé dit « de contact » et à utiliser des catalyseurs dans la chimie industrielle, notamment lorsqu'il découvre en 1838 la fabrication d'acide nitrique à partir d'ammoniac en présence de platine (réaction qui sera plus tard utilisée dans le procédé Ostwald)6.

Rapidement, son activité prit de l'ampleur et s'orienta aussi vers la production d'engrais et de colorants. Il fut notamment pionnier pour développer des super-phosphates commercialisés comme fertilisants aux producteurs de betteraves à sucre lillois. Les établissements Kuhlmann s'étendirent, avec une seconde usine à La Madeleine en 18477, une autre la même année à Amiens et une quatrième à Saint-André-lez-Lille en 1852, qui forment les établissements Kuhlmann ou manufacture des produits chimiques du Nord. À sa mort, en 1881, Frédéric Kuhlmann est à la tête de l'une des sociétés qui formeront l'un des principaux groupes industriels chimiques français des XIXe et XXe siècles, le groupe industriel « Pechiney-Ugine-Kuhlmann ».

Notable lillois

Propriétaire fondateur des établissements Kuhlmann, membre de la chambre de commerce de Lille à partir de 1832, Frédéric Kuhlmann en fut président de 1840 à 1848. Il fut aussi conseiller général du département du Nord représentant le canton Lille Nord-Est.

Plus gros actionnaire8du comptoir d'escompte de Lille en 1848 puis de la banque Crédit du Nord en 1866, il établit ses neveux Théodore Kiener9, puis Eugène Kiener, comme directeurs du Crédit du Nord de 1853 à 1876.

Élevé au rang de Commandeur de la Légion d'honneur, Frédéric Kuhlmann était aussi détenteur de nombreuses distinctions étrangères10.

Frédéric  et charlotte Kuhlmann eurent :

Cécile Kuhlmann, mariée en 1854 avec Auguste Lamy, né le 15 juillet 1820, Ney (39), décédé en 1878 (58 ans), professeur à la faculté des sciences de Lille, reçu à l'École normale en 1842, ami de son compatriote Louis Pasteur, avec qui il entretiendra une longue correspondance. Docteur ès-sciences en 1851, professeur à la faculté des sciences de Lille, découvreur du Thallium, métal inconnu auparavant, qu'il réussit à isoler, Commandeur de la Légion d'honneur. Dont : Edouard Lamy, directeur de l'usine Kuhlmann d'Amiens,  marié       avec Berthe Mollet (témoins: Louis Pasteur 1822-1895), dont

    Frédéric Lamy, né le 9 septembre 1887, Amiens, décédé le 3 mai 1976 (88 ans).

    Jacques Lamy, né en 1892, tué en 1915, dans l'Argonne (23 ans).

    Emmanuel Lamy, né le 20 décembre 1911, décédé le 21 décembre 2008, Neuilly-sur-Seine, Hauts-de-Seine, inhumé le 24 décembre 2008 (97 ans), inspecteur des finances,  marié avec Odile Frédéric-Moreau, née en 1918.

Eugénie Lamy, mariée en 1878 avec Charles Marie Constant Lamy, né en 1851, décédé en 1905 (54 ans), administrateur des établissements Kuhlmann, fondateur d'une imprimerie (mariage entre cousins)

Pauline Frédérique Kuhlmann, née en 1833, décédée le 15 avril 1910, Lille  (77 ans), mariée le 10 mai 1852 avec Frédéric Kiener, né le 14 septembre 1822, Colmar (Haut-Rhin), décédé le 15 novembre 1871, Lille  (49 ans), banquier.  

Jules Frédéric Kuhlmann, né en 1841, décédé en 1881 (40 ans),  marié       en 1878 avec Julia Agache, née en août 1851, Lille, décédée le 11 mars 1901, Lille  (49 ans), dont

Frédérique Kuhlmann, née le 15 avril 1882, décédée, mariée le 21 septembre 1903, Lille, avec Antoine du Boüays de La Bégassière, marquis romain et de La Bégassière, né le 24 septembre 1874, Paris VIII° , décédé le 7 mai 1919, Paris XVI° (75) (44 ans), secrétaire d'ambassade.

Lucie Kuhlmann, née le 31 août 1852, Loos , décédée, mariée le 20 mai 1873 avec Édouard Agache, né le 16 juillet 1841, Lille, décédé en 1923 (82 ans), filateur et tisseur de lin à Lille, industriel chimiste, fondateur de la S.A. des Ets Agache-fils, administrateur de la Compagnie des Chemins de Fer du Nord, présidents des Ets Kuhlmann.  

Ne Kuhlmann, mariée avec Emile Raguet.

Frédérica Kuhlmann, mariée avec Joseph Emile Colson, né le 29 janvier 1821, Saint-Aubin-sur-Aire (Meuse), décédé le 6 août 1870 (49 ans), général de brigade, commandeur de la légion d'honneur, le 12 viii 1821.

Publications scientifiques

Les œuvres écrites de Frédéric Kuhlmann, qui s'étendent de 1823 à 1874, ont été rassemblées dans un recueil édité en 1877. Elles comprennent 22 comptes rendus à l'Académie des sciences, autant de communications à la Société des sciences de Lille et neuf publications aux annales de chimie-physique. Elles traitent d'une grande diversité de sujets, depuis la teinture et le blanchiment des tissus jusqu'au cycle de l'azote et la nitrification en passant par la purification du sucre de betterave.

Expériences concernant la théorie des engrais, Mémoires de la Société royale des sciences, de l'agriculture et des arts de Lille, Lille : Impr. de L. Danel, 1846, in-8°, 21 p.

Expériences chimiques et agronomiques, Paris : V. Masson, 1847, in-8°, 200 p.

Recherches scientifiques, Paris, Masson, 1877

Prix Kuhlmann

Un prix en l'honneur de Frédéric Kuhlmann est décerné annuellement à une personnalité scientifique par la Société des sciences de Lille.

dont

Madeleine Agache, née le 9 avril 1874, Lille, décédée le 9 décembre 1939, Lille  (65 ans), mariée le 27 mars 1894, Lille, avec Maxime Descamps, né le 19 juin 1868, Lille, décédé le 6 mars 1914, Annappes  (45 ans), négociant en lin à Lille, associé à la maison "Descamps-Longhaye fils &Mas".  

Alfred Agache, né en 1875, Tours (37), décédé en 1959, Paris (75) (84 ans), architecte et urbaniste, parrain de l'urbanisme, ce mot aujourd'hui universellement connu fut créé par lui ,  marié        avec Agnès Duret, dont descendance.

Donat-Alfred Agache (1875 – 1934), sometimes called Alfredo Agache; son père aura une carrière d'artiste peintre et de musicien. L'entourage familial, qui le destina à une carrière de musicien qu'il ne suivra finalement pas, laissera des traces sur Alfred Agache aussi bien dans sa sensibilité artistique que dans sa faculté de compréhension de la mutation du système industriel.

Il étudia l'architecture à l'École des Beaux-Arts, puis la sociologie au Collège libre des sciences sociales où il se familiarisera avec la pensée de Durkheim.

Il adhéra ensuite au Musée social en 1902. Il devint en 1904 chef de mission d'une de ses antennes, le World's Fair, à Saint-Louis aux États-Unis.

formally planned the Brazilian cities of Rio de Janeiro, Recife, Porto Alegre and Curitiba in the 1940s and 1950s, supported by the Estado Novo fascist regime in Brazil. While his plans were often too expensive to be completed, they formed the basis of more practical plans, and the affordable parts of his plan were followed for several decades, although in Curitiba the so-called Agache Plan was retired and then superseded by later urban planning efforts beginning in the 1960s. Agache also co-founded the French Society for Urban Studies.
 
 
Alfred Agache
Tombe-Donat-Agache-Poissy

Agache-expo-progrès-social-Lille-Roubaix-1939

Donat-Agache-Poissy

En 1928, Donat Agache acquiert 25 hectares à Poissy, 108 rue de Villiers, vendus par la marquise d'Oissel sur sa propriété du château de Villiers et fait construire là une imposante maison néo-normande par l'architecte Henri Jacquelin. Les travaux commencent dès le 1er août de l'année 1928, En 1957, La moitié du domaine est laissé au profit du Foyer de la Charité de l'Île-de-France, puis en 1967 la totalité du domaine y compris la maison dont madame Agache a gardé l'usufruit jusqu'à son décès.

Marie-Lucie Agache, née en 1880, Pérenchies , décédée, mariée le 17 février 1903, Lille, avec Jean Delemer, né le 18 janvier 1872, Lille, décédé en 1927 (55 ans), industriel textile, Avocat.  

Marie Julie Agache, née le 4 avril 1845, Lille, décédée en 1921 (76 ans), mariée en 1868 avec Gilbert Jules Augustin-Thierry, né en 1843, décédé en 1915 (72 ans), écrivain, historien, 
Il publia, dès 1864, un important travail sur les révolutions d'Angleterre, et ensuite un grand nombre de romans, presque tous historiques, à tendances idéalistes, et où il aime à faire entrer un élément supra-naturel.
Nous citerons : l'Aventure d'une âme en peine (1875) ; le Capitaine Sans-Façon (1882) ; Marfa (1887) ; la Tresse blonde (1888) ; la Savelli (1890) ; Récits de l'occulte (1892) ; le Stigmate (1898) ; Conspirateurs et Gens de police (1903) ; la Mystérieuse Affaire Donnadieu (1909) ; les Grandes Mystifications littéraires (1911) ; la Fresque de Pompéi (1912).

fils d’Amédée Simon Thierry, jeune frère frère d’Augustin Thierry :

Amedee-Thierry-par-Gerome

Préfet, conseiller d'Etat, sénateur, Membre de l'Institut de France (Académie des Sciences Morales et Politiques, 13 mars 1841 [correspondant, 23 novembre 1833]), membre d'honneur (1865) de l'Académie des Sciences, Belles Lettres, et Arts de Besançon

Jeune frère d'Augustin Thierry, il commence sa vie active comme journaliste après un essai, comme son frère, de maître d'école. Il entre en relation avec le célèbre journal romantique d'avant-garde Le Globe et obtient un petit poste de fonctionnaire. Son premier ouvrage, en 1825, est une brève histoire de Guyenne et trois ans plus tard, paraît le premier volume d'une Histoire des Gaulois qui est accueilli très favorablement et lui permet d'obtenir, de la part du président du conseil royaliste Martignac, une chaire d'histoire à Besançon. Toutefois, il est jugé trop libéral par le gouvernement de Charles X et son enseignement est arrêté avec le résultat de lui assurer, après la Révolution de 1830, le poste de préfet de la Haute-Saône qu'il assumera pendant huit ans.

Il ne publiera rien pendant cette période. En 1838, il est nommé maître des requêtes au Conseil d'État, poste qu'il conservera, par delà la Révolution de 1848 et le coup d'État de 1851, jusqu'en 1860, date à laquelle il sera fait sénateur (un poste rémunéré et, en fait, une lucrative sinécure). Il gravit tous les échelons dans la Légion d'honneur, devint membre de l'Académie des sciences morales et politiques en 1841 et, en 1862, reçoit le grade honoraire de D.C.L. (Doctor of Civil Law) à l'Université d'Oxford. À l'exception de la période où il fut préfet, il n'arrêta pas sa production littéraire, resta un contributeur constant de la Revue des deux mondes, ses articles, usuellement retravaillés par la suite à destination d'ouvrages, ayant essentiellement trait à la Gaule romaine et son époque.

Œuvres :
Histoire des Gaulois, 3 vol. (1828, 1834, 1845
la 8e édition du vol. I parut en 1870)
Histoire de la Gaule sous l'administration romaine, 3 vol. (1840-47; 2e éd. en 1871)
Histoire d'Attila, de ses fils et successeurs jusqu'à l'établissement des Hongrois en Europe (1856
; 5e éd. en 1874)
Tableau de l'Empire romain (1862; 5e éd. en 1871)
Récits de l'histoire romaine au Ve siècle : la lutte contre les Barbares et les luttes religieuses (1860; 2e éd. en 6 vol. en 1880)

Portrait par Jean-Léon Gerôme.

Frère  d’Augustin Thierry,

Historien, membre de l'Institut de France (Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, 7 mai 1830),  ''ENS'' 1811 L, Commandeur de la Légion d'honneur.

Augustin Thierry

Né à Blois, frère aîné d'Amedée Simon Dominique Thierry, il n'a pas l'avantage de la naissance ou de la fortune, mais il se révèle vite extrêmement doué. Il récolte de nombreux prix et se distingue au lycée de Blois, ce qui lui permet d'entrer à l'École Normale Supérieure en octobre 1811. En deux ans, il décroche le baccalauréat ès lettres, le baccalauréat ès sciences et la licence de lettres. Il la quitte en 1813, envoyé comme professeur à Compiègne pour y enseigner les humanités. Il y séjourne peu de temps et revient rapidement à Paris.

Sa nature ardente et généreuse l'a conduit à embrasser les idées de la Révolution française avec enthousiasme. Il se rapproche alors de la vision idéale de la société de Saint Simon qui lui demande son aide, puis dont il devient le secrétaire entre 1814 et 1817 et, comme il le disait lui-même, son fils adoptif. Mais, pendant que la plupart des disciples de Saint-Simon s'occupaient des affaires de la vie, des problèmes théoriques et pratiques, Thierry décida de porter son attention sur l'histoire.

Sa vocation d'historien a été fortement influencée par la lecture des Martyrs de Chateaubriand. Son ardeur romantique a été plus tard nourrie par les écrits de Walter Scott, et même s'il n'écrivait pas de récits de fiction, sa conception de l'histoire intégrait son aspect littéraire et dramatique.

En 1817, Augustin Thierry entre au Censeur (qui devient ensuite le Censeur Européen) et se lance dans le combat libéral en fournissant un article par semaine dès 1819, ses écrits essayant de trouver dans l'histoire les arguments nécessaires à la réfutation de la politique contemporaine. Son idée directrice sur les invasions barbares, la conquête normande, la formation des communes, l'ascension progressive des nations vers le gouvernement libre et les institutions parlementaires s'observent déjà dans ces articles. Une fois le Censeur Européen disparu en 1820, c'est dans ses Lettres sur l'histoire de France publiées dans le Courrier Français en 1820 qu'il expose les principes de la « réforme historique » qu'il souhaite inscrire dans son siècle, mais les critiques virulentes soulevées par ses écrits le font quitter le courrier Français en janvier 1821.

Grâce à Fauriel, il a appris à utiliser les sources originales et cherche à faire l'histoire afin de la comprendre, non plus pour ses aspects subjectifs. Grâce à l'aide de chroniques latines et de la collection des lois Anglo-Saxonnes jusque là très mal comprises, il a fait paraître en 1825 son Histoire de la Conquête de l'Angleterre par les Normands dont la parution souleva l'enthousiasme.

Ecrite dans un style à la fois précis et romanesque, elle est dominée par l'idée fausse suivant laquelle la liberté anglo-saxonne a résisté à l'invasion normande a survécu malgré la défaite à travers la monarchie parlementaire. Son talent d'écrivain rend les approximations et les manques de son travail moins visibles. Cet ouvrage, publié à l'issue de nombreuses années de travail acharné, a entraîné pour Augustin Thierry de graves problèmes de vue. En 1826, il se trouve dans l'obligation d'engager des secrétaires pour l'assisiter, et quelques années plus tard, il est quasi-aveugle. Pourtant, il continue son œuvre.

En 1827 il publie à nouveau ses Lettres sur l'histoire de France, avec quinze nouvelles additions dans laquelle il décrit les épisodes les plus frappants de l'apparition des communes médiévales. Les chroniques des XIe et XIIe siècle ainsi que quelques chartes communales lui ont founi les bases d'un édifice solide. C'est pour cette raison que son travail sur les communes n'est pas aussi daté que sa conquête normande, mais il était trop vif à généraliser les faits fournis par quelques cas mémorables mais localisés. Ceci a favorisé la transmission au public, et même à certains historiens de profession des idées fausses sur l'un des problèmes les plus complexes des origines sociales françaises.

En 1828, son état de santé devient préoccupant : il est atteint d'un tabès dorsal qui le paralyse. Immobilisé et aveugle, il est accueilli par la famille d'Espine. Cette période lui permet de lier une amitié épistolaire avec Chateaubriand.

Thierry fut un ardent partisan de la Révolution de Juillet qui porta ses amis au pouvoir. Guizot lui octroie une pension et nomme son frère Amedée préfet de Haute-Saône. Ce dernier l'invite à passer quelques temps chez lui pour se reposer : il arrive à Vesoul le 22 avril 1831. Il passe quatre ans dans la région, recontrant Julie de Querengal qu'il épouse le 7 novembre de la même année et qui deviendra sa plus proche collaboratrice.

En 1834, il réédite sous le nom Dix ans d'études historiques ses premiers essais parus dans le Censeur européen et le Courrier français. Il publie également ses Récits des temps mérovingiens (le premier d'entre eux sort en 1833) dans lequel il reproduit sous une forme vivante et dramatique quelques uns des récits les plus célèbres de Grégoire de Tours. Ces Récits sont appararus tout d'abord dans la Revue des deux mondes, puis regroupés en volumes précédés de la très pertinente introduction Considerations sur l'histoire de France où il exprime sa philosophie politique. Ces récits seront illustrés par le peintre Jean-Paul Laurens.

Déjà membre de l'Académie des inscriptions et belles-lettres depuis le 7 mai 1830, cette publication lui vaut de recevoir en 1841 le Prix Gobert à vie des mains de l'Académie française. Le duc d'Orléans lui offre même la direction de sa bibliothèque en 1835. Son protecteur Guizot lui confie la direction de grandes publications de documents historiques dont il tire un Essai sur le tiers état en 1850. Il a été également chargé de publier les Documents inédits, une sélection d'actes jalonnant l'histoire du Tiers-État. Avec tout un réseau de collaborateurs zélés (tels que Charles Bourquelot, Charles Louandre, Ernest Renan) il compile ces douments dans le Recueil des monuments inédits de l'histoire du Tiers État (1850-1870), qui ne porte cependant que sur la partie septentrionale de la France. Sa préface à cet ouvrage a ensuite été publiée séparément sous le nom Histoire du Tiers État.

On doit à Augustin Thierry la première étude critique des institution communales, et peu de choses peuvent expliquer le relatif oubli dont il a été l'objet après sa mort. La fin de sa vie a été assombrie par des probèmes personnels et des soucis de santé. Il perd sa femme Julie de Querengal le 9 juin 1844, une femme intelligente qui avait été pour lui une collaboratrice aussi capable que dévouée. La Révolution de 1848 lui infligea un dernier coup en ruinant son interprétation de l'histoire nationale basée sur la concorde et en lui coupant une bonne partie des rentes attribuées par Guizot. Il ne dissimule pas son désarroi en constatant le renversement du régime de la bourgeoisie libérale qu'il avait posé en épilogue inéluctable à l'histoire de France.

Il a alors commencé à se détacher des opinions rationalistes et à se rapprocher de l'Église. Quand les auteurs catholiques lui ont reproché ses erreurs historiques, il promit de les corriger, et on ne retrouve plus dans sa dernière édition de l'Histoire de la Conquête ses sévères jugements sur la politique de Rome. Sans renoncer à ses amis libéraux, il a cherché la compagnie de prêtres éclairés, et juste avant sa mort il a semblé disposé à entrer dans l'Église.

Augustin Thierry est mort à Paris, après des années de souffrances endurées avec héroïsme.

Edmond Agache, né le 21 juin 1847, Lille,  59, décédé en 1920 (73 ans), industriel lillois,  marié       en 1873 avec Louise Cécile Desmedt, née en 1852, décédée.

Julia Agache, née en août 1851, Lille, décédée le 11 mars 1901, Lille  (49 ans), mariée en 1878 avec Jules Frédéric Kuhlmann, né en 1841, décédé en 1881 (40 ans).  

Auguste Agache, architecte.

Leur frère, Alfred-Pierre Joseph Agache, né à Lille le 29 août 1843 et mort à Lille le 15 septembre 1915, est un peintre français, décorateur notamment du musée de Lille :

                                                                                 Alfred Agache

Alfred Agache est issu d'une famille de riches industriels lillois, dans le textile. Il a exposé à de nombreuses reprises au Salon de Paris, jusqu'à sa mort. Membre de la Société des artistes français, il a gagné une médaille de troisième classe en 1885.

Alfred Agache

Alfred-Agache-VanityAlfred-Agache-La-Fortuna

Vanité (1885), Palais des beaux-arts de Lille

En 1893 il remporte une médaille d'or à la World's Columbian Exposition de Chicago où il avait exposé deux de ses tableaux, Vanité et L'Annonciation.

Il est fait Officier de la Légion d'honneur en 1895.

1880 : Portrait de femme âgée

1883 : Portrait de jeune femme

1885 : L'Annonciation

1885 : Vanité

1885 : Fortuna

1888 : Énigme

1889 : Jeune fille assise tenant des fleurs dans les bras

1895 : La Diseuse de bonne aventure

1895 : La Fortune Teller

1896 : L'Épée

1909 : Les Couronnes

1910 : Étude

1911 : Les Masques

Non daté : Les Parques

 
«  Il est prévu à Lille une exposition des œuvres de mon cousin le peintre AGACHE, qui a fait l’objet d’une thèse d’Histoire de l’Art à la soutenance de laquelle j’ai assisté récemment pour avoir aidé l’auteur dans ses recherches. » Philippe A. Rammaert à Thierry Prouvost en décembre 2011

Branche cadette : Jean François Agache,

le 13 décembre 1807, Hem, décédé le 24 juin 1863, Hem (55 ans).
 marié   le 29 novembre 1837, Ascq, avec Amélie Julie Desquiens, née le 7 janvier 1818, décédée le 30 mai 1892, Hem.

 

Jean Agache  (non rattaché) & Marie Prouvost  dont Thérèse & Pierre Corman +ca 1675

Descendants de Jean Agache

Jusqu'à la 8e génération.

Jean Agache, né vers 1615, décédé avant 20 février 1677.
Marié avec Marguerite Pluquet, née vers 1615, décédée avant 1677, dont

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